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A pas d'oiseaux sur la neige L’actualité de la poésie contemporaine est sur :  
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 2018

 

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Henri Espieux, né en 1923 à Toulon, est un des grands noms de la jeune poésie occitane de l’après-guerre. Vivement impliqué dans l’écriture et dans la construction de l’occitanisme, il vécut à Paris puis à Nîmes où il mourut en décembre 1971. Aujourd’hui, son œuvre est mal connue, en dehors de quelques poèmes d’anthologie. Les éditions JORN ont donc voulu éditer ou rééditer son œuvre poétique, en deux volumes, sous le titre de TRÒBAS, qui était le sien, en hommage aux troubadours. Le premier volume réunit les poèmes de 1947 à 1960 et le second ceux de 1960 à 1971.

L’édition critique, avec notes et traduction française, a été préparée par Claire Torreilles à partir des manuscrits conservés par le Cirdoc. Le choix fut fait de tout publier de l’œuvre, dans l’ordre chronologique de l’écriture : recueils composés édités ou en attente d’éditions qui n’ont pas vu le jour, feuillets épars, longs poèmes d’inspiration épique ou poèmes du hasard et du banal.

Espieux plus que quiconque a vécu la poésie comme un courant vital, le souffle du vent ou le ressac de la mer, et il n’a cessé d’en dire la nécessité quotidienne :

 Un jour sans éclair est un jour perdu,

Un jour sans vent et sans orage,

Un jour sans poème.

 


 

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 Enric Espieux, nascut en 1923 a Tolon, es un dels grands noms de la jove poesia occitana de l’après-guèrra. Fòrça implicat dins l’escritura coma dins la bastison de l’occitanisme, visquèt a Paris puèi a Nimes ont moriguèt en decembre de 1971. Uèi, son òbra es mal coneguda, en defòra de qualques poèmas d’antologia. Las edicions JORN an donc volgut editar o reeditar son òbra poetica, en dos volums, jos lo títol de TRÒBAS qu’aviá fach sieu, en omenatge als trobadors. Lo primièr volum recampa los poèmas de 1947 a 1960, lo second los de 1960 a 1971.

L’edicion critica amb nòtas e traduccion francesa foguèt preparada per Clara Torreilles, partent dels manuscrits servats per lo Cirdoc. La causida foguèt de publicar l’òbra tota, dins l’òrdre cronologic de l’escritura : recuèlhs compausats e editats o en espèra d’edicions que se faguèron pas, fuèlhs esparpalhats, poèmas longs d’inspiracion epica o poèmas de l’asard e del banal.

Espieux, mai que degun, visquèt la poesia coma un regiscle de vida, lo buf del vent o la ressaca de la mar, e quitèt pas de ne dire la necessitat de cada jorn :

 

Un jorn sens son ulhauç es un jorn degalhat,

Un jorn sens aura e sens chavana,

Un jorn sens son poèma

 

 

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Babel Heureuse, n°4
la revue poétique hypermédiatique

Dans ce quatrième numéro, nous avons la joie d'accueillir les contributeurs suivants :​

Guennadi Aïgui  •  Rafael Alberti  •  Pascal Boulanger  •  Laurent Cassagnau  •  Jean-Gabriel Cosculluela  •  Danièle Faugeras  •  Laure Gauthier  •  Miguel Hernandez  •  André Markowicz  •  Françoise Morvan  •  Gérard Pape  •  François Rannou  •  Elen Riot  •  Thierry Le Saëc  •  Bernadette Tintaud  •  Kari Unxova  •  Andreas Unterweger

 

 

 

 

 

 

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Ô lecteur-passeur, à toi, passionné du verbe et de cette création chère à notre cœur, celle qui remue en dedans, celle qui se refuse à la politesse lissée et à la bien-pensance, la quatrième édition de la revue Babel Heureuse est enfin disponible !

Ils sont auteurs, artistes et poètes, tous réunis autour d’un numéro qui s’annonce à nouveau exceptionnel. Et de s’écrier, non, de s’époumoner : qu’importe la grisaille, qu’importe la méfiance qui, trop souvent, prévaut. Nous sommes là, et nous vivons, nous partageons, nous disséminons cette parole qui nous fait vibrer, nous donne à voir l’autre.

 

Je t’invite donc, ô lecteur-passeur, à découvrir ce nouveau numéro. Arpente son édition web, chemine depuis la magnifique édition papier, et vis.

 

Gwen Catalá


________________


 

Revue poétique semestrielle dirigée par François Rannou et l’éditeur Gwen Catalá, Babel Heureuse se veut un carrefour des langues et des arts, du mouvant, écho de la parole dite.

Elle ambitionne de devenir une référence de la création poétique contemporaine, donnant voix aux jeunes pousses autant qu’aux incontournables, et ouverte sur le monde, aux traductions et créations bilingues.

La revue paraît en édition papier, numérique enrichie et expérience web innovante.

 


 



 
 

Et n'oublie pas, la culture ne vaut que ce que l'on en fait !

Gwen Catalá

 

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Marc Tison
"Des nuits au mixer" 
Ce livre fera l'objet 
d'une émission en janvier 2019
voir doc

 

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            Jean-Pierre Boulic : « L’eau de la grève est si bleue »

 

 

 

   Jean-Pierre Boulic nous attire, dans son nouveau recueil, au « royaume d’enfance ». Mais, comme dans ses précédents ouvrages, c’est pour nous dire « la trace de l’infini qui habite toute créature au monde ».

 

   Le poète breton – il vit à la pointe nord-ouest du Finistère, dans le Pays d’Iroise - ne voit « pas autrement la poésie que parole sacrée, c’est-à-dire éclairée pour être donnée en partage comme nourriture spirituelle à l’inquiétude d’un monde profondément sécularisé qui peut empêcher l’humain d’être homme ». Il le dit lui-même dans un court texte qui clôture son livre. Et ajoute que la poésie est toujours « le fruit d’une expérience humaine ».

   C’est encore le cas dans ce livre (qu’il dédie au poète Philippe Mac Leod) où dominent, cette fois, les réminiscences du pays d’enfance. Qu’il s’agisse, par exemple, du préau où « traînent » ses « songes ». Qu’il s’agisse de « L’été dans le ruisseau/De cressons et de menthes/ (…) Où glisse le sourire/D’une mère attentive ». Qu’il s’agisse encore des « châteaux d’enfants/Forteresses menues/Avant la marée haute ».

 

   Les fleurs, les plantes, mais surtout les arbres et les oiseaux (que l’on retrouve dans trois dessins, ponctuant ce livre, de l’artiste Nathalie Fréour) forment ici, à, la fois,  un bestiaire enchanté et un herbier d’enfance. Si dans les Evangiles « les oiseaux du ciel ne sèment ni ne moissonnent », on les découvre chez Jean-Pierre Boulic « Pauvrement habillés/Réjouis par les miettes/Tombées des mains du ciel ». Manne providentielle à quoi s’ajoute la « présence des sources » car « Qui ne viendrait s’abreuver/D’une eau si vivante ? » (le puits de la Samaritaine n’est pas loin). Des références bibliques – discrètes – innervent, en effet, ce recueil. Ici « l’estran médite » et « les anges du lieu » sont « si proches de l’invisible ». Et quand le poète arpente la grève (où l’eau est si bleue), il peut écrire : « Je crois mon pas sans vanité/Au paradis des brumes/Habité d’oiseaux gris ».

 

    Jean-Pierre Boulic contemple le monde et n’en finit pas de s’extasier quand il côtoie, par exemple, ces « bleuets ensoleillés/Mettant sarrau d’écoliers ». Il inscrit aussi son dit dans cette « terre de Bretagne » aux « profonds horizons » et se souvient de « L’enfant tiré d’un blanc sommeil/Par la corne de brume ».

  Dans un terroir où, par des temps bien plombés, le ciel et la terre parfois se confondent, le mystère de la vie s’épaissit forcément. Le poème est alors là pour dire l’invisible et l’indicible.

 

                                                                                                 Pierre TANGUY.

 

L’eau de la grève est si bleue, Jean-Pierre Boulic, dessins de Nathalie Fréour, 97 pages, 15 euros, éditions Des sources et des livres, 2, rue de la fontaine, 44 410 Assérac (2 euros de frais de port)     

 

Vient de paraître - L'eau de la grève...JP.Boulic - Des Sources et des Livres.docx

 

Vient de Paraître

aux Editions Des Sources et des Livres :

 

L’EAU DE LA GREVE EST SI BLEUE

 

 

 

 

 

Voyelles qui vous envolez

Ô pauvres signes précurseurs

Je vous donne à l'oreille

L'enfance du poème

De ce mystère où s'auréole

L'âme jusqu'aux confins des heures.

 

 

 

La mer s'incline ici

Mes chants sont accrochés

Aux rochers de la grève.

 

Jean-Pierre Boulic, né en 1944, vit en Pays d’Iroise. L’ensemble de son œuvre a été distingué, à l’automne 2010, par le Grand Prix de poésie Louis Montalte de la Société des Gens de lettres et, en mai 2014, par le Prix Yves Cosson de poésie de l’Académie littéraire de Bretagne et des Pays de la Loire.

 

 

                        Bon de commande :

 

 

Nom       : ……………………………………………………………………………

 

Prénom : ……………………………………………………………………………..

 

Dessins de Nathalie Fréour

  Adresse : ……………………………………………………………………………………………………..

 

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  Souhaite recevoir ……. exemplaire(s) de : L’EAU DE LA GREVE EST SI BLEUE

  ISBN : 979-10-97070-07-6

 

  au prix de 15 € l’exemplaire (+2 € de participation aux frais d’envoi).

 

 

 

 

Commande et règlement, par chèque, à l’ordre de : « Des Sources et des Livres »

à adresser à :

 

   Editions Des Sources et des Livres

2 rue de la Fontaine

44410 Assérac

 

  http://www.dessourcesetdeslivres.fr

 

 

                 

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L E  L I V R E  DE S  F O N T A I N E S  A R D E N T E S

5 5  a u t e u r s  e t  a r t i s t e s 
   
r a c o n t e n t  l ’A t e l i e r   I m a g i n a i r e 
 s o u s   l a c o n d u i t e  d e 
   G u y R o u q u e t  
 P r é fa c e  d e 
 G e o r g e s - O l i v i e r   C h â t e a u r e y n a u d
voir doc 
voir :http://revue-texture.fr/le-livre-des-fontaines-ardentes.html

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"Vous prendrez bien un poème?"
 Courrier des Lecteurs numéro 85.
voir doc

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Dans cette 95ème lettre d'information, des rendez-vous festifs et conviviaux pour passer la fin de l'année en poésie !

La lettre d’information n°95
Décembre 2018

Chacun cherche son poème

 

Le saviez-vous, chacun a un poème juste écrit pour lui. C’est ce qu’on appelle être sur la même longueur d’ondes. On peut passer toute sa vie à chercher cette petite musique intérieure, celle qui touche le cœur. Et si vous osiez, pour les fêtes de fin d’année, offrir des poèmes ? En espérant tomber juste et que votre cadeau soit inoubliable. Pour vous aider, nous nous sommes amusés à vous proposer quelques pistes. Mais avant tout, écoutez votre inspiration. Peut-être que, miracle de Noël, vous allez bouleverser un destin !
Une autre manière de vous aider à choisir, sera de faire la fête avec nous pour la Nuit de la Presqu’île !

L'arbre à pots M

Sapin

Nuit de la Presqu'île

Samedi 8 décembre dès 19h30, l'association des amis des Éditions Bruno Doucey vous donne rendez-vous à la Bibliothèque Crimée pour sa soirée poétique annuelle ! Nous serons en compagnie des poètes Stéphane Bataillon, Caroline Boidé, Marion Collé, Ysabelle Lacamp, Hala Mohammad... La présentation des dernières parutions de la maison sera suivie d'une scène ouverte aux adhérents et, bien sûr, d'un verre de l'amitié.

Bibliothèque Crimée – 42-44 rue Petit
75019 Paris / M° Laumière

Flyer Nuit de la Presqu'île

Livres & Curieux

Le week-end des 8 et 9 décembre, nous serons à Ground Control pour le salon Livres & Curieux ! L'occasion de compléter ses achats de Noël.

Ground Control – 81 rue du Charolais
75012 Paris / M° Gare de Lyon

Redécouvrir la Nuit de la Poésie, à l'Institut du Monde Arabe...

Retrouvez d'autres vidéos, notamment des lectures d'Habiba Djahnine et Müesser Yeniay sur notre page Facebook et sur la chaîne YouTube de l'Institut du Monde Arabe !

La comédienne Rachida Brakni lit les textes de Maram al-Masri

Lecture dessinée par Zaü

Lecture d'Hala Mohammad

Sélection de rencontres et soirées poétiques en décembre 2018

Le 1er à 20h30 (Montours – 35) : Spectacle autour des poèmes d’Yvon Le Men, mis en musique et chantés par Hélène Weissenbacher, « Comme la voix vers son chant ».
Centre culturel du Coglais – 1 rue Saint-Mélaine

Les 8 et 9 (Paris – 75012) : Retrouvez-nous au salon Livres & Curieux, la deuxième édition du Salon de l’édition indépendante, dans un lieu dynamique et chaleureux !
Entrée libre - Horaires : Samedi 11h-20h / Dimanche 11h-19h
Ground control – 81 rue du Charolais / M° Gare de Lyon

Les 8 et 9 (Issy-les-Moulineaux – 92) : Dominique Chipot sera au Salon du livre de haïku pour présenter notre dernière anthologie, Je ne peux le croire – Fukushima, Nagasaki, Hiroshima – haïkus & tankas mais aussi En pleine figure – haïkus de la guerre de 14-18.
Entrée libre – Horaires : 14h-18h
Espace Andrée Chedid – 60 rue Général Leclerc / M° Mairie d’Issy

Dominique Chipot

Le 8 à 19h30 (Paris – 75019) : Comme chaque fin d’année, retrouvons-nous pour de belles lectures poétiques, autour d’un verre de l'amitié, pour la Nuit de la Presqu’île.
Bibliothèque Crimée – 42-44 rue Petit / M° Laumière

 Le 11 à 14h30 (Nantes – 44) : Conférence de Bruno Doucey à l’université permanente de Nantes autour de l’anthologie Dessinées – Visages de femmes, poèmes d’amour, en compagnie de Zaü.
Université permanente - Amphithéâtre Kernéis – 1 rue Bias

Dessinées

Les 13 et 14 (Nantes – 44) : Bruno Doucey anime des ateliers d’écriture à l’université permanente de Nantes autour du thème « Pour un oui ou pour un non ».
Université permanente - 2 bis bd Léon Bureau

Le 13 à 17h30 (Saint-Germain-la-Blanche-Herbe – 14) : Rencontre avec Pef autour de son recueil, Toujours un mot dans ma poche, organisée par l’OCCE et l’IMEC.
IMEC – Abbaye d’Ardenne

Pef

Le 14 à 17h30 (Paris – 75002) : Ysabelle Lacamp sera en signature pour son roman Ombre parmi les ombres, qui a obtenu la mention spéciale de l'Académie des lecteurs du Prix Hors Concours.
Gibert Jeune – 15bis Boulevard Saint-Denis / M° Strasbourg-Saint-Denis

Ysabelle Lacamp

Le 15 à 10h30 (Caen – 14) : Conférence de Bruno Doucey dans le cadre du stage « Poésie, école, la beauté ! » organisé par l’OCCE.
Bibliothèque Alexis de Tocqueville – 15 quai François Mitterrand

Guirlande de livres

Éditions Bruno Doucey Cour Alsace-Lorraine, 67, rue de Reuilly – 75012 Paris
www.editions-brunodoucey.com

 

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Belvédère n° 56

 

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Spered Gouez  n°24 : Sens dessus dessous
La revue Spered Gouez / l’esprit sauvage est éditée, sous la responsabilité de sa responsable de rédaction et fondatrice Marie-Josée Christien,  par le Centre culturel breton EGIN et paraît chaque année depuis 1991 lors du Festival du Livre de Carhaix. Le n°24 sur le thème « Sens dessus dessous » sera disponible le week-end des  27 & 28 octobre 2018.

Depuis sa création, Spered Gouez place au centre de sa démarche « l’esprit sauvage » qui convoque l’alliance des sens et de l’esprit, de l’émotion et de l’intelligence. Plus que jamais, ce numéro appelle à retrouver du sens à notre existence, afin que notre intelligence et nos sens se ressourcent réciproquement,
« C’est une idée erronée, sans sens, d’opposer l’esprit et les sens. Ce sont nos fonctions biologiques élémentaires qui, en réveillant une palette d’émotions et de sensations, déclenchent notre activité cérébrale. La pensée a des ressorts insoupçonnés. Pour accueillir le monde en nous, pour penser, imaginer et créer, il nous faut sentir, regarder, toucher, goûter, entendre. L’activation de nos sens met notre pensée en mouvement et intensifie notre existence. Nos sensations, nos émotions, nos sentiments passent ainsi de notre corps à notre esprit. » Marie-Josée Christien (extrait de la présentation du n°24)

Au sommaire 
Couverture (1ère et 4ème) de J.G. Gwezenneg
Escale / Paouez : Salah Al Hamdani, une voix venue de Bagdad (dossier et entretien par Eve Lerner)
Avis de tempête / Taol kurun : carte blanche à Jean Rio
Mémoire / Koun : Le romancier Louis Guilloux (1899-1980), par Yannick Pelletier
Points de vue : L’au-delà du monde de Brigitte Maillard, lu par Denis Heudré, Gérard Cléry et Marie-Josée Christien
Coup de cœur de Jean Bescond : Armand Robin et Georges Brassens (2).
Chroniques Sauvages, critiques et  notes de lectures des collaborateurs réguliers et occasionnels de la revue.
Tamm-Kreiz : Jeanine Baude et les traversées du poème (dossier et entretien par Marie-Josée Christien).
Sens dessus dessous / Penn da benn : avec Salah Al Hamdani, Guy Allix, Louis Bertholom, Alain Brissiaud, Marie-Claude Bourjon, Tom Buron, Annie Cariou, Marie-Josée Christien, Gérard Cléry, Annie Coll, Chantal Couliou, Roger Dautais, Flora Delalande, Colette Gibelin, Jean-Marc Gougeon, Jean-Paul Le Bihan, Jean-Luc Le Cléac'h, Mérédith Le Dez, Patrick Lepetit, Eve Lerner,  Gérard Mottet, Tom Nisse, Patrice Perron, Morgan Riet, Jacqueline Saint-Jean, Sydney Simonneau et Murielle Vanderplancke.

 

150 pages ;  format 20,5 X 14,5 ; ISBN : 978-2-916820-16-3 ; prix de  vente en librairie : 16 €
Commande librairies : spered.gouez@orange.fr
Site de la revue : http://speredgouez.monsite-orange.fr

 

 

 

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 Un beau cadeau pour les fêtes :
 une anthologie poétique des langues de France - édition bilingue

Aux éditions « LE BORD DE l'EAU », en souscription jusqu’au 31 décembre au prix de 22€  (voir doc):

 
Par tous les chemins, florilège poétique des langues de France, 
ouvrage coordonné par Norbert Paganelli et Marie-Jeanne Verny
Préface de Jean-Pierre Siméon, ex directeur du Printemps des poètes.

NB : Prix de vente public à la parution : 29 euros. Visualiser la table des matières sur le site de l’éditeur 

« Il y a des livres possibles, des livres pourquoi pas, des livres on se demande pourquoi, et des livres nécessaires : celui-ci en est un », écrit le grand poète Jean-Pierre Siméon dans la préface de cet ouvrage. Et il argumente ainsi son propos:


 

« Tout langue non conforme à la langue dominante est une terre de liberté. En outre nulle langue n'est seule: elle est toujours terre de migration, le français si profondément métissé depuis toujours, comme les autres. C'est donc une chance inestimable à mes yeux que le français cohabite en son lieu même d'usage avec d'autres langues  il me plait d'imaginer que des millions de locuteurs bilingues, voyageant chaque jour d'une langue à l'autre, apportent à la langue française des accents neufs, des mots oubliés, des syntaxes imprévues, des couleurs qu’elle avait perdues. C’est toujours la rencontre avec l'autre qui nous fait meilleur. »


 

On ne saurait mieux exprimer l’intention des coordonnateurs de ce projet collectif à l'opposé de tout enfermement identitaire, rassembler en un même ouvrage de 456 pages l’expression poétique contemporaine dans 5 langues de France dites « régionales », accompagnée d'une traduction française. Cette entreprise est la première en date. S'il existe des publications associant deux langues régionales (occitan et catalan, occitan et basque, occitan et corse, par exemple), nul n'avait jusque-là entrepris de rassembler en un même ouvrage la poésie contemporaine en alsacien, basque, breton, catalan, corse, occitan.

Pour l’oc, les poètes présents : Max Allier, Franc Bardou, Pèire Bec, Sèrgi Bec, Jòrdi Blanc, Benedicta Bonnet, Joan-Frederic Brun, Joan-Ives Casanòva, Estelo Ceccarini, Silvan Chabaud, Cecila Chapduelh, Michèu Courty, Joan-Pau Creissac, Jan dau Melhau, Marcela Delpastre, Miquèl Decòr, Maëla Dupon, Marc Dumas, Frederic Fijac, Joan-Claudi Forêt, Carle Galtier, Felip Gardy, Danièla Estèbe-Hoursiangou, Sèrgi Javaloyès, Danièla Julien, Joan-Peire Lacomba, Robèrt Lafont, Joan Larzac, Aurelià Lassaca, Bernat Lesfargas, Bernat Manciet, Joan-Francés Mariòt, Gui Matieu, Brigitte Miremont-Orazzio, Roland Pecout, Alan Pelhon, Joan-Maria Petit, Jaumes Privat, Andriéu Resplandin, Jan-Peire Reidi, Rosalina Ròcha, Maria Roanet, Max Roqueta, Ives Roqueta, Joan-Ives Roièr, Jan-Luc Sauvaigo, Joan-Bapista Seguin, Joan Pèire Tardieu, Didier Tousis

 

Les coordonnateurs :

Poète de langue Corse, NORBERT PAGANELLI a publié de nombreux ouvrages. Il a obtenu le prix de poésie corse en 2009, le prix de la création littéraire de la Collectivité Territoriale de Corse en 2014, et le prix du Livre Corse en 2015.

Agrégée de lettres, MARIE-JEANNE VERNY est professeure de langue et littérature occitanes à l’Université Paul-Valéry de Montpellier.

Éditions Le Bord de l’eau, 118, rue des Gravières — 33310 Lormont - TEL 05 56 20 19 21

contact@editionsbdl.com - www.editionsbdl.com - www.lamuette.be

 

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L'émission "les poètes" consacrera prochainement

 une émission à Maram al-Masri

Dans cette 94ème lettre d'information, on vous présente une anthologie de haïkus pour dire non au nucléaire, ainsi que l'anthologie des lauréats du concours Poésie en liberté. Et de très nombreux événements où nous retrouver durant le mois de novembre !
La lettre d’information n°94
Un livre choc contre le nucléaire
 

Vous souvenez-vous de ces poilus qui écrivirent des haïkus dans les tranchées et que Dominique Chipot nous avait fait découvrir en 2013 ? Nous avions pris ces poèmes

Ce mois-ci en librairie...
Couverture du livre Je ne peux le croire
Je ne peux le croire – Fukushima, Nagasaki, Hiroshima, haïkus & tankas
Anthologie établie par Dominique Chipot

Préface d'Ysabelle Lacamp
Collection Tissages
En librairie le 22 novembre
128 pages • 16 €

Cliquez ici pour en savoir plus sur le choix de l'éditeur...
• Des haïkus bouleversants écrits par des poètes japonais témoins des grandes catastrophes nucléaires de l’Histoire

• Un livre passerelle qui relie en un même cri l’horreur de la première bombe atomique d’hier et la catastrophe nucléaire d’aujourd’hui

• 120 poètes qui se frayent un chemin dans les décombres pour apporter l’espoir

Extrait :

La boule de feu bleu
sur le moment je n’en vis
que la beauté !
73 884 atomisés morts
je ne le sus qu’après.
Oyama Takami

Sous le clair de lune
ma propre voix qui appelle
en vain mes enfants
Matsuo Atsuyuki    

Dans cet amas de
corps morts il y a encore
quelques morts qui vivent
Dake Shintarô

Photo de Dominique Chipot
Dominique Chipot

Dominique Chipot est l'un des grands spécialistes du haïku. Lui-même haïjin (auteur de haïku), il a écrit plusieurs essais, techniques ou historiques. En 2013, il a publié l'anthologie En pleine figure – Haïkus de la guerre de 14-18.

Découvrir sa bio...
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Couverture Poésie en Liberté
Poésie en liberté 2018
Collectif
Préface d'Étienne Orsini

En librairie le 22 novembre
184 pages • 10 €
Cliquez ici pour en savoir plus sur le choix de l'éditeur...
• La publication des lauréats d’un concours international de poésie en langue française, ouvert aux lycéens, aux étudiants et aux apprentis
• Un livre écrit par des jeunes de 15 à 25 ans venus de tous les horizons
• Leblé en herbe de la poésie contemporaine
Extrait :

« C’est la fin de la journée
le poisson est rentré
la barque est repartie
les petits soleils s’éloignent
un grand verre de thé
pour réchauffer les mains et le front
la parole nue
on regarde la mer
et l’on parle de l’avenir »

Tarik Mahtout (Algérie)

Logo Poésie en liberté
Poésie en liberté

C'est le nom d’un concours international de poésie en langue française qui entre, en 2018, dans sa 21ème année. Il consacre de jeunes lauréats venus de tous les horizons...

Découvrir le concours...
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Couverture Passagers d'exil, Dans un fracas de plumes et Vive la liberté
Bravo la jeunesse !
Notre anthologiePassagers d'exilintègre la prestigieuse sélection des White Ravens 2018, des 200 livres extraordinaires dans le monde. Quant à notre anthologie Vive la liberté !, elle est recommandée par l’Éducation Nationale, et figure sur la liste de référence pour le Cycle 3 aux côtés du recueil Dans un fracas de plumes d'Hadassa Tal !
Sélection de rencontres et soirées poétiques en novembre 2018
Le 2 à 18h30 (Nice – 06) : Annalisa Mari Pegrum et Sébastien Gavignet présentent les poèmes des femmes de la Beat Generation publiés dans notre anthologie Beat Attitude.
Librairie Vigna – 3 rue Delille

Le 3 à 19h (Nice – 06) :En première partie du Poetry Slam Nice, venez écouter la lecture bilingue d’Annalisa Mari Pegrum et Sébastien Gavignet des poèmes des femmes de la Beat Generation publiés dans notre anthologie Beat Attitude.
Entrée libre – consommation obligatoire
Théâtre de l’Impasse – 4 ruelle Saint-André (Vieux Nice)

Les 3 et 4 (Arles – 13) : Retrouvez Aurélia Lassaque au festival Paroles Indigo.
– le samedi 3 à 14h30 à l’espace Van Gogh pour Les salons de lecture (place Félix Rey)
– le dimanche 4 à 11h pour une lecture au phare de la Gacholle, poésie et slam en musique

 • Les 10 et 11 (Messey-sur-Grosne – 71) : Pef sera l’invité d’honneur de l’édition 2018 d’Alternalivres avec une rencontre-dédicace à la librairie la Mandragore de Chalon-sur-Saône (3 rue des Tonneliers) le samedi à 15h.

Du 16 au 18 (Paris – 75004) : Retrouvez-nous au stand C27 au Salon des éditeurs indépendants L’Autre Livre en compagnie de nos auteurs : Maram al-Masri, Caroline Boidé, Marion Collé, Ysabelle Lacamp, Hala Mohammad, Zaü, et de passage en France, Habiba Djahnine et Müesser Yeniay.
Horaires : vendredi 14h-21h / samedi 11h-21h / dimanche 11h-19h
Espace des Blancs Manteaux – 48 rue Vieille du Temple / M° Saint-Paul

Retrouvons-nous toute la nuit à L’Institut du Monde arabe pour fêter la poésie en compagnie de nos poètes invitées exceptionnellement pour l’événement, Habiba Djahnine et Müesser Yeniay, mais aussi nos deux poètes syriennes, Maram al-Masri et Hala Mohammad, et assistez à une lecture dessinée avec Zaü ; et pendant toute la nuit "Piochages poétiques" à partir de nos anthologies du Festival Voix vives de Méditerranée en Méditerranée : des comédiens liront des poèmes en arabe et en français.
Institut du Monde arabe - 1 rue des Fossés Saint-Bernard / M° Maubert-Mutualité

Nuit de la Poésie
Le 19 à 19h (Paris – 75012) : À l'occasion du passage en France de la poète turque Müesser Yeniay, les Éditions Bruno Doucey vous convient dans leurs locaux pour un moment de poésie en toute intimité, suivi d'un verre de l'amitié.
Cour d'Alsace Lorraine – 67, rue de Reuilly / M° Reuilly-Diderot

Du 19 au 24 (Strasbourg – 67) : Roja Chamankar et Tanella Boni sont invitées aux Rencontres mondiales de la Poésie de Strasbourg.

Le 20 à 14h30 (Nantes – 44) : Bruno Doucey reprend son cycle de conférences à l’Université permanente de Nantes, avec la présentation de notre anthologie Beat Attitude – Femmes poètes de la Beat Generation.
Université permanente - Amphithéâtre Kernéis – 1 rue Bias

Le 21 à 18h30 (Nancy - 54) : Lancement de l’anthologie Je ne peux le croire – Fukushima, Nagasaki, Hiroshima – haïkus & tankas, en présence de Dominique Chipot et Bruno Doucey.
Librairie L’Autre Rive – 19 rue du Pont Mouja

Le 22 à 19h (Issy-les-Moulineaux - 92) : Remise des prix de la 20ème édition du concours international Poésie en liberté, en présence des lauréats. Inscription obligatoire avant le 8 novembre.
Espace Andrée Chedid – Auditorium Niedermeyer - 60 rue du Général Leclerc / M° Mairie d’Issy

Le 22 à 19h (Lyon - 69) : Dans le cadre du festival Itinérances Tsiganes 2018, venez écouter les poèmes de l’auteure rom Ceija Stojka lus par Bruno Doucey.
Maison des Passages – 44 rue Saint-Georges

 • Les 24 et 25 (Pont-Saint-Esprit – 30) : Retrouvez Caroline Boidé, Hala Mohammad et Bruno Doucey pour une lecture à trois voix au 6ème Festival du Livre de Pont-Saint-Esprit, le samedi 24 à 18h30. Vous les retrouverez aussi, en signature, tout au long du week-end sur le salon, organisé avec la librairie Le Chant de la terre (horaires samedi 10h/18h30 et dimanche 10h/18h). Bruno Doucey participera également à une table ronde « Traduire la poésie » à 11h30 sur le salon.
Centre Pépin - avenue Gaston Doumergue
Photos de Caroline Boidé, Bruno Doucey et Hala Mohammad
Le 24 à 15h (Romorantin – 41) : Rencontre-lecture avec Maram al-Masri.
Médiathèque Jacques Thyraud – 20 Fbg Saint-Roch

 Le 27 à 19h30 (Montreuil – 93) : De passage en France, notre auteure iranienne Roja Chamankar nous offre une lecture bilingue avec Bruno Doucey & Murielle Szac, accompagnés au ney par le musicien Yassin Vassilis Cherif.
La Guillotine, bar Les Pianos – 26 rue Robespierre / M° Robespierre

Affiche Roja Chamankar
  Rencontre et lectures bilingues avec Maram al-Masri a l’occasion de la parution de son recueil Cerise rouge sur carrelage blanc, accompagnée par Bruno Doucey et par sa préfacière Murielle Szac.
Librairie Les Guetteurs de vent – 108 avenue Parmentier / M° Parmentier
Maram al-Masri aux Guetteurs de vent
Du 28 novembre au 3 décembre (Montreuil – 93) : Retrouvez-nous sur le stand du Grand Marché au Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, avec notamment cette année, en signature : Pef et Zaü. À ne pas manquer : une lecture dessinée en direct de Zaü et une rencontre avec Pef le lundi pour les professionnels.
Horaires : Mercredi et jeudi 9h-18h / Vendredi 9h-21h30 / Samedi 9h-20h / Dimanche 10h-19h / Lundi 9h-18h
Espace Paris-Est-Montreuil, 128, rue de Paris / M° Robespierre
Pef et Zau
Les 30 novembre et 1er décembre (Aix-en-Provence – 13) : Retrouvez-nous sur notre stand au Salon du livre Afro-caribéen, en compagnie de notre auteur Louis-Philippe Dalembert, qui lira des extraits de son recueil En marche sur la terre le vendredi à 16h45, et qui participera au débat « La littérature afro-caribéenne au défi de l’actualité » le samedi à 14h30.
Horaires : 10h-19h
Cité du livre – Bibliothèque Méjanes – 8-10 rue des Allumettes
Louis-Philippe Dalembert
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Éditions Bruno Doucey Cour Alsace-Lorraine, 67, rue de Reuilly – 75012 Paris

 

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Une émission sera prochainement 
consacrée à ce livre.

 
 
 
 
Un événement éditorial exceptionnel
 
 
 
 
 Correspondance complète
d'Emily Dickinson
 
 
 
 
La publication de ce fort ouvrage, contenant sa Correspondance complète, est un événement majeur de l’édition française : jusque lors, ses missives ont donné lieu à quelques éditions très incomplètes ou thématiques. 
Hormis les lettres vraisemblablement détruites, toutes celles écrites par Emily Dickinson ont été ici assemblées. Autant que possible, elles ont été classées selon un dispositif chronologique.
.
en savoir plus...
 
15,5 x 24 cm
 
40 €
 
 
 

Les titres publiés sont disponibles sur www.editionsorizons.fr
Vous pouvez aussi les commander à :
 

 

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Belvedere n.55 septembre-octobre 2018

 

 

SOMMAIRE

 

Cupidon sur Garonne

Bis: Mélanchon violent ?    

 Di Maio Salvini Conte, la Simpatica Trinità

Le Festival Lumière chroniqué par un terroriste

RETROUVAILLES TOULOUSAINES :

L'amour fou reporté, Tolosa all'italiana (Cristina Noacco)

Haïkus en prose, Tolosetti in italiano, Le coup de foudre

Livres (libri) :

 Thierry Montoriol, Alexis Gloaguen, Atti del seminario su Pascoli

Super-commissari : Di Montalbano figli siamo, 4o episodio

Supercommissaires: Roman de la Rentrée


VoirBelvedere 55

 

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Vient de paraître

 

Michel Costagutto

 

L’INCONNUE DU CHILI

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Éditions Villa-Cisneros

 

 

« Cette photo de jeune inconnue et disparue, jamais identifiée, je l’ai gardée dans mes scrap-book ; j’avais des centaines de scrap-book 24X32, passant d’un appartement de 140 m2 à un autre de 45 m2, j’ai arraché à la va comjtepousse des feuillets de-ci, de-là, et l’inconnue n’y figurait pas... disparue une seconde fois. »

M.C.

 

 

 64 pages

14,5cm X 22cm

8 € +3 € de frais d’envoi

 

Commandes à l’ordre de Michel Costagutto

50 rue Victor Clappier

83000 Toulon

  

LA POÉSIE SAUVE

(Rémy Durand)

 

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JULIEN BLAINE

 

Dernières parutions : 

Les livres :

 

 

 

 

 

**************

 

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Dans cette 93ème lettre d'information, découvrez nos deux livres du mois d'octobre, qui mettent les femmes à l'honneur. Sous le crayon tendre et affûté d'un illustrateur renommé, par la voix sobre et vibrante d'une grande poète syrienne, et grâce aux textes charnels et amoureux d'une vingtaine de poètes, nous vous invitons à chanter les femmes.
Et bien sûr, retrouvez-nous tout au long du mois lors d'une dizaine de rendez-vous !
La lettre d’information n°93
Octobre 2018
Dans l'intimité des femmes

Elles sont vivantes, terriblement vivantes les femmes que nous mettons à l’honneur ce mois-ci. Qu’elles travaillent, courent, lisent, créent, fassent du vélo ou dansent, qu’elles rient ou pleurent, murmurent, crient ou se taisent, qu’elles souffrent, aiment ou se révoltent, elles sont belles toutes les femmes incarnées par Maram al-Masri dans Cerise rouge sur carrelage blanc, toutes les femmes dessinées par Zaü et chantées par les poètes dans Dessinées – Visages de femmes, poèmes d’amour. Et cette beauté-là donne furieusement envie de vivre aux éclats.

Ce mois-ci en librairie...
Frise
Couv Zau
Dessinées – Visages de femmes, poèmes d'amour
Zaü


Collection Passage des arts / Beaux livres

En librairie le 18 octobre
144 pages • 29,50 €

Cliquez ici pour en savoir plus sur le choix de l'éditeur...
• Un grand artiste ouvre pour la première fois son carnet intime de dessins
• En écho à ces œuvres picturales inédites de grandes voix de la poésie contemporaine
• Un livre qui rendhommage aux femmes et nous rappelle qu’on ne peut pas vivre exilés de la beauté
Avec des textes de :

Maram al-Masri, Lucien Becker, Gioconda Belli, Luc Bérimont, Tanella Boni, Ananda Devi, Habiba Djahnine, Hélène Dorion, Bruno Doucey, Abdellatif Laâbi, Alexandrine Lao, Aurélia Lassaque, Rita Mestokosho, Ketty Nivyabandi, James Noël, Ernest Pépin, Pierre Seghers, Pierre Vavasseur…
Photo Zau
Zaü

Illustrateur renommé, il est l'auteur de plus de cent-dix livres pour la jeunesse, notamment aux éditions Rue du monde...

Découvrir sa bio...
Frise
Couverture Cerise rouge
Cerise rouge sur carrelage blanc
Maram al-Masri
Préface de Murielle Szac

Édition bilingue arabe/français
Traduction de François-Michel Durazzo

Collection L'autre langue
En librairie le 18 octobre
136 pages • 15 €

Cliquez ici pour en savoir plus sur le choix de l'éditeur...
• L’un des grands livres de Maram al-Masri, traduit en plus de quinze langues, et unanimement salué par la critique à sa parution
• Des poèmes d’une simplicité désarmante pour porter lecri étouffé des femmes
• Une nouvelle traduction pour un texte toujours aussi brûlant d'actualité
Extrait :

« les femmes qui me ressemblent
ne savent pas parler
le mot leur reste dans la gorge

comme un lion en cage
les femmes qui me ressemblent
rêvent…
de liberté…»

Photo Maram
Maram al-Masri

Cette poète syrienne est l'une des grandes voix de la poésie du Moyen-Orient. Elle a déjà publié 4 titres aux Éditions Bruno Doucey...

Découvrir sa bio...
Frise
Sélection de rencontres et soirées poétiques en octobre 2018
• Le 4 à 18h (Sébazac-Concourès – 12) :
Lecture d’Aurélia Lassaque pour les 10 ans du journal Lo Diari.
La Doline - 46 avenue Tabardel

• Du 5 au 7 (Montélimar – 26) :
Ysabelle Lacamp est invitée aux Cafés littéraires de Montélimar pour son roman consacré à Desnos à Terezin, Ombre parmi les ombres. Rencontrez-la :
– vendredi à 19h au Luna Park du Teil
– samedi à 10h30 au Salon d’Honneur de Montélimar, puis à 15h au Bon’heure du Jour à Montélimar.

Ysabelle Lacamp
• Les 6 et 7 (Saint-Denis – 93) :
Retrouvez-nous pour la 2ème édition des Rencontres populaires du livre de Saint-Denis avec Hala Mohammad pour une rencontre le dimanche à 16h.
Salle de la Légion d'honneur
6, rue de la Légion d'honneur / M° Basilique de Saint-Denis
Rencontres populaires du livre
• Les 6 et 7 (Lucinges – 74) :
Michel Ménaché signera son recueil, Couleur des larmes, à la Fête du livre d’artiste de Lucinges.
Place de l’Église

• Le 6 à 19h (Toulouse – 31) :
Aurélia Lassaque est invitée à la 13ème édition du Salon du livre des Gourmets de lettres pour un récital à deux voix a cappella « Femmes, Science et Poésie ».
Hôtel d’Assezat – Place d’Assezat

 • Le 13 à 15h (Paris – 75005) :
Bruno Doucey participe au colloque international « Valeurs de la poésie » pour une table ronde « Éditer et rééditer la poésie ».
Université Sorbonne – 1 rue Victor Cousin Salle des actes (entrée rue Saint-Jacques) / M° Maubert-Mutualité

• Le 14 à 15h (Paris – 75003) :
Dans le cadre du Festival Lettres d'Israël, projection-rencontre autour de la poète israélienne, Dahlia Ravikovitch, avec Bruno Doucey et Michel Eckhard Elial.
Tarifs : 8€/6€ - réservation en ligne
Auditorium du Musée d’art et d’histoire du Judaïsme – 71 rue du Temple / M° Rambuteau
Pour réserver, c'est par ici !
Dahlia Ravikovitch
• Le 16 à 14h30 (Lille – 59) :
Bruno Doucey participe à une table ronde  dans le cadre du colloque « France-Israël : lectures croisées » autour des questions de traduction.
Université Lille SHS – Maison de la Recherche – Campus de Villeneuve d’Ascq – Salle des Colloques

• Le 18 à 18h30 (Limoges – 87) :
Bruno Doucey présente Ceija Stojka (Auschwitz est mon manteau) pour une soirée Poésie et chants de femmes roms et tsiganes, dans le cadre de la semaine « Citoyennes de la diversité ».
Bibliothèque francophone multimédia – 2 place Aimé Césaire

• Le 20 à 15h30 (Labastide-Saint-Pierre – 82) :
Lectures d’Aurélia Lassaque dans le cadre des « Vendanges de mots ».
Château Saint-Louis – 380 chemin du Bois Vieux

Notre nouvelle chaîne YouTube est en ligne dès ce mois d'octobre !
De nombreuses vidéos sont à (re)découvrir et d'autres arrivent très vite...
Suivez-nous !
Entretien avec Bruno Doucey
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Éditions Bruno Doucey Cour Alsace-Lorraine, 67, rue de Reuilly – 75012 Paris
www.editions-brunodoucey.com

 

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Bonjour à toutes et à tous,

Permettez-moi de vous présenter un nouveau petit livre d'artiste réalisé avec la complicité plastique de Geneviève Guiguet.
Bien cordialement,

Alain Helissen

 Graphies

Geneviève Guiguet / Alain Helissen

Ma collaboration avec Geneviève Guiguet est devenue régulière, à une cadence à peu près trimestrielle. Comme pour nos réalisations précédentes,

c'est Geneviève qui a assuré la réalisation d'ensemble ma tâche ayant consisté à écrire un poème courant sur les pages de gauche.Ce sont les mouvements de l'herbe, dans leurs élancées sensuelles, qui ont inspiré mon texte.

format : 11, 5 x 14 cm

12 pages, papier à grain

reliure : ficelle végétale verte

collages papiers divers et aquarelles

L'édition originale comprend 2 exemplaires numérotés 1/2 et 2/2 et signés par les créateurs.

L'exemplaire N°1/2 est proposé à la vente au prix de 35 euros (port offert)

Réservation avant tout règlement à :

alain.helissen@live.fr

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octobre 2018

 

Quand j’ai commencé la revue, dans les premiers numéros, j’étais systématiquement au sommaire. C’était une façon de faire connaître mon travail en même temps que celui des autres auteurs que j’accueillais. Puis devant leur nombre sans cesse croissant et lassée aussi de ma présence, j’ai libéré la place avec joie. Mais le problème des poètes revuistes, comme ces cordonniers (quand il y en avait) mal chaussés, c’est qu’à force de se mettre au service de l’écriture des autres, ils n’ont plus beaucoup, voire plus du tout de temps pour la leur. Il y a aussi un fait : la réciprocité chez les êtres humains — et les poètes ne font pas exception — ne coule pas de source, c’est pourquoi le proverbial « jamais aussi bien servi que par soi-même » prend au final tout son sens.

 

Alors pour une fois, je reprends un bout de territoire ici, juste le temps de mettre un coup de projecteur entre autre sur la sortie d’un livre à lente maturation auquel je tiens et que publient les éditions Cardère, qui hébergent déjà trois autres de mes bébés. La bonne maison Cardère publie avant tout des ouvrages sur le pastoralisme, la poésie c’est en plus et elle n’a jamais eu l’imbécile idée de choper la grosse tête ou de s’illusionner sur un quelconque pouvoir d’éditeur, pas plus qu’elle ne s’illusionne sur les auteurs eux-mêmes. Une chose est essentielle en poésie — et qui dit poésie, dit vie — : une forme d’humilité. Pas une posture humble non, juste quelque chose de très naturel, humus, humilité, humain, cette racine plantée dans la terre qui nous nourrit et qu’il ne faut jamais oublier, quelle que soit la force et l’envolée de notre imaginaire ou de nos prétentions.

 

Écrire est une chose, être lu en est une autre. Entre les deux se tissent de fragiles et éphémères passerelles dans lesquelles se prend la rosée de l’aube, trésor qui scintille un instant — précieux instant — avant que le jour ne vienne le boire.

 

CG

 

monde de rosée
rien qu'un monde de rosée
pourtant et pourtant

Issa

 

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AU SOMMAIRE

 

 

Délit de poésie : Arnaud Martin, Didier Trumeau, Jérémie Tholomé (Belgique) et Cathy Garcia Canalès

 

Délit  de table : « Aujourd’hui c’est raviolis » extrait d’une pièce de théâtre de Marcel Moratal,

 

Délit de vagabondage : « Une vie de carton », récit nomade de Julien Amillard

 

Illustration 10 small.jpg

 

Résonance :

Ma Patagonie de Guénane, La sirène étoilée, 2017

Lame de fond de Marlène Tissot, La Boucherie littéraire, 2017

 

Et un flash spécial sur Calepin paisible d’une pâtresse de poules, le n°2 de la série Délits vrais – poésie postale, qui est passé en format livre en septembre.

 

C’est aussi la rentrée des Délits d’(in)citation sagement installés au coin des pages et vous trouverez un bulletin de complicité qui n’a pas pris la grosse tête, toujours au fond en sortant.

 

Illustratrice : Muriel Dorembus

 

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http://www.murieldorembus.fr

 

 

 

 

je balaie le sol, allume de l'encens et ferme la porte pour dormir
la natte, comme des rides dans l'eau, la tenture comme de la fumée
ici en étranger, je me réveille, où suis-je ?
je soulève le store de la fenêtre à l'ouest, les vagues rejoignent le ciel

Han Shan

 

 

Illustration 1-2 small.jpg

 

Nouveaux Délits - octobre 2018 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits - Coupable responsable : Cathy Garcia Canalès - Illustratrice : Muriel Dorembus - Correcteur : Élisée Bec

 

 

 

BULLETIN COMPLICE.doc

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Infinie géolocalisation du doute n°8
voir

 

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La revue & les éditions Contre-allées

Pour fêter le lancement de ladite boutique, nous vous proposons deux collections complètes de livrets au prix de la souscription à leur sortie. Vous pouvez aussi adhérer à la formule abonnement ou acheter les deux derniers numéros de la revue à l'unité. 

Il es

 

La boutique, c'est ici : [

 

Contre-alléesRevue et éditionsAmandine Marembert & Romain Fustier

 

https://contreallees.bigcartel.com/

http://contreallees.blogspot.com/

https://www.facebook.com/contreallees/

https://twitter.com/contre_allees

https://fr.linkedin.com/in/contreallees

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va paraître :

DANS LA GUEULE DU CIEL
Sandrine Cnudde

 
voir :
http://www.sandrinecnudde.blogspot.com

 

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PUBLICATIONS

JEAN-PIERRE LASSALLE

&

CHRISTIAN D’ORGEIX

LE GRAND PATAGON ET AUTRES POÈMES

Le nouveau Grand Tamanoir va être publié en octobre 2018 :

Jean-Pierre Lassalle
Dessins de Christian d’Orgeix

Le Grand Patagon et autres poèmes

Jean-Pierre Lassalle

Préface de


180 pages, 15×21 cm, 50 illustrations inédites de Christian d’Orgeix, 15 €.

Le tirage de tête, 30 exemplaires numérotés et signés par les artistes, accompagnés d’une gravure taille douce avec encollage de papier japon teinté à la main, signée par l’artiste, 60 €.

Les illustrations ont été éditées avec la collaboration des

Parution en octobre 2018 : 8e titre des éditions du Grand Tamanoir.

Bulletin de souscription 

http://legrandtamanoir.net/wp-content/uploads/2018/08/Flyer-Lassalle_v3.pdf

 

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les idoles bleues


 
 Bonjour. 

voir

Jean-Luc Aribaud

 

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Voir la version en ligne 17-08-2018
 

Tandis que par la fontanelle la sainte banquise déverse ses poissons, les écrans phosphorescents clignotent, tranquillisants
 

Dans une autre vie, j'étais un serpent nu, une chose sans corps, une vie sans armure…
 
 
Aujourd'hui est habitable   La poésie de Cathy Garcia
n'est plus une inconnue.
Sa coïncidence avec la ligne éditoriale de Cardère continue d'étonner et de réjouir.
On ne s'en lasse pas.




Aujourd'hui est habitable

est proposé

en souscription

jusque fin septembre 2018

le recueil paraîtra dans la collection
"
POÉSIE CONTEMPORAINE"


44 pages, prix public 12€ port compris
prix de souscription 10 €


 
 
il y a dans nos bourbiers
des concrétions de basiliques
de la pulpe d’abricot
des nuées d’anges à crinière noire
qui bondissent d’étoile en étoile
si on les fouette ils dégringolent
par le trou des veines
les hanches percées d’améthystes

 

 
 

   
La lumière et l'absence sont au cœur
de ces deux nouveaux recueils de poésie


Approche
de l'aube


 
Thierry-Marie Clément

 
Préface de Jean-Pierre Lemaire

 
128 pages - 19 €
Parution 26 septembre 2018
Ce recueil de Thierry-Pierre Clément trace un itinéraire, celui d'un chemin de vie animé d'un émerveillement constant devant le monde et qui, s'il peut connaître des moments de doute et de chaos, reste ancré dans une espérance profonde. Chaque poème est ici orienté vers la lumière, déjà visible ou encore secrète. L'aube approche, ou c'est l'homme qui s'approche d'elle.
Itinéraire qu'on osera dire « mystique », mais ce mot ne doit pas faire peur : le fil qui relie les perles de ces instants poétiques est celui de la vie ordinaire ; seulement, comme le personnage d'un tableau de Vermeer, le poète présente le collier à la lumière et nous invite à nous tourner vers elle, à nous laisser traverser par elle,
obéissant à l'inépuisable sang
des arbres et des chemins

traçant de la main
le geste qui dit oui
oui au vent
à la parole
Thierry-Pierre Clément


La Traversée

 
Janine Modlinger



 
96 pages - 17 €
Parution 26 septembre 2018
En chemin vers Florence. Un regard se perd dans le paysage. Ou plutôt il cherche. Il se cherche comme on cherche un vis-à-vis, un visage ami, un visage aimé. Le visage d'une mère perdue trop tôt et qui transforme la vie en une longue attente. Attente qui alors donne d'autant plus de valeur à chaque rencontre, à chaque présence.
Attente qui creuse l'attention néanmoins. Parce que peut-être, ce visage, ce paysage, ce tableau laissent apparaître quelque chose d'inattendu : l'Attendu lui-même. Dans ce nouveau recueil, les poèmes de Janine Modlinger recomposent ce visage disparu. Traversée montre qu'au-delà du désastre, quelque chose d'indestructible demeure.
J'ai promis de ne pas oublier
Le désastre, mais d'en faire
Le seuil
D'où je m'élance.
Janine ModlingerBeauté du presque rien, a été publié chez Ad Solem.

 
editionsadsolem.fr

 

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Julien BLAINE

Retour d’Iran in revue 
http://poezibao.typepad.com/poezibao/sur-zone-la-revue-litt%C3%A9raire-de-poezibao/
ou
http://www.les-lettres-francaises.fr/wp-content/uploads/2018/07/LF-162.pdf

Expo galerie meyer  :
http://www.paris-art.com/julien-blaine-galerie-jean-francois-meyer-1968-2018-1-2-siecle-julien-blaine-3-4-de-siecle/

Parution de 
https://www.sitaudis.fr/Parutions/de-quelques-tombeaux-de-feus-mes-amis-de-julien-blaine.php

 

 

 

Vente également à la la 
Lbrairie consubstantielle de l’aire
131 chemin des Monfils
13122 Ventabren - France
(par chèque)


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Voir la version en ligne 25-07-2018

 
 
 

« Être Hopi, c'est être un bon fermier »…
 

Dans une autre vie, j'étais un serpent nu, une chose sans corps, une vie sans armure…
 
 
Masayestewa. Un fermier hopi   Dernière pièce d'une tétralogie
sur les Natifs du Sud-Ouest de l’Amérique septentrionale…




Masayestewa. Un fermier hopi
de Marie Cayol

vient de paraître dans la collection
"
ART HISTOIRE ET PATRIMOINE"


Préface Jo Pacini
couverture et illustrations Pierre Cayol
152 pages, format 16,5 x 24
prix public 18€ port compris

 

 
Le climat aride a toujours été une contrainte forte en Arizona. Enclavé dans le territoire navajo, le peuple hopi a su adapter la culture du maïs – sa nourriture de base – pour survivre. De cette exigence pédoclimatique est née toute la philosophie hopi.
À travers le quotidien de Masayestewa, ses paroles de sagesse et les expériences que Marie et Pierre Cayol partagent à ses côtés au cours des séjours nombreux depuis 1981, Marie nous guide dans l’univers hopi qui forme un monde à part et perdure depuis plus de mille ans. Le travail d’agriculteur de Masayestewa, réglé sur le cycle des saisons, est inséparable de sa fonction de chef spirituel qui organise des rituels au cours desquels interviennent les Katsinas – danseurs masqués représentant les esprits de la nature – pour demander la pluie.
Ce livre témoigne de l’attachement des Hopis à vivre, se perpétuer et prospérer à l’endroit où ils se trouvent dans une relation forte, intime, pure, brute, à leur environnement, et dans le respect des traditions et des autres cultures. Il clôt une tétralogie concernant les quatre populations les plus connues des Natifs du sud-ouest de l’Amérique septentrionale :
Apaches – Le Peuple de la Femme peinte en Blanc a paru en 2006 aux Éditions le Rocher (coll. Nuage rouge)
Navajo Mountain – La Tête de la Terre-mère – Naatsis’ààn est publié en 2010 chez Cardère éditeur
Chez les Pueblos du Nouveau-Mexique est sorti en 2015 chez OD Éditions (coll. Indiens de tous pays).

 

 
 

 
Marie Cayol et la bonne maison Cardère
vous souhaitent une bien agréable journée

 
 

 

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recommandée par


La revue Reflets est une revue trimestrielle 

orchestrée par

Une revue généraliste « Pour donner sens aux événements ».

 Un autre regard sur le monde.

 

Le numéro 28 aborde dans son dossier 

- auquel j’ai collaboré avec l’équipe de rédaction - 

«La poésie, dire l’indicible»


Ce dossier de 30 pages, clair, présente des auteurs

 reliés à certains grands thèmes du regard poétique

 que sont la contemplation, l’émerveillement,

 la renaissance, la liberté, 

l’expression même de la vie, l’enfant poète… 

« C’est ainsi que le poète prend le pari de mettre en mots

 ce qui relève de l’indicible » Laurent Terzieff.


Un bonheur qu'une telle revue généraliste accueille si généreusement la poésie !

 

Découvrir 

 

Disponible dans les kiosques la revue 

peut-être commandée directement sur le site. 

 

Site de la Revue Reflets



 

 

 

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A paraître en octobre 2018

Terres nues 
 
de
avec des photographies de
 
photographe malouin,
 arpenteur des confins du Nord de l'Europe! 
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Avis de parution le 1er juillet du troisième "délit buissonnier" :
 


 

40 pages agrafées

tirage limité et numéroté

sur papier recyclé  

offset 90 gr

couverture calcaire 250 gr

textes de Bruno Toméra

 l’auteur  présenté par Jean-Louis Millet :

 Tom   le malgré tout poète

Quelle est cette manie de vouloir coller une bio ?  les poèmes se

suffisent, non ? Pour les bios je préfère l'intime à deux, dans un canapé

moelleux, prêts à se défenestrer l'ego et le corps, dans le duel de la

parade séductrice.... (non je rigole)

 Mais, faut se méfier des chats acculés dans les coins de murs, balancent

toujours de foutus coups de pattes, enfin...  je suis aux aguets des

pulsions de révoltes comme autant de petits espoirs de cette humanité déchue.

Ce regard entrouvre la porte d'un désir

que nous n'aurons pas le temps de franchir

c'est le cambriolage d'une caresse

qui restera là, dérobée, sans adresse.

… mais, avec le recul, y a de quoi pondre quelques belles foutues

phrases  sur le tapis savonneux de l'existence.

Mon rire délivre insolent et joyeux l'impertinence de vivre.

Tom

Ouvrier mécanicien pour la raison sociale, poète essentiellement

chercheur de vie et d’étonnement, chercheur de musicos chanteurs & enchanteurs aussi pour que les mots puissent vaincre les lois de la

gravité.

Bio recomposée par petits prélèvements dans l’œuvre

et les échanges épistolaires avec « le malgré tout poète ».

illustrations originales de Jean-Louis Millet

« Au retour dans la bagnole, intercalé dans la file des pressurés

l'humanité klaxonnait, gueulait, les bras au ciel, pressés

de se jeter corps et âmes dans d'autres emmerdements.

Le connard de derrière habillé en voiture dernier cri

gesticulait dans le rétro, le poing brandi.

Garde toujours le piaf des urgences dans ton cœur

Garde toujours le piaf des urgences dans ton cœur.

Que je me suis dit. »

Serrant mes mains dans ses mains

elle me dit :

“Gamin, c'est une bulle de savon, la vie,

ça pique les yeux et c'est fini.” 

10 € 

 à commander à

Association Nouveaux délits

Létou

46330 St Cirq-Lapopie

 

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Vient de paraître, juin 2018 

« Jean-Louis Clarac - Une ardeur terrienne »

n° 130 collection

aux

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Le numéro 8€+2€ frais de port.

Pour tout renseignement s’adresser

 aux Editions : 150, bd des Poilus 44300 Nantes

ou à l'auteur par lettre au :

98 rue de l’Egalité 15000 Aurillac

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Parution 12 septembre 2018

Une variation autour de La Tempête de Shakespeare.
Un roman qui est à la fois une réflexion
sur la littérature et le genre romanesque.
 


 
Emmanuel Moses

LES ANGES

 
Roman


 
136 pages . Format 14 x 19 . Parution 12 
« Il suffit de si peu pour ébranler un sentiment.

 
Trois personnages sont perdus dans un parc alors qu'une tempête se lève. Ils s'abritent dans une cabane dans laquelle ils rencontrent un homme et sa fille. S'engage une conversation, sur les occupations de chacun, sur la petite fille endormie.
C'est un roman en quasi huis-clos dans lequel les personnages, par leurs dialogues et leurs non-dits, dévoilent certains ressorts de l'âme et livrent, presque malgré eux, une théorie de la littérature.
Qu'est-ce qui fait un roman ? Quel est le but de la littérature ? Où la poésie peut-elle résider ? C'est à ces questions que tente de répondre Moses, dans un texte où chaque personnage représente une des tentations de l'écrivain. Variation de La Tempête de Shakespeare, ce bref roman d'Emmanuel Moses constitue un art romanesque et témoigne des rapports de la littérature et de la vérité.

Dieu est à l'arrêt du tram (Gallimard, 2017).

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BELVÉDÈRESOMMAIRE 

Fake news, Les délices de l'ère Macro-Macronienne

Non ne possiamo più - Espellere i clandestini cominciando dal papa e dai cardinali

Un colloque transnational à l'Institut Culturel Italien de Paris

LIVRES: Europe en mouvement (Hermann), Horia Ursu, Zhag Wei

PROCHAINEMENT SUR VOTRE ECRAN: Alain Joubert, Le cinéma des surréalistes

Jane Fonda Prix Lumière 2018

 Séquences lyonnaises tournées par les Frères Genovese

Di Montalabano figli siamo (polar) 2o episodio

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Vient de paraître :

« Regards sur l’Enfant-Jésus »

 de 

d’après l’œuvre d’

et pour les concerts de Marielle Le Monnier. 

Editions Olivétan  , 14 €

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Patrice Maltaverne nous communique :

Vous trouverez ci-joint, pour votre information, des extraits du numéro 77 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, et qui comprend les poèmes ou textes courts de:Fabrice Marzuolo, Basile Rouchin, Cathy Garcia, Céline Rochette-Castel, Clémentine Plantevin, Chloé Landriot.

 

- en version pdf : https://share.orange.fr/?_=vJO#vYATNTsaxc106b34f8c8

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=Ebg#xMfj9IPNcU106b34f88d

 

 

Si les liens ne fonctionnent pas directement, vous pouvez les copier-coller.

 

Vous trouverez enfin ci-dessous, quatre liens qui vous permettront d'aller faire un tour sur les deux blogs des Editions Le Citron Gare et de Traction-brabant, ainsi que sur les deux blogs de mes chroniques poétiques :

 

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://traction-brabant.blogspot.fr/

 

http://poesiechroniquetamalle.blogspot.fr/

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 


 

Patrice Maltaverne

et l'association Le Citron Gare

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Vous prendrez bien un poème ?
Courrier des lecteurs. 
Numéro spécial 80. 6 mai 2018
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Sortie du livre  de poésie 
« L’être sans l’ombre »
 Par

 
 C’est le quatrième recueil de poésie de l’auteur. 
Ces poèmes sont un parchemin légué 
par les premières pulsations de l’humanité primale. 
Ce recueil est illustré par des sublimes caricatures 
du caricaturisteGyps 
L’ouvrage 
«… De ce point de vue, je lis la poésie deHamid Larbi
 un peu comme la survivance que nous espérons 
régénératrice des émotions, des tourments, 
des coups de colère, des coups de foudre, 
de toute cette cosmogonie des combats
 et des fusions de ce Cercle des poètes algériens,
 notamment de graphie française. 
Ce cercle, depuis le début de ce mouvement 
qui a commencé très tôt,
 consistant selon le credo de Kateb Yacine
 à prendre la langue française
 comme un butin de guerre, 
s'est toujours passé le relais 
d'une génération à l'autre pour 
- là aussi, il n'est pas possible, ici moins qu'ailleurs
 de ne pas convoquer Jean Sénac- 
« ouvrir le poème comme une nacre » 
et marier, en de splendides noces dionysiaques, 
la poésie, l'amour et la révolution…» 

 
Préfacé par l’écrivain Arezki Metref
Voir

 

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parutions fichier\2018\Gilles Lades.pdf

 

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Francis Pornon 

"La Fille d'Occitanie"TDO éd. a rédigé sur son site une note de lecture sur le livre de :


BARDOU Franc,

Lire la poésie de Bardou (F

Lire la suite en cliquant sur le lien : 

 

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Julien Blaine Le catalogue d’une expo :   


 
Le catalogue de l’expo : 
64 pages 
24 X 16 cm
Tout en couleur sur papier couché
€ 10,00
éditions galerie Jean-François Meyer
Sommaire :
Préface de Julien Blaine : The big Trouille made in France (mars 2018)
Manifeste de Mai 1968 sous forme d’idéogrammes (mai 1968)
Géranonymo N° 1 (extraits) (mars 1972)
Fiulmalbo : L’expérience de la révolution (été 1967)
2 chroniqueurs à L!bé : Jules VAN & Alias ViART (mars 1975 - décembre 1978)
les veilleurs de jour et de nuit et le CRAPUL (1970 - 1971)
Liberté de Parole au théâtre du Vieux-Colombier (mai 1969)
4 généraux à la biennale de Paris de 1969
Vieilles actualités : démission du Provençal (Midi-Média 1990), démission de 
Postface de Nanni Balestrini : Ballade des ordures (2011)

 
Le tome III d’une saga ex/
 

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Cathy GARCIA CANALES nous communique :

 Mes cartes postales collection "Magie, poésie, beauté du Lot ": nouvelle série

 

Voici la Série 2 de cette collection.
 

Cinq cartes au format 105mm x 149mm en papier haut de gamme 330-350 g/m² avec finition mate.

 

Cartes signées.
 

La première série est de nouveau disponible.

3 euros la carte, port offert

à réserver par mail : MC Garcia Canalès  mc.gc@orange.fr avant d'envoyer le règlement, merci !

Cathy Garcia Canalès

 

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VA PARAÎTRE 

AUX ÉDITIONS DE LA TABLE RONDE

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http://www.editionslatableronde.fr/

 

 

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"Avril en iris gris, en tessons de lumière, avril aboie dans l'herbe."
Pierre Mainard éditeur
Nouveautés, présentations et extraits : http://pierre-mainard-editions.com/
 
PIERRE MAINARD, ÉDITEUR
18, rue Emile Fréchou  - 47600 Nérac
Tél & Fax : 05 53 65 93 92
mainardeditions@free.fr
Facebook : pierre mainard éditeur
Site Internet : http://pierre-mainard-editions.com/

 

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 Printemps Théâtrales : Karin Serres, Filip Forgeau, Miró, Sonntag, prix littéraires 

 

Sur la ligne de crête

Le printemps, saison de la renaissance, où tout bourgeonne, refleurit, des jeunes pousses aux idées et envies de changement. On sent poindre une certaine fébrilité, sans que l’on sache vraiment ce sur quoi elle pourrait déboucher. La société est sur la ligne de crête entre résignation et espoir du retour de la solidarité. Et les écrivains sont là pour nous alerter, en proposant des œuvres ancrées dans nos réalités ou visant à les dépasser par le doux délire ; deux options différentes, mais toutes deux potentiellement cathartiques. Et le théâtre, en ce qu’il est un art de la coprésence comme de l’illusion ou de sa mise à distance, nous permet encore davantage de nous identifier, de rappeler les voies possibles de cette catharsis : le témoignage d’un pire déjà vécu ou la fuite par le rêve et la construction d’un autre possible.

Grâce au théâtre, cet art « dangereux » mais salvateur, on se découvre à ce point de jonction entre fatalisme et désir de changer le cours des choses, à commencer par sa propre existence, pour viser, ensuite, le collectif.

Bonnes lectures, bon printemps.

 
Federico(s)

Quatre générations différentes de Federico(s) renouent avec la parole oubliée des victimes de la barbarie des hommes. Des décombres fumants de la guerre d’Espagne, Filip Forgeau extrait les bribes d’une histoire que les enfants des républicains ont vécue dans le silence et la passivité complices des autres gouvernements d’Europe. Alors que le franquisme prend le pouvoir, ceux qui incarnaient le « péril rouge » font l’objet d’une répression sanguinaire.

À travers les lettres qu’ils reçoivent, et alors qu’ils ont décidé de parler des horreurs de cette période dictatoriale où les enfants des rouges sont volés et élevés dans l’adoration aveugle de la nation et le déni des idéaux de leurs parents, des morceaux de mémoire et de souvenirs viennent reconstituer peu à peu le puzzle éclaté de leur passé familial trop longtemps tu. À 80 ans de distance, le venin de la peur et de la honte coule encore dans les veines familiales, se transmettant de génération en génération.

Filip Forgeau montre avec une poésie radicale les affres passées d’une guerre civile européenne au cours de laquelle les fascismes ont été favorisés par une longue crise économique, politique et morale pendant que les démocraties fainéantes n’ont pas bougé pour contrer ce qui aurait pu l’être, laissant les républicains dans la gueule des loups.

Une pièce nécessaire contre l’oubli de la folie monstrueuse des hommes, qui peut être portée par une ou plusieurs voix.

Coll. «  Répertoire contemporain » - 48 p. - 11 euros - Ouvrage publié avec le soutien du Centre national du livre

Pour lire un extrait, c'est ici.

© Soizic Gourvil
Révélé par Daniel Mesguich au Théâtre Gérard-Philipe – Centre dramatique national de Saint-Denis, Filip Forgeau, né en 1967 à Châtellerault, a publié une vingtaine de textes alternant théâtre, récits, romans chez Actes Sud - Papiers, Lansman, Le Bruit des Autres, L’Amourier, Dernier Télégramme, Les Cygnes, Incipit en W et aux éditions Théâtrales.

Au théâtre, une quarantaine de ses textes ont été montés et joués en France. Certains d’entre eux ont également été représentés en Suisse, en Belgique, au Québec, au Maroc, en Algérie, en Allemagne, en Italie ou encore en Bolivie.

Par ailleurs directeur artistique de la Compagnie du Désordre fondée en 1987 et conventionnée par le ministère de la Culture, il a mis en scène trente-cinq spectacles pour le théâtre et l’opéra, diffusés en France et/ou à l’étranger.

Pour lire sa biographie complète, c'est ici.

Son actualité

Federico(s), mise en scène de Philippe Flahaut de la compagnie Création Éphémère, sera en tournée le 12 mai à l'église Saint-Jacques de Nant (12), plus d'informations ici ; et le 19 février 2019 au Théâtre de la Maison du Peuple – Scène conventionnée de Millau(12).

Les autres textes de Filip Forgeau en tournée : 

- Univers Elle, mise en scène de Philippe Flahaut de la compagnie Création Éphémère sera jouée le 26 mai à Panazol (87), le 4 octobre à Brioude (43), le 5 et le 7 octobre à Clermont-Ferrand (63), le 6 octobre à Langeac (43), le 23 novembre à La Menuiserie de Rodez (12). Plus d'informations ici.

- La petite fille hamster qui rêvait d'être une girafe, mise en scène de Filip Forgeau de la Compagnie du Désordre sera jouée le 27 juillet dans le cadre du Festival La Fabrick des Z'enfants à Millau (12). Plus d'informations ici.

- Moustaches, mise en scène de Stanka Pavlova de la compagnie Zapoï sera jouée le 13, 14 et 15 juin au Théâtre de la Verrièreà Lille (59), le 10 octobre à Champs-sur-Marne (77), du 2 au 4 novembre à la Salle du Lignon à Vernier (Suisse), du 20 novembre au 1er décembre à Théâtres en Dracénie – Scène conventionnée (83). Plus d'informations ici.

- West RN, mise en scène de Denis Bonnetier de la compagnie Zapoï sera jouée le 11, 12 et 13 avril au Centre culturel Daniel Balavoine à Arques (62),le 19 avril à la Maison Folie de Wazemmes (59), le 22, 23 et 24 mai au Bateau Feu – Scène nationale de Dunkerque (59), les 15 et 16 novembre aux Nymphéas à Aulnoy-lez-Valenciennes (59), les 6 et 7 décembre au Studio Théâtre de Stains (95). Plus d'informations ici.

Pour être avertis des dernières productions de La Compagnie du Désordre de Filip Forgeau, vous pouvez les suivre ici.

 
Berbéris / Givrée

Alors qu’il existe plus de 600 espèces de berbéridacées, il n’a fallu qu’un Berbéris pour lier Angèle et Élodie, deux jeunes filles sauvages qui vont apprendre à s’apprivoiser au fil des cycles de lavage et d’essorage à la laverie du quartier. Entre leurs existences apparemment insignifiantes s’engage un dialogue qui nous donne à voir et à entendre la résistance farouche de deux jeunes femmes face à l’engourdissement général de notre société.

Givrée, Charlotte l’est devenue complètement, enfermée par mégarde dans la chambre froide du supermarché où elle travaille comme caissière. L’habituelle pause cigarette de la jeune fille accablée par l’été caniculaire se prolonge dans son refuge réfrigéré avec cette fraîcheur agréable puis peu à peu paralysante qui la fait délirer, seule dans son palais de glace réinventé. Un monologue qui explore les défenses imaginaires que l’on se crée lorsque le corps atteint ses limites.

Karin Serres emprunte le chemin du rêve, pour que ses personnages (féminins) dépassent deux fléaux de nos sociétés ultra-connectées et pourtant trop souvent déconnectées de l’humain et des relations sociales : la solitude et la pression du toujours plus.

Avec subtilité, l'autrice tire les ficelles de ces quotidiens à l’apparence banale, qui révèlent dans leurs plus intimes replis une force humaine saisissante et salvatrice. Par une langue poétique et épurée, elle offre des partitions admirables aux jeunes actrices.

Coll. «  Répertoire contemporain » - 76 p. - 13 euros - Ouvrage publié avec le soutien du Centre national du livre

Pour lire un extrait, c'est ici.

© Bertrand Couderc
Karin Serres est née en 1967. Écrivant déjà romans et nouvelles, ses études de scénographie (Ensatt 1987) lui font découvrir l’écriture dramatique qui la mène à l’écriture radiophonique : trois formes littéraires qu’elle travaille désormais en parallèle.

Boursière de la Région Île-de-France, du CNL et de la DMDTS, elle a écrit près de 80 textes de théâtre souvent publiés, joués ou traduits, dont la moitié s’adresse à un public jeune, particulièrement aux adolescents.

La saison 2017-2018 verra la création de ses textes Ciconia Ciconia (Camille Perreau), Louise (Delphine Noly), 1 000 échantillons vivants (Kollectif Singulier), de la comédie musicale Jeanne et la Chambre à air (Christian Duchange, sur une musique de Yannaël Quenel), et elle participera à un laboratoire de création avec le groupe de rock Métro Verlaine.

Pour lire sa biographie complète, c'est

Pour consulter son site internet, c'est

Son actualité

Les textes de Karin Serres en tournée :

- Jeanne et la chambre à airs, mise en scène de Christian Duchange de la compagnie L'Artifice,sera jouéele vendredi 4 et le samedi 5 mai à La Vapeur, à Dijon (21), plus d'informations et réservations ici ; et le samedi 26 mai à l’EPCC d’Issoudun (36). Plus d'informations et réservations ici.

- Traversée artistique avec le groupe de rock Métro Verlaine sera montée le mardi 17 avril au Kubb, Le Tangram – Scène nationale d'Évreux (27). Plus d'informations et réservations ici.

- Louise, mise en scène de Delphine Noly de la compagnie La Tortue, sera jouée du mardi 24 au vendredi 27 avril, à la Bulle de Culture 70 à Villersexel (70), plus d'informations et réservations ici.

- Nos fenêtres invisibles, texte écrit avec le groupe d'écriture Neruda à l'occasion d'une résidence au Tangram – Scène nationale d'Évreux, sera lu le vendredi 1er juin par Karine Serres. Plus d'informations et réservations ici.

- À la renverse, mise en scène de V. Artus sera jouée le 14 juin au Théâtre des Chartreux à Marseille. Plus d'informations et réservations ici.

- Chien noir de l’espace sera mis en espace par Pascale Daniel-Lacombe dans le cadre de la résidence Dasein avec le Théâtre du Rivage au Parvis d’Avignon. Plus d'informations ici.

 
Théâtre / Public n° 228 : La scène lyrique, échos et regards

Dossier coordonné par Judith le Blanc

Il est peu d’arts comme l’opéra qui subissent autant de préjugés. On lui reproche son élitisme, son archaïsme, ses conservatismes. S’aventurer sur les scènes lyriques actuelles dément bien vite cette imagerie. La vitalité et la diversité des spectacles qui s’y présentent sont remarquables. Partant de ce constat, ce dossier propose un retour sur quelques-unes de ces expériences. Pour cela, il donne la parole à ses artistes ainsi qu’à des spécialistes de l’opéra et du théâtre. Les questions posées sont esthétiques, théâtrales, politiques, sociales… Le champ couvert par ce numéro, dès lors, est vaste. C’est que penser la scène lyrique à nouveaux frais suppose d’ouvrir les regards, de les multiplier afin de prendre en compte la pluralité de ses richesses et de ses enjeux.

Sommaire complet ici.

Coll. « Théâtre/Public » - 128 p. - 16 euros

 
Rencontre Josep Maria Miróet Laurent Gallardo à la librairie Palimpseste

À l'occasion de la parution de la pièce Le Principe d'Archimède de Josep Maria Miró, traduite du catalan par Laurent Gallardo, la librairie Palimpseste accueille l'auteur et son traducteur pour une rencontre ce vendredi 13 avril à 17 h 30 dans le cadre du Festival Barcelone en scène, en partenariat avec le Théâtre 13 (Seine et Jardin).

Informations pratiques : Librairie Palimpseste, 16 rue de Santeuil, 75005 Paris. Accès : métro Censier- Daubenton, bus 47 et 67. Entrée libre.

Le Principe d'Archimède se joue les 12, 13 et 14 avril à 20 heures au Théâtre 13 (Seine), dans la mise en scène de Bruno Tuchszer. Plus d'informations et réservations ici.

La pièce

Vincent, un jeune maître-nageur, est accusé par un enfant d’avoir embrassé l’un de ses camarades sur la bouche. Au milieu des flots déchaînés de parents inquiets et alarmistes, en immersion dans le microcosme chloré de la piscine, les quatre personnages en apnée peinent à retrouver la surface. Entraînés dans une véritable chasse à l’homme, lecteurs et spectateurs perdent pied dans un maelström de scènes adroitement maillées où la vérité leur échappe, avant d’apercevoir le sens possible de cette histoire tout sauf univoque. Car qui condamne-t-on, au juste, en suivant aveuglément la rumeur avide de drame, si ce n’est la liberté  ?

Coll. « Répertoire contemporain » - 80 p. - 18 euros

Pour lire un extrait, c'est ici.

 
La saison des Prix

Nous sommes heureux d'annoncer que les auteurs Koffi Kwahulé, Suzanne Lebeau, Lola Molina et Guillaume Poix ont été les lauréat.e.s des prix suivants :

- Prix Bernard-Marie Koltès des lycéens 2018, organisé par le Théâtre national de Strasbourg pour Koffi Kwahulé et sa pièce L'Odeur des arbres

- Prix des lecteurs du Théâtre du Cher 2018, organisé par la DSDEN du Cher pour Suzanne Lebeau et sa pièce Trois petites sœurs

- Prix Godot des lycéens 2018, organisé par le Panta Théâtre de Caen pour Lola Molina et sa pièce Seasonal Affective Disorder / Trouble affectif saisonnier

- Prix Godot des Nuits de l'Enclave 2018 organisé par le Festival des Nuits de l'Enclave pour Guillaume Poix et sa pièce Fondre, à paraître en septembre 2018

 
B. Traven

Si vous n'avez pas encore été voir B. Traven, le nouveau spectacle de Frédéric Sonntag et de sa compagnie AsaNIsiMAsa au Nouveau Théâtre de Montreuil, il n'est pas trop tard, les représentations continuent jusqu'au 14 avril ! Plus d'informations et réservations ici.

Le spectacle sera ensuite en tournée au Grand R – Scène nationale de La-Roche-sur-Yon du 19 au 20 avril prochains. Plus d'informations et réservations ici.

La presse en parle !

« Les pièces précédentes étaient déjà remarquables, celle-ci est tout bonnement formidable. » Gilles Costaz, Politis, article completici.

« Dans un double mouvement d’une chronologie qui mène d’avant en arrière, d’arrière en avant, Frédéric Sonntag joue de tous les registres de la réalité et de la fiction, du faux et du vrai qui s’entrelacent, se confondent, en même temps que les espaces et les époques. » Didier Méreuze,  La Croix, article complet

« L'impeccable narration ouvre sur une réflexion philosophique et politique sagace, qui rappelle que les identités sont toujours multiples et que l'assignation est un piège stérile et haineux » Catherine Robert, La Terrasse, article complet

« On est totalement embarqué par cette histoire à tiroirs dont l’auteur tire les fils avec une audace folle. B. Traven vient clore la Trilogie fantôme, imaginée par Frédéric Sonntag. Ce dernier opus nous fait traverser un siècle de guerres et de révoltes sociales et politiques. Un spectacle érudit, rocambolesque et complètement déjanté. » Marie-José Sirach, l'Humanité, article complet ici.

Article de Mathieu Perez pour Le Canard Enchaîné ; article de Philippe Chevilley pour Les Echos, à lire ici ; article d'Orélien Péréol pour Agora Vox à lire ici ; article de Mireille Davidovici pour le Théâtre du Blog à lire ici ; article de Martine Piazzon pour Froggy's Delight à lire ici ; article de Théodore Lacour pour Un fauteuil pour l'orchestre à lire ici.

Écouter le podcast de La Dispute d'Arnaud Laporte sur France Cultureici.

La pièce est aussi Coup de cœur d'Arte ! À voir ici.

 

 

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Belvédère n° 52

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SOMMAIRE de Belvédère 52 :

Hexagonie: Un pays au bord de la schizophrénie

Mon Occitanie

Ritalia: L'Avvento delle 5 Stelle

I tre Pastori

LIVRES: Lucian Blaga, Irina Teodorescu, Bogdan Teodorescu, 

Françoise Grard, Michel Butor/Mireille Calle-Gruber

Expositions: Truphémus, Vilalta, Luther King

Meurtres au quai du polar
 

Di Montalbano figli siamo

****

Jeudi 26 avril à 18h30

à la librairie Floury

36 rue de la Colombette - TOULOUSE

présentation du roman

Dans l'utérus du volcan

d'Andrea Genovese

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 Belvédère 51
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SOMMAIRE

 

2018, eh oui!      2018, ti pareva!

Tribune : Barouf parisien    Le baruffe chiozzotte

Le chaos des immigrés

Che razza d'elezioni

Hommage à Salvatore Gurrieri

La vostra Padania, anima bella...

LIVRES: Pavel Catalin, Roger Salloch, 

Christian Saint-Paul, Christian Prigent

Resistere à Messina: Felice Irrera, Giuseppe Iannello


 

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Eh bien voilà revenue l’année nouvelle ! Nous savons que ça ne veut pas dire grand chose, mais si ça peut nous permettre de nous sentir de même un tant soit peu neufs, décidés à laisser derrière nous le pesant et l’obsolète... Une nouvelle chance, un nouveau départ, un peu de poudre de perlimpinpin qui brille, une virginité en toc, un lustre qui disparaitra en deux coups d’éponge, mais quelques secondes de rêve, ce n’est pas rien, alors on ne va pas se les gâcher en faisant du mauvais esprit, surtout quand on s’appelle « Nouveaux Délits ».

 

Si la lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil, comme l’écrivait Char, alors elle est au soleil pendant que d’autres sont au bureau, aussi spacieux soit-il. Alors, fait-elle vraiment souffrir cette lucidité ? Et si elle était justement la garante du rêve ? Entre la transparence et l’opacité, il y a la beauté de la translucidité, ce qui n’est pas sans rapport avec la poésie.

 

Aussi, je vous invite sans plus de blabla à la découverte des poètes de ce nouveau numéro. Je les ai choisis avec mon meilleur mauvais goût, clin d’œil à de pauvres petites idées fixes et préconçues et donc pas très neuves,de ce qu’est, doit être et ne peut pas être la poésie. Ne cherchez pas, la poésie n’y est déjà plus ! Souhaitons-nous plutôt de tirer le meilleur jus de cette année inédite et de le boire en chantant à tue-tête. Soyons sérieux : rions beaucoup et aimons plus encore !

 

Bonne année 2018 à vous toutes et tous et que la paix ferme le bec des imbéciles qui ne laissent pas passer la lumière.

 

 

BULLETIN DE COMPLICITÉ

 

 

Je me déclare complice de Nouveaux Délits à compter du numéro    ...   :

 

Nom:                                                  Prénom :    

 

Repaire :

 

 

Adresse virtuelle :

 

 

 

Je blanchis mon argent en envoyant mon chèque à :

 

ASSOCIATION NOUVEAUX DÉLITS

Létou – 46330 St CIRQ-LAPOPIE

 

 

Au numéro: 6 € + port  (1,50 pour la France, 2 pour zone 1 et 2,60 pour zone 2)

  Abonnement:

-    28 €pour 4 numéros ou 54 €pour 8 (France)

-    
32 €pour 4 numéros ou 62 €pour 8 (zone 1)

-   
34 €pour 4 numéros ou 66€pour 8 (zone 2)

 
« Nouveaux délits et les 40 éditos »
(mars 2011): 10 €

 

Délit buissonnier n°1 (Feu de tout boisde Murièle Modély, illust. Sophie Vissière) : 10 €


 Adhésion à l’association Nouveaux Délits (non obligatoire) :10 €


Je ne souhaite pas m’abonner mais je voudrais le (ou les) n°………………………………

 

 

Pour lire les éditos et sommaires des numéros déjà parus :

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

 

La force surprenante qui m’anime, c’est tout bêtement la volonté irréductible de refuser d’être complice du nouvel ordre autoritaire-marchand en cherchant à lui nuire joliment.

Noël Godinsurnommé Georges Le Gloupier, l’entarteur

 

DECEMBRE 2017

 

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 Terra Incognita
photographies de Sabrina Ambre Biller & textes de Lior Nadjar

Les Éditions les Presses littéraires
www.lespresseslitteraires.com

 
Terra Incognita 
L’ensemble des photographies ont été prises en France au détour de pérégrinations sur les paysages d’Auvergne, de Bretagne, de la Petite Camargue, des Cévennes, de la Gironde, Landes, du Languedoc, du Larzac, Lozère, des Pyrénées Catalanes, ... ).
Pour commander directement sur le site :
www.lespresseslitteraires.com
Collection : Atelier génétique
Ft : 20 X 15 - 70 pages - 12 €
Livres de photographies et textes de Sabrina Ambre Biller et Lior Nadjar.
ISBN: 979-10-310-0353-5
 
 

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PO&PSY 

tirages de tête
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 "atelier de l'agneau éditeur" 

3 LIVRES D'ARTISTES

 
cadeaux ou pas c’est tous les jours le temps des livres de création...
voici trois livres d’artiste proposés en livres uniques… ils existent aussi en édition ordinaire.

 
                                                                        Voir

 
Françoise Favretto
revue l’Intranquille

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voir :

Novembre-Décembre 2017

SOMMAIRE

Dans l'Utérus du volcan

d'

Communiqué de presse Maurice Nadeau

Heureuse fin d'année

La découverte d'Utopie

Scoutisme e guerra civile

Care donne, ci avete rott'amato le palle

Chères femmes, vous nous avez cass'aimé les couilles

Johnny D'Ormesson les dealers et le bon dieu

L'Astronauta

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LE LIVRE INVISIBLE 
50 auteurs et témoins racontent l’Atelier Imaginaire
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Après
de
signalé au cours de nos émissions et dont nous reparlerons,
René Le Corre
annonce la parution de son nouveau livre 
Un monde de rosée
aux

"Si jamais, une fois et désormais, il vous est loisible de vivre 

dans la différence et la proximité sous les nuages rapides, 

et puisque maintenant cela est,

 puisque le maintenant se maintient à la cime,

 moments, ô moments, oasis, et quand et comment

 ne sera pas dit puisque désormais tu ne veux plus,

 vous ne voulez plus rien sinon approfondir la profondeur,

 élargir le moment." 

René le Corre.

Ce livre sera disponible dès vendredi 22 décembre.

Voir :  https://abp.bzh/un-monde-de-rosee-rene-le-corre-43826

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VIENT DE PARAÎTRE

NUEVA PUBLICACIÓN

photo Carolina 3

CAROLINA ZAMUDIO

RITUELS DU HASARD  / RITUALES DEL AZAR

édition bilingue, traduit de l’espagnol (Argentine) par Rémy Durand

Association Gangotena – éditions associatives Villa-Cisneros 2017

Edición bilingüe, traducido del español (Argentina) por Rémy Durand

Asociación Gangotena – ediciones Villa-Cisneros 2017

ISBN 978-2-919209-14-9

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« Dans une langue à la fois lyrique et dépouillée, Carolina Zamudio  décrit un monde de paradoxes, où s’affrontent deux temporalités : celle, familière,  du cycle des jours, des nuits et des saisons, et une temporalité figée, celle de l’attente incertaine d’une révélation : un baiser, un frôlement du vent, le surgissement d’une larme peuvent déclencher une fulgurance.

 

C’est un monde soumis à la logique décousue et pourtant implacable du rêve : on y explore des songes dont le sens se dérobe. Les objets sont porteurs de présages ambigus. On croise des fantômes amicaux et tristes.  Le rêveur se dédouble, et se regarde rêver ; et le poète se désincarne, dépossédé de sa création,  comme s’il n’était qu’un  l’instrument que traversent les pensées qu’il exprime, et non pas leur auteur.

 

Dans ce monde mouvant où jour et nuit s’interpénètrent, où intérieur et extérieur changent de places comme on retourne un vêtement, on cherche le refuge d’une maison ou d’un hamac. On aspire à l’inconnu, mais on est déchiré de devoir quitter ce que l’on connaît. On porte sur le quotidien un regard rétrospectif, qui anticipe l’adieu.  

 

On sait que ce qui viendra un jour sera à la fois saisissant et terrible, une épiphanie qui ordonnera le chaos apparent et en révèlera la beauté. Ou peut-être simplement la mort, comme un lumineux éveil au terme du songe ombreux de la vie.

 

On n’émerge pas indemne de la lecture des poèmes de Carolina Zamudio, parce que ses rituels sont magiques, et nous apprennent à voir au-delà  du hasard ».

 

Olivier Lécrivain

Pouligny-Saint-Martin, février 2017. 

 

En una lengua a la vez lírica y depurada, Carolina Zamudio describe un mundo de paradojas donde se enfrentan dos temporalidades: una, familiar, del ciclo de los días, de las noches y de las estaciones, y una temporalidad estática, la de la espera incierta de una revelación: un beso, un roce del viento, la aparición de una lágrima que puede desencadenar el brillo.

Un mundo sometido a la lógica fragmentada y, sin embargo, implacable del sueño: explora los sueños cuyo significado elude. Los objetos llevan presagios ambiguos. Se cruzan fantasmas amigables y tristes. El soñador se desdobla y se mira soñando; y la poeta se descarna desposeída de su creación como si sólo fuera un instrumento que atravesase los pensamientos que expresa, que no son de ella misma.

En este universo movedizo, en el que día y noche se entrelazan, donde interior y exterior cambian de lugar como anversos y reversos de una misma prenda, se busca el refugio de una casa o de una hamaca. Se aspira a lo desconocido, pero desgarra el deber abandonar lo que ya se sabe. Se centra en lo cotidiano con una mirada retrospectiva, que anticipa el adiós.

Sabemos que lo que irá a ocurrir algún día será a la vez impactante y terrible, una epifanía que ordenará el caos aparente y revelará la belleza. O tal vez sólo la muerte, como un despertar luminoso después de un sueño sombrío de la vida.

No se sale indemne de la lectura de los poemas de Carolina Zamudio, porque sus rituales son mágicos, y nos enseñan a ver más allá del azar.

 

Olivier Lécrivain

Pouligny-Saint-Martin, febrero de 2017. 

 

 

 

Commandes / Pedidos  en France / en Francia : chez votre libraire ou Association Gangotena, 4 rue Vincent Allègre, 83000 – Toulon F. / en donde su librería o a  Association Gangotena, 4 rue Vincent Allègre, 83000 – Toulon F.

Chèque à l’ordre de Association Gangotena de 14 € (+ 2 € de frais de port) / Cheque a Association Gangotena de 14 € (+ 2 € de gastos de envío)

Commandes / Pedidos en Uruguay : a Carolina Zamudio,  carozamudio@gmail.com

 

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Dans cette 84ème lettre d'information, nous vous proposons de redécouvrir nos beaux-livres, et de venir nous saluer lors de nombreux événements pour fêter la fin de l'année ensemble !
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Ils dormentde Christiane Veschambre, paraîtra à L’Antichambre du Préau 

(145 bis, avenue de Choisy 75013 / 01 48 06 47 06 / preaudescollines@gmail.comle 

15 décembre 2017.

Vous pouvez le commander en répondant à

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Christiane Veschambre

Ils dorment

 

 
 

édition limitée à 200 exemplaires plus 30 exemplaires accompagnés d’un portrait original de Jacques Le Scanff.

 

"Ecrire le poème retourne en plein jour à la nuit invisible de la présence dans l'amour - la présence secrète, qui ne peut être montrée, la présence ordinaire du vivant souterrain que celui qui écrit le poème écoute en secret et aux yeux de tous, qui ne le voient pas."

 
 

 

L’Antichambre du Préau

145 bis, avenue de Choisy 75013 Paris tél : 01 48 06 47 06 preaudescollines@gmail.com

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souscription

 J’achète un exemplaire courant du livre de Christiane Veschambre, Ils dorment, et j’envoie en chèque la somme de

8 euros plus 2 euros pour le port


ou

j'achète un livre au tirage limité à trente exemplaires sur Rivoli, accompagné d’une gouache originale de Jacques Le Scanff au format du livre pour le prix de

70 euros plus 3 euros de frais de port

à adresser à

L’Antichambre du Préau 145 bis, avenue de Choisy 75013 Paris

Nom ............................................................... Prénom ................................

Adresse ............................................................................................................. ................................................................................................................................ ................................................................................................................................ ................................................................................................................................

Téléphone ................................ Courriel ....................................

 Vous pouvez le commander 

Jacques Le Scanff
ed. Le préau des collines
145bis av. de Choisy
75013 Paris

tél. 01 48 06 47 06
preaudescollines@gmail.com

 

 

NOVEMBRE 2017

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Voir la version en ligne  Voir: http://www.letempsquilfait.com/Pages/Pages%20livres/Page%20nouv.619.html  

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Le Livre d'art

Au fil des barques et des saisons

vient de paraître aux Editions Alcyone (Collection

 

68 encres couleur de Silvaine Arabo (17 encres par saison)

accompagnées de poèmes de Sébastien Minaux,
 

Léon Bralda, Pablo Neruda, Paul Fort, R.M. Rilke,
 

Emile Nelligan, Silvaine Arabo, Wang-Wei, etc.

Edition à tirage limité, entièrement numéroté

- Publication sur

- Couverture :

- 150 pages
 

Pour davantage d'informations sur l'ouvrage et/ou pour le commander,

voir

Voir


 

wwww.editionsalcyone.fr
Poèmes à lire et à entendre, bio-bibliographies,
notes de lecture, photographies, etc.

 

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L'association "Le Citron gare" vous annonce la publication de son 12e recueil : « Des abribus pour l’exode », de Marc Tison, illustré par Raymond Majchrzak ( voir avis de parution).

 

Si vous souhaitez vous procurer ce livre, vous pouvez faire un tour sur le blog http://lecitrongareeditions.blogspot.fret m'écrire. 

 

Les autres livres édités par le Citron Gare sont toujours disponibles.

 

De plus, vous trouverez ci-joint, pour votre informationet partage, des extraits du numéro 75 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, avec des textesdeMichel Talon, Kevin Broda, Chloé Landriot , Julien Boutreux, Walter Ruhlmann, Eric Dejaeger.

 

- en version PDF :https://share.orange.fr/?_=SIU#qBjpsrN1to2a2b6b04e0

 

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=JWh#5Eeg2yMc1T2a2b6b04f4

 

Patrice Maltaverne

et l'association Le Citron Gare

http://traction-brabant.blogspot.fr/

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/ 

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

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 Avis de parution : SURSIS - micro-fictions poétique et collages de Cathy Garcia

couv


 

Treize micro-fictions poétiques, bizarres, décalées, dérangées….

Dérangeantes ?

 
«Je l'observe avec étonnement et soudain, je vois ses lèvres venir s'écraser contre le rempart de verre et son regard virer au gris. Je la vois se retourner sur elle-même, cette crispation soudaine qui ne trompe pas. Je me demande l’espace d’un instant, si elle pourra obtenir rapidement son sursis, puis je m'éloigne, je voudrais profiter du mien. »

 

2

Tirage numéroté
édité et imprimé par l’auteur

avec neuf collages papiers originaux réalisés par l'auteur

De cet ouvrage, est prévu un tirage de tête limité et numéroté à treize exemplaires avec illustrations en couleur
le reste sera en noir et blanc
28 pages sur papier 90g calcaire
couverture 250g calcaire 100 % recyclé

dépôt légal : octobre 2017

3


10 € pour le tirage en nb
chèque à l'ordre de :
Cathy Garcia
Létou
46330 St Cirq-Lapopie

 http://cathygarcia.hautetfort.com/& http://gribouglyphesdecathygarcia.wordpress.com/

http://imagesducausse.hautetfort.com& http://delitdepoesie.hautetfort.com/

 

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Un nouveau livre de Christiane Veschambre au
devenu
Voir

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Dans cette 83ème lettre d'information, découvrez notre premier beau livre, un duo de voix de femmes et une anthologie de jeunes auteurs... Ainsi que de nombreux événements où nous retrouver !
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Le dernier numéro de la revue Recherches internationales est paru.
Il est principalement consacré aux 
La coordination du dossier central a été assurée par Pierre Salama, professeur émérite à l'université de Paris XIII.
Vous trouverez en

Michel Rogalski

 
http://www.recherches-internationales.fr

 

 

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VIENT DE PARAÎTRE

Association Gangotena – éditions associatives Villa-Cisneros

 

                    © Karine Abello

 

GILBERT RENOUF

 

UN SOURIRE SPIRITUEL

 

« A Kiev, sur la place où sont rassemblés les opposants au pouvoir, une infirmière est touchée à la gorge par un tir, elle appuie d’une main sur sa blessure ensanglantée, de l’autre elle envoie un tweet, « je suis en train de mourir », quelle présence d’esprit, quelle fidélité à la communauté des tweeters, vais-je pouvoir stariser ma mort jusqu’au bout, j’espère qu’on me filme aussi, aussitôt agitation fiévreuse sur le réseau, va-t-on lire ses derniers mots, déchiffrer son dernier râle d’une main et se branler de l’autre… puis plus rien. Finalement, elle est opérée et en réchappe. Quelle déception. »

G.R.

 

Volonté de se soumettre de plus en plus répandue, illusion de liberté par internet, inculture arrogante et revendiquée, avachissement du langage et des corps, vulgarité conquérante, marchandisation des idées et des êtres, béatitude devant le fanatisme technologique, publicité considérée comme un des beaux-arts…

La matière ne manque pas à qui prétend encore s’en émouvoir, la dénoncer, la combattre… pour mieux regarder ailleurs de quoi s’émerveiller.

 

100 pages

Format 145 x 220 mm

Papier int Bouffant ivoire 80gr

Impression int Noir R°/V°

Couverture papier carte 280gr

Impr Quadri R° - Pelliculage Brillant R°

Dos carré collé

Couverture : Bernard Vanmalle

ISBN 978– 2–919209–16-3

 

Commandes:

15 €  + 2 € de frais de port

Éditions Villa-Cisneros, 4 rue Vincent Allègre

83000 Toulon – F

contact@remydurand.com

Chèque à l’ordre de : Association Gangotena

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Vient de paraître
Le Cercle de l'Aurore
Sylvie Méheut
Postface Jean Lavoué
voir

 

« Chacun, nous sommes conviés à cet oratorio intérieur en nous laissant prendre et emporter par ces rythmes secrets, ces sonorités mystérieuses, ces envolées pleines de souffle soutenu et de tendresses partagées. » Jean Lavoué.

 

 
Vous pouvez dés à présent commander
 
Le cercle de l’aurore
13 euros + frais de port.

 

 
Vous pourrez retrouver l’auteur, pour un premier rendez-vous,  sur le stand Monde en poésie/Brigitte Maillard le samedi 2 décembre au Salon du Livre de Pont-l’Abbé 29120, Salle du patronage laïque.
 

 

 

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Vient de paraître
Tu écris des poèmes, de Murièle Modély


 

Tu écris des poèmes

de Murièle MODÉLY

ISBN : 978-2-84924-511-8

13 x 20 cm

96 pages

12,00 €

Pourquoi, pour qui écrire de la poésie ?
L’auteure interroge, s’interroge : « Tu écris. Tu écris des poèmes. Tu précises, tu n’écris que des poèmes. Tu écris des poèmes à table, au lit, devant le film à la télé. Tu écris des poèmes noirs, avec des poils, de la chair, des sécrétions. Tu répètes. Tu écris. Des poèmes, encore, toujours. Tu écris des poèmes, parce que tu aimes le désordre, les pas de côté. Quand les mots ne suffisent plus à dérouler ta pensée, tu écris des poèmes. »
Pourquoi ? La question reste ouverte. Il s’agit juste d’écrire. De la poésie, avec la langue, le corps, le quotidien, pour que le mystère du monde soit à portée de main.

Murièle Modély est née en 1971 à l’île de la Réunion. Installée aujourd’hui à Toulouse, elle écrit de la poésie qu’elle publie régulièrement sur son blog Nouveaux Délits, Microbe, La Piscine, Recours au poème, Paysages écrits, Realpoetiketc. Tu écris des poèmesest son sixième recueil.

     

Bien cordialement.

Editions du Cygne


 

 

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 Martine JAQUEMET, peintre, etSalah AL HAMDANIpoète, 


 

se sont associés depuis plusieurs mois pour réaliser une exposition de peinture à partir de poèmes. 110 toiles ont été réalisées à partir de 250 fragments poétiques et seront exposées à Lucinges (74) dans l'atelier de Martine Jaquemet les 25 et 26 novembre 2017.

Les deux artistes célèbrent 40 années d'écriture et 40 années de peinture et seront heureux de vous accueillir au vernissage de l’exposition entre 10h et 20h.

 

Un livre d'artiste a été réalisé à cette occasion :

 

ÂGE DE RAISON

 

20 peintures de Martine Jaquemet et 20 fragments poétiques de Salah Al Hamdani.

Ed. Atelier Martine Jaquemet – Lucinges, 2017 - 36 euros

 

Imprimé en quadrichromie au format de 120x320 mm sur papier Materica Clay 360g/m2 - Fedrigoni pour la couverture et X-Per Premium 150g/m2 - Fedrigoni pour les pages intérieures. Poids unitaire: 154 gr.

En découvrir un aperçu en suivant le lien https://www.salah-al-hamdani.com/age-de-raison

 

Si vous souhaitez l’acquérir, cliquez sur le BON DE COMMANDEà imprimer, remplir et à adresser avec votre règlement à Martine Jaquemet. Le livre vous sera adressé en retour par voie postale.


 

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Ce livre fera l'objet d'une émission "les poètes" parutions fichier\2017\Bon de commande.pdf

 

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Ce livre fera l'objet d'une prochaine émission.

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OCTOBRE 2017

Voir la version en ligne 30-10-2017
 

L'histoire de l'inventeur de la plus célèbre classification des livres en bibliothèque…
 

Dans une autre vie, j'étais un serpent nu, une chose sans corps, une vie sans armure…
 
 
Melvil Dewey, une vie bien rangée  
Melvil Dewey
Une vie bien rangée


par Thierry Goulois



a paru au tout début d'octobre 2017 en
Arts, Histoire et Patrimoine




Un petit livre pour tout public curieux,
et particulièrement adapté pour épicer une
formation en bibliothèque




40 pages, illustrations couleur

Prix public 12€ port compris
Achats groupés (
bibliothèques) :
consultez-nous(06 03 17 85 65)


 
 
Sorte de Facteur Cheval et père de la bibliothèque moderne, Melvil Dewey crée au XIXe siècle un système de classification décimale des livres encore largement utilisé aujourd’hui.
Tous ceux qui fréquentent les bibliothèques l’ont forcément rencontré, au moins sous la
forme d’une cote sur la tranche d’un livre…
Mêlant faits véridiques et loufoqueries, Thierry Goulois, bibliothécaire à Brest, raconte la vie bien rangée de ce personnage finalement célèbre, émaillant son propos d’illustrations impertinentes.

 

 
 

 

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Spered Gouez n°23 : Viv(r)e l’utopie ! 

 
voirprésentation     voirbon de commande

voir  http://www.festivaldulivre-carhaix.bzh/fr/spered-gouez-lesprit-sauvage-vivre-lutopie/

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Belvédère

 

SOMMAIRE

 

COLONIALISMO

 

Apocalypse (Apocalisse)

Hexagonie: Un pays africain au coeur de l'Europe

Ritalia: Lo Stato Pontificio

Tolosa via del Toro 56

In nome della Bibbia: Imperi dell'Atlantico di Joh H. Elliot

Arabitudes: Le vertige sensuel d'Albert Bensoussan

Pagine inedite, à Pompeo Oliva in memoria

Spécial Lyon
 

Cinéma: Festival Lumière 2017

voir len° 49

 

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IGD

- INFINIE GÉOLOCALISATION DU DOUTE -

de Denis Heudré

voir

voir son site Internet:

 http://denisheudre.free.fr

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Brigitte Maillard traduit la vie en poésie voir:
 
                                  https://www.ouest-france.fr/bretagne/finistere/brigitte-maillard-traduit-la-vie-en-poesie-5294633
 

 

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Début de roman

Je ne crois pas avoir besoin de vous présenter Julien Blaine, dont j'ai parlé à maintes reprises dans cette chronique. Avec ce nouveau livre, il nous surprend, non seulement par la forme qu'il a choisit (une forme poétique, mais qui est en réalité un récit en 85 parties). Nous n'avons plus l'émule endiablé de Dada et de Fluxus, mais un écrivain qui médite devant la question de la mort. Cette histoire évoque le décès de son père, advenu en un mois de septembre 2015. Rétrospectivement, quand on a achevé de lire ce livre, on a l'impression angoissante d'un compte à rebours. Chaque « chapitre » condense en quelques lignes (jamais plus d'une page, sauf à la fin) des souvenirs, qui s'égrènent, qui recomposent une existence, mais sans jamais offrir une solution de continuité ou un point de vue d'ensemble. Mais il ne s'agit pas simplement de se remémorer des événements de l'enfance, des circonstances qui ont laissé des traces profondes, mais aussi d'une méditation qui, souvent, reste en suspend : la phrase ne s'achève pas et laisse le lecteur volontairement dans l'expectative. C'est souvent drôle, parfois inquiétant, passant sans cesse du doux à l'amer, du genre James Ensor à la vanité des maîtres du siècle d'or hollandais, mais dans le genre Art Brut et débridé. C'est inclassable (et c'est très bien ainsi) et c'est un singulier chemin de croix intérieur, un questionnement face au temps qui passe inexorablement, une danse bouffonne de mort, des mémoires morcelées qui ne dissimule ni la peur, ni la douleur, ni des obsessions, ni rien d'ailleurs, sans jamais faire une faute de pudeur. En revanche, Julien Blaine ne perd jamais l'occasion de faire des fautes de goût, en bon rabelaisien qu'il est. Il ne veut pas se prendre trop au sérieux ni qu'on le prenne au sérieux - en dépit de la gravité de ces pages. Mais il n'en ai pas moins vrai que s'il n 'hésite jamais à faire de l'esprit (je veux dire : du mauvais esprit) et de jouer sur les mots (on ne se refait pas), c'est un ouvrage grave et touchant qu'il a composé et qui présente un autre aspect de son art poétique.   

Gérard-Georges Lemaire

 

Dé buts de Ro man * &, 

Un dé but : ce qui défait un but ? En couverture, le titre est réparti comme sur six faces d’un dé : cinq syllabes et une esperluette précédée d’un astérisque. Et chaque page fait face : recto sans verso. Rien ne se déroule, qu’une succession de faces. Tourner les pages, c’est rouler le dé. La marquise ne sortira pas à cinq heures. Du roman, Julien Blaine ne retient que l’incipit recommencé comme un coup de dé roulant sur l’escalier du livre, tel le corps du poète sur celui de la gare Saint- Charles. Souvent, il tombe sur la chute d’un corps hors du corps. Dans le caveau de famille, des petites caisses conservent encore « quelques cheveux, quelques rognures d’ongles et des petits bouts d’os » de plusieurs générations. Mais avant la mort, le corps se sépare de parts du corps, devenues déchets : du dedans qui tombe dehors. Un personnage aspire à sortir ainsi de lui-même, à faire le vide : « Tout ce que je n’ai pas pu gerber » (ou « dégueuler », ou « vomir », ou « rendre »), « je vais le chier » (ou « caguer », ou « déféquer », ou « donner »). Ces chutes sont autant de terminus de trajets, ceux des matières qui traversent le corps : « Voyez-vous, quand les restaurants sont trop chers, je vomis, ainsi, j’en ai pour mon argent : pour le prix d’un aller, je me paie un aller/retour. Et le retour n’est pas

Ces dé buts sont des notes de voyage, pour Cythère parfois, non sans chutes (donnant-donnant) de l’élan mâle et des pluies femelles : « Sans doute l’avait-il humiliée en ne bandant pas. Alors elle l’humilia à son tour en lui pissant à la gueule tandis qu’il la broutait. À moins qu’elle ». À des impressions de voyage (embarquements, débarquements, trajets) se mêlent des souvenirs (le jeu du Solitaire sur un banc du jardin d’enfants à la sortie de l’école maternelle, la main frôlant les « ailes velours » de papillons de nuit autour de la flamme), qui s’irréalisent : « En vieillissant les souvenirs de son enfance perdaient de leur consistance, de leur réalité. C’était comme les séquences d’un vieux film d’un vieil auteur étranger. Lui-même —soi— était maintenant devenu cet étra ».

Cet étrange état entre souvenir et rêve, réalité et fiction, mort et vie, rappelle un début fameux, celui du roman proustien, où un début de rêve est coupé par le réveil : « la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait (…) il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage», etc. Blaine écrit : « Selon un processus imperceptible la vulve de sa jeune fiancée se métamorphosait en un furoncle bourgeonnant prêt à cracher son pus. Il se réveilla en sursaut et allongea son bras gauche pour retrouver sa présence. Il était seul dans son lit ». Le corps s’apprête à dormir, il reste au bord : « Tous les soirs à 22h 45, il s’allongeait sur le dos sur son lit, les mains posées sur les pectoraux ; au bout d’1/4 d’heure il se mettait sur le côté droit, le bras droit en L autour de sa tête, la main gauche sur le biceps droit et il attendait le sommeil… ». Cela peut ressembler à une sieste de vieux, ce « moment mortel où plus rien ne se passe même pas le temps ». Ou à un cauchemar à la Munch (

« Un homme qui dort », écrit Proust, « tient en cercle autour de lui le fil des heures, l’ordre des années et des mondes. (…) mais leurs rangs peuvent se mêler, se rompre ». Les Parques font des nœuds, et coupent. Par ces bouts-débuts de roman, Blaine s’apprivoise-t-il à la mort ? Au cours de sa visite quotidienne à ses parents nonagénaires, le narrateur croise des personnages que, dès sa sortie, il s’exerce à imiter. Il excelle dans le rôle d’une vieille courbée, qui psalmodie ses « aïe ! aïe ! aïe ! ». Après la mort de son père, il écrit : « La nuit quand je somnole, dans mes éclats d’éveil, je me surprends à imiter l’agonie de mon père... ». Les 11 derniers débuts, sur 6 pages, sont datés (2015, 2016) et accompagnent la photo du visage de ce père « parti / Sereinement / Sereinement absolument » —pour revenir « caché dans un petit cagibi. / Il était légèrement assoupi. / J’ai pensé que je rêvais, j’étais si étonné… / Il s’est éveillé, c’était lui, il a souri et j’ai refermé la porte ».

Mais Blaine ne nous refera ni la 

François Huglo (Sitaudis) 


 

Dé buts de Ro man * &, 

Si l’on en croit le poète autrichien Ernst Jandl, « un roman c’est une histoire / dans laquelle / tout dure trop longtemps / c’est ça un roman »

En effet, il est question d’un individu masculin, plutôt âgé

[1]

[2]

Bruno Fern (Libr-Critique)


Dé buts de Ro man * &, 

Un début de roman qui accroche, c'est important pour avoir l'envie de continuer à lire le livre, alors un livre dont la partition est 85

Christian-Edziré Déquesnes. (Ffwl Lleuw)

 
Julien Blaine, Dé buts de Ro man *&,

Le dernier livre, recueil (on ne sait exactement quel terme utiliser) de Julien Blaine est fait de 85 exercices (le mot figure en 27 et l’on pense à d’autres exercices relevant de la littérature à contraintes, les

 

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Dans cette 82ème lettre d'information, découvrez le dernier recueil de Jeanne Benameur, ainsi que notre 5ème anthologie destinée à la jeunesse : deux ouvrages centrés autour de l'exil...
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ANIMAUX ILS NOURRISSENT NOS MOTS

 
VOIR DOC

 

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Andrea 
et

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le numéro 15 de (revue de poésie,

d'art et de réflexion

numéro unique annuel

- 190 pages (format A4)

- 45 participants parmi les meilleurs poètes d'aujourd'hui

- de la poésie étrangère (Espagne)

- des articles en lien avec la thématique (

- une étude sur Aragon

- un récit de Werner Lambersy

- des réflexions et aphorismes

- 48 reproductions couleur d'oeuvres d'art (huiles, acryliques,

photos, collages)

- 50 pages de notes de lecture, etc...

Le tout reproduit sur papier ivoire pour les textes et

papier glacé blanc pour les oeuvres d'art.

Lire un descriptif plus précis et commander ce numéro

Silvaine Arabo
Editions Alcyone :
wwww.editionsalcyone.fr
Poèmes à lire et à entendre, bio-bibliographies,
notes de lecture, photographies, etc.

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 Bois de peu de poids 1 & 2

Parution de la partie 2 de "Bois de peu de poids" (hiver-printemps) de Romain Fustier aux éditions Lanskine. 

La partie 1 de "Bois de peu de poids " (été-automne) est encore disponible.

 

Bon de commande 

 

La fiche-éditeur de la partie 1 : http://www.editions-lanskine.fr/livre/bois-de-peu-de-poids-ete-automne

 

La fiche-éditeur de la partie 2 : http://www.editions-lanskine.fr/livre/bois-de-peu-de-poids-hiver-printemps

  

Un extrait : http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2016/04/romain-fustier-la-sensation-de-flotter-sur-la-lagune.html

 

Un autre extrait : http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2017/08/romain-fustier-elle-est-elle.html

 

Contre-allées

https://www.facebook.com/contreallees/

https://twitter.com/contre_allees

https://fr.linkedin.com/in/contreallees

 

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Françoise Claustres

 La vie de Marie à travers les poètes
éditions
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Belvédère n° 47 mai-juin 2017

SOMMAIRE

 

Italia paladina

Paladins aux Trumpettes

SPECIAL CAEN: Ancêtres de glace - Un débarquement peut en cacher un autre - Le Mémorial - L'indéfinissable

                      Le remouleur de la Rue Froide - Animaux aquatiques et monstres (colloque de Cerisy)

Teatrolibri: Stefano Massini,  Il Wozzeck di Familiari

Paladinophiles:

TOULOUSE TROISIÈME ETAPE: De Cavalcanti à l'Occitanie - L'inconnue de la Fondation Bemberg - Mandetta à l'université
 

Montauban

Archives d'auteur

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Jéricho 
 Poèmes de Didier Bazile 
à
 préface de
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Ce livre fera l'objet d'une prochaine émission

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BULLETIN DE COMPLICITÉ

 

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Vous trouverez ci-dessous la chronique du http://www.lelitteraire.com/?p=33259#more-33259consacrée à la parution de mon nouveau livre "

Filip Forgeau, Journal du pays où je ne suis pas né 

Marcher dans le bleu
 

 

Le récit de Filip For­geau est pas­sion­nant par son éco­no­mie même. Il raconte l’histoire d’un petit gar­çon “né il y a qua­rante ans et mort à la dis­pa­ri­tion de son père”. Aujourd’hui il “n’a pas qua­rante ans mais huit ans + trente deux” tant il est obnu­bilé par cette dis­pa­ri­tion.
Il aurait du naître “là-bas” mais il est né “ici”. Il invente alors le pays de son père : Mada­gas­car. L’île résonne dans sa tête, le père marche dans sa tête au milieu d'un pays qu’il ne connaît pas mais qui est le plus proche de lui. Fils de l’exilé, il en devient le père dans une belle tor­sion de son plus grand secret : “Fan­tôme de qui ? Enfant de qui ? De quel adulte est-il l’enfance, de quel esprit est-il le corps ?”.

Certes, il n’est pas né à huit ans, mais ces huit années le hantent. Né le jour de la mort de son père, il doit retrou­ver ses racines, les siennes et celles de sa petite sœur et de son petit frère. Il doit faire par­ler le temps muet dans un voyage spa­tial au sein de ce qui a ravagé ses nuits et les a fait pleu­rer.
Celui qui est revenu de par­tout et de nulle part doit retrou­ver “sa” terre qu’il n’a pas connue. “Ce sont ces mondes là qu’il me faut racon­ter. Mon his­toire en quelque sorte. Celle que je me suis raconté” écrit For­geau. Et plus loin : “Pour cela il me faut naître (renaître ?), venir (reve­nir?) au monde”.

L’auteur écrit entre deux êtres : l’enfant mort qu’il fut, l’adulte qu’il est devenu. Et entre les deux, la figure pater­nelle “qui me res­semble et marche dans le bleu”et ce au moment où tout est blanc “à cause de l’image du doute”. C’est là où ce beau texte nous mène. Et au-delà. Là où il existe des anges, une musique du silence sur des zones de tur­bu­lences.
Le petit gar­çon et l’adulte se conjuguent dans une inter­ro­ga­tion vis­cé­rale, pri­mi­tive jusqu’à l’interrogation finale au moment où sa mère dort enfin après des années d’insomnie : “Au fait, à quel âge ça meurt déjà les papas ?”. Peut-être qu’au sein de l’absence ils ne meurent jamais.

Jean-Paul Gavard-Perret

Filip For­geau, 
– Jour­nal du pays où je ne suis pas né
, Edi­tions Incipt en W, Mira­mas, 2017, 90 p. —  16, 50 €.

– Rosa Liberté, Théâtre, edi­tions Les cygnes, 2017, 60 p. — 10,00 € .

Vous pouvez dès à présent vous le procurer :

- en librairie

- sur Internet via les sites Amazon, fnac.com… 

 - ou le commander directement par mail à : ou sur le site de l'éditeur 

 

"Journal du pays où je ne suis pas né" a été écrit en résidence d'écriture à l'invitation du Centre Culturel Français Albert Camus de Tananarive/Madagascar et du CEAD - Centre des Écritures et des Auteurs Dramatiques de Montréal/Québec

 

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 Extraits du numéro 74 de Traction-brabant et autres actualités du Citron Gare


 

Vous trouverez, pour votre information, des extraits du numéro 74 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, et qui comprend les poèmes ou textes courts de: Jean-Marc Couvé, Marc Guimo, Didier Trumeau, Florentine Rey, Florent Toniello, Charles Frouin, Yvette Vasseur.

 

- en version pdf : https://share.orange.fr/?_=8SC#61BPQOXwox732cd39bb

 

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=qH1#CNdWl91z5C732cd3a02

 

Si les liens ne fonctionnent pas directement, vous pouvez les copier-coller.

 

Je vous signale également la parution, aux éditions Henry, de mon recueil intitulé « Le sucre du sacre ». Pour plus de précisions : http://www.editionshenry.com/index.php?id_article=479

 

Vous trouverez enfin ci-dessous, quatre liens qui vous permettront d'aller faire un tour sur les deux blogs des Editions Le Citron Gare et de Traction-brabant, ainsi que sur les deux blogs de mes chroniques poétiques :

 

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://traction-brabant.blogspot.fr/

 

http://poesiechroniquetamalle.blogspot.fr/

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

Bonne lecture ! Vos remarques sont les bienvenues...

 

Patrice Maltaverne

et l'association Le Citron Gare

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Voir la version en ligne 13-09-2017
 

L'histoire de l'inventeur de la plus célèbre classification des livres en bibliothèque…
 

Dans une autre vie, j'étais un serpent nu, une chose sans corps, une vie sans armure…
 
 
Melvil Dewey, une vie bien rangée  
Melvil Dewey
Une vie bien rangée


par Thierry Goulois



à paraître en septembre 2017 en
Arts, Histoire et Patrimoine




Un petit livre pour tout public curieux,
et particulièrement adapté pour la
formation en bibliothèque




40 pages, illustrations couleur

Prix public 12€ port compris
Achats groupés (
bibliothèques) :
consultez-nous(06 03 17 85 65)


 
 
Sorte de Facteur Cheval et père de la bibliothèque moderne, Melvil Dewey crée au XIXe siècle un système de classification décimale des livres encore largement utilisé aujourd’hui.
Tous ceux qui fréquentent les bibliothèques l’ont forcément rencontré, au moins sous la
forme d’une cote sur la tranche d’un livre…
Mêlant faits véridiques et loufoqueries, Thierry Goulois, bibliothécaire à Brest, raconte la vie bien rangée de ce personnage finalement célèbre, émaillant son propos d’illustrations impertinentes.

 

 
 

 

Thierry Goulois et la bonne maison Cardère

vous souhaitent une belle journée bien organisée.

 
 

 
 

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Le programme des 

 

Editions de La Table Ronde

 

 pour octobre et novembre 2017

 

voir

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 Le bulletin de souscription 
pour le recueil poétique 
"Les Saisons et les heures"
 d'Agathe Rivals, 
 aux éditions Berline-Hubert-Vortex.
voir

 

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Voir la version en ligne 05-09-2017
 

Une hyène rencontre les défunts qui errent dans ses limbes, avant de parachever leur disparition…
 

Dans une autre vie, j'étais un serpent nu, une chose sans corps, une vie sans armure…
 
 
La Veillée de l'hyène  




La Veillée de l'hyène

de Maëlle Levacher

va paraître dans la collection
"POÉSIE CONTEMPORAINE"




EN SOUSCRIPTION
JUSQU'À SA SORTIE (novembre 2017)


au prix public de 12€ port compris

 
 
Ce recueil présente, en une succession de tableaux dialogués, la rencontre d’une hyène avec les défunts qui errent dans ses limbes avant qu’elle en parachève la disparition. Quidams, figures allégoriques ou mythologiques sont ainsi confrontés au cynisme radical de l’animal fatal. Il arrive cependant que le rire de l’hyène s’éteigne et qu’elle demeure interdite… Les choses de la vie et de la mort ne lui sont pas toujours plus intelligibles qu’à nous. La poésie, mise en tension avec une lucidité crue, joue avec la philosophie, et propose à notre angoisse d’êtres provisoires des images équivoques.
 

 
 

 

Maëlle Levacher et la bonne maison Cardère

vous souhaitent une agréable journée.

 
 

 

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 Un nouveau livre d'artiste en duo : 
Françoise Bonnel et Alain Helissen

 

MATRICULE

Une nouvelle incursion dans l'univers de Françoise Bonnel, à travers 15 photos dont l'unité pourrait être le thème de "l'usure du temps". La rouille y côtoie la pourriture et les fissures d'une terre trop sèche rappellent les rides de la vieillesse. En vis à vis, Alain Helissen a ajouté des textes venus creuser un peu ces prises photographiques "saisies au vif de la marche".

Livre unique (numéroté 1/1 et signé) sous cette première forme,"Matricule" a fait l'objet d'un second exemplaire reprenant les mêmes photos et textes dans une autre présentation (sur un très beau papier blanc et couverture crème, papier fait main, voir photos en pièces jointes).

Ce second exemplaire est proposé à la vente au prix de 30 euros, port offert.

Règlement par chèque à l'ordre d'Alain Helissen

Contact pour toute commande : alain.helissen@live.fr

Attention : envoyer un message pour réservation avanttout règlement.

MATRICULE

photos (en vignettes de 6 x 8cm) : Françoise Bonnel

textes et mise en page : Alain Helissen

Format : 15 x 21 cm

pages : 26

support : papiers chiffons multicolores "faits main" en provenance de Dordogne (pour le premier exemplaire)

papier blanc feutré pour le second exemplaire

reliure : anneaux métalliques peints.

Réalisé en juillet 2017.


 

Retrouvez quotidiennement des photos de Françoise sur son blog:

http://photodilettante.eklablog.com/

 

 

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VIENT DE PARAÎTRE - 

Filip Forgeau

 
J'ai le plaisir de vous informer que mon nouveau livre 
"
vient de paraître aux

Vous pouvez dès à présent vous le procurer :

- en librairie

- sur Internet via les sites Amazon, fnac.com… 

 - ou le commander directement par mail à : 

 

Bonne lecture, et à bientôt…

Filip Forgeau

Écrit en résidence d'écriture à l'invitation du Centre Culturel Français Albert Camus de Tananarive/Madagascar et du CEAD - Centre des Écritures et des Auteurs Dramatiques de Montréal/Québec
 

 

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Le dernier numéro de la revue
 Recherches internationales
Il est principalement consacré au Royaume-Uni un an après le 
La coordination du dossier central a été assurée par 
Emma Bell et Bertrand Simonet.
Voir l'éditorial consacré à "Trump, l'Accord de Paris
 et le climat" ainsi que la présentation du dossier:
doc1

Michel Rogalski

http://www.recherches-internationales.fr

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Vient de paraître de

 

LE VACARME DU MONDE

 

En 2011 Le vacarme du monde faisait partie de l’ultime sélection des cinq manuscrits du Prix Max-Pol Fouchet. C’est Sylviane Cernois qui obtint le Prix avec Pavillon Verlaine Chambre 102 édité par Le Castor Astral.

Les Editions de l’Atlantique l’ont publié dans l’été 2011. Tiré à 250 exemplaires, il est maintenant épuisé.

Michel Cosem le réédite intégralement en trois livrets de la collection Encres Blanches qui reprennent les quatre parties de l’édition originale. D’abord Fugitifs, puis Etranger(s) suivi deChemins 1, enfin Les hommes sont des arbres étranges précédé deChemins 2.

Françoise Cuxaca réalisé les dessins originaux des couvertures.

Les trois livrets sont rassemblés dans une pochette noire cartonnée, cousue de fil rouge, format 35x25cm.

Le prix est de 18 € + 3€ de port.

voir couvertures

 

à commander à Michel Cosem 2, allée des Allobroges 31770 Colomiers

 

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Monique-Lise COHEN 

 

qui vient d'être élevée au grade de Chevalier des Arts et Lettresfait paraître son nouveau livre :

 

« 

Paris, Orizons, 2017

 

Vous pouvez le découvrir et aussi le commander sur le site des éditions :

http://editionsorizons.fr

 

Ce livre fera l'objet d'une prochaine émission.

Voir couvertures

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LE BANQUET des ABSENTS,
où l'on
ceux qui ne sont pas morts, mais qui ont disparu."...
Le livre paraîtra en Septembre. Il sera imprimé sur Bouffant 90 gr.
 et avoisinera les 150 pages.
Le prix de vente public sera de
les frais d'envoi seront offerts.
Le tirage sera limité au nombre de souscripteurs
Les souscriptions sont à adresser à
levee_dencre@orange.fr

voir

 

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"Vous prendrez bien un poème ?"
 Courrier des Lecteurs. Numéro spécial 71.
voir doc

 

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VIENT DE PARAÎTRE / NUEVA PUBLICACIÓN

 

 

SERGIO LAIGNELET

CONTES À L’ENVERS / CUENTOS SIN HADAS

Traduit de l’espagnol (Colombie) par Rémy Durand

ÉDITIONS ENCRES VIVES

Collection Encres Blanches n° 693, 2017

Commandes : Michel Cosem / 2 allée des Allobroges / 31770 Colomiers

6,10€ l’exemplaire

 

Texte intégral aux éditions Villa-Cisneros

4 rue Vincent Allègre / 83000 Toulon – F.

contact@remydurand.com

 

 

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Voici le poème de la semaine sur 

Agence Bretagne Presse
 
 

(juste un poème qui prend sa place dans les infos du jour)
 se maintient avec de nouvelles lectures.
Brigitte Maillard

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     Sabine Aussenac
 premier prix du concours littéraire du
      Rotary Club de Bourges
                    avec :

  

 
 

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Le livre de

Mélanie COURTEILLE

 
"Eclosion"
à Edilivre 
fera l'objet d'une prochaine émission  

 
commander à :
 https://www.edilivre.com/catalog/product/view/id/853096/s/eclosion-melanie-courteille/#.WVoMaYTyhIw

 
Introduction
 Je remercie ma mère de m’avoir donné la vie, j’en savoure le nectar chaque jour. Elle était si jeune lorsque je suis venue au monde ! S’attendait-elle à découvrir un être à l’apparence aussi fragile ? Certes, j’étais vulnérable car ma survie dépendait entièrement de ses soins. Mais dès mon premier souffle, une grande force m’habitait. Cette dernière m’a aidée à maintes reprises, je dirais même qu’elle m’a sauvée du naufrage. Lorsque ma mère a quitté notre foyer, je me suis retrouvée au milieu de l’océan, sans phare pour éclairer ma route, complètement perdue. Dans la nature, un jeune animal qui perd sa mère est condamné. Cette séparation n’a pas causé ma mort, mais elle a fortement impacté ma petite enfance et les années qui l’ont suivie. J’aurais aimé être bercée par le son de sa voix et rassurée par la douceur de son regard avant de m’endormir le soir. J’aurais souhaité prendre sa main tous les matins pour aller à l’école et sauter dans ses bras en fin de journée pour rentrer à la maison. Et tant d’autres choses encore… J’ai souvent envié mes petites sœurs qui ont pu partager avec elle tous ces petits bonheurs du quotidien. Je trouvais la situation tellement injuste, moi qui devais me contenter d’un « droit de visite » un week-end sur deux ! Ce sentiment d’injustice a généré en moi une énorme frustration et par là-même beaucoup de colère non exprimée. J’étais dans l’incapacité de lui confier mes états d’âme, de peur de la peiner d’une part, et de perdre son amour d’autre part. J’ai réussi à pacifier tout cela. J’ai eu besoin de comprendre et d’accepter, processus nécessaire sur mon chemin de guérison. Quant à mon père, ce livre est l’occasion pour moi de lui ouvrir mon univers, ce que je n’ai jamais osé faire tant son autorité naturelle et sa nature secrète m’intimidaient. J’ai lu, il y a quelque temps déjà, un livre de Margo MAINE sur le thème des troubles du comportement alimentaire et de la relation père-fille. Elle parle de « faim du père », laquelle désigne le vide ressenti par les femmes dont le père était émotionnellement absent pendant l’enfance. Ce vide conduit souvent à une mauvaise estime de soi, à un rejet de son corps explique-t-elle. La lecture de cet ouvrage m’a permis de prendre conscience que j’étais atteinte de cette « faim du père », de cette « soif de contact ». Très occupé professionnellement, je ne pouvais le trouver disponible que sur les chemins de randonnée pendant les vacances. J’avais alors la sensation qu’un espace de communion s’ouvrait à nous, magnifié par l’effort physique et par la beauté de la nature. Il représentait pour moi la stabilité, la sécurité et j’ai toujours admiré l’homme qu’il est, souvent exagérément d’ailleurs. Aussi, j’étais prête à tous les sacrifices pour qu’il soit fier de moi. Je voulais être parfaite pour être aimée de lui, être digne d’être sa fille. Cela lui semblait sans doute naturel que je sois bonne élève à l’école et que je réussisse mes études, mais j’ai travaillé dur et j’attendais en vain un mot de lui exprimant sa reconnaissance. Pour terminer, je souhaite évoquer mon frère. J’ai énormément de respect pour l’homme qu’il est devenu. J’aime son côté excessif, parfois un peu fou. J’aime aussi sa sensibilité cachée, à fleur de peau, son âme d’enfant révolté en quête de douceur. Je me souviens de ses boucles blondes, de ses yeux grands ouverts sur le monde, d’un bleu profond. Un ange, un chérubin que j’ai pris sous mon aile car j’étais la plus grande. J’étais son guide car il ne voyait rien sans lunettes. La réalité est tellement effrayante parfois, ne pas pouvoir distinguer les choses telles qu’elles sont permet finalement de se protéger de toute agression, de toute déception. Nous étions inséparables malgré quelques crises passagères. Combien de nuits et de bains partagés ? Je ne peux m’en souvenir mais je sais qu’un jour mon corps a commencé à changer. J’ai progressivement pris conscience que nous ne pouvions plus dormir dans le même lit ou faire notre toilette ensemble. Devenir femme m’éloignait irrémédiablement de lui et de mon père aussi. Puis il y a eu l’anorexie, celle qui lui a volé sa sœur en quelque sorte. J’évoluais dans ma bulle, totalement hermétique aux autres, complètement absorbée par un mal-être qui me dépassait. Je sais que je l’ai fait souffrir. Je regrette de n’avoir pas été présente pour lui à ce moment là, alors que je l’avais toujours été. Je n’ai pas eu d’autre choix, il m’a fallu en passer par là pour grandir, aller toucher le fond pour remonter à la surface. J’ai découvert en moi et autour de moi quelques moyens qui m’ont permis de revenir à la vie tout en gardant les blessures dans ma mémoire. C’est cette expérience que je souhaite vous transmettre ici et maintenant. 

 

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Vient de paraître aux

Tranquillement inquiet

Jean-Pierre Denis

144 pages, 18 €

Je vis les paumes

Plus ou moins jointes

 

Sans trop savoir lire

Mon propre chemin

 

«Tranquillement inquiet» : ce nouveau recueil de Jean-Pierre Denis tient tout entier dans cet oxymore. Attitude en même temps qu'interrogation, il veut dire l'ignorance que nous entretenons au sujet de nous-mêmes. «Sens de la vie», «but de l'existence», «réussite». Nous aspirons à la clarté, et en même temps nous composons avec l'hypocrisie qui ménage notre espace vital dans la société. Sans complaisance, Jean-Pierre Denis s'attache à faire tomber ces masques. L'espace ouvert par l'écart des «paumes plus ou moins jointes» constitue le creuset de ce recueil. Son secret aussi. La parole poétique vient nous inquiéter «tranquillement», mais profondément, et non sans ironie. Elle nous invite à l'imprévu - à commencer par ce que le souci de nous-mêmes cache trop souvent à notre regard: notre vie.

Glissant de déni en dépit

A part ces quelques avanies

En somme j'avais tout prévu

 

Sauf la vie.

*

Jean-Pierre Denis est à la fois éditorialiste et poète, auteur de plusieurs recueils chez Ad Solem.

 

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VIENT DE PARAÎTRE / NUEVA PUBLICACIÓN

 

 

ENCRES VIVES 2017

Collection Encres Blanches n° 684

Traduit de l’espagnol (Équateur) par Rémy Durand

Encre de Josette Digonnet

Photo de couverture : Marianne Digonnet-Mir

Michel Cosem, éditeur

2, rue des Allobroges / 31770 Colomiers

Commandes / abonnement chez Michel Cosem /

 

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 La Lettre d’information n° 37 de revue-Texture

Voir

 

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Dans cette 80ème lettre d'information, retrouvez tous nos rendez-vous pour l'été, l'incontournable anthologie Voix Vives, deux grands prix et notre jeu poétique !
Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici
http://www.editions-brunodoucey.com/wp-content/uploads/2015/06/newsletter_mai2015_def-2.jpg
http://www.editions-brunodoucey.com/wp-content/uploads/2015/06/newsletter_ete2015_def2.jpg

 

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Nouveauté de L’herbe qui tremble

https://lherbequitremble.fr/

 Isabelle Lévesque


 

avec Voltige !

avec des peintures de Colette Deblé       

postface de Françoise Ascal 

14€ et frais de port

À commander en écrivant un mail à:   

Lire la note de lecture de Jean-François Mathé sur : http://revue-texture.fr/voltige.html
 
Ce livre fera l'objet d'une prochaine émission
 

 

 

 
 

 

 

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éditions des Vanneaux - Bordeaux

editionsdesvanneaux.wordpress.com

96 pages 

€ 19

 

Tu m'as couenné, avec tes débuts arrivés au courrier.

Je lisais tout pétaradant, gloussant, dans la moite chaleur de la vielle au fleuve boueux

& j'étais content de lire à haute voix à mes fils des début des roman

quand tu m'as fait fait venir des humidités en parlant de tes parents

puis les larmes à la fin

elles sont sorties en Niagara

pour eux, ton père, là, 

un sacré fils tu es, un sacré père

un sacré pan

Claude Chambard (Un nécessaire malentendu)

 

Début de roman

Je ne crois pas avoir besoin de vous présenter Julien Blaine, dont j'ai parlé à maintes reprises dans cette chronique. Avec ce nouveau livre, il nous surprend, non seulement par la forme qu'il a choisit (une forme poétique, mais qui est en réalité un récit en 85 parties). Nous n'avons plus l'émule endiablé de Dada et de Fluxus, mais un écrivain qui médite devant la question de la mort. Cette histoire évoque le décès de son père, advenu en un mois de septembre 2015. Rétrospectivement, quand on a achevé de lire ce livre, on a l'impression angoissante d'un compte à rebours. Chaque « chapitre » condense en quelques lignes (jamais plus d'une page, sauf à la fin) des souvenirs, qui s'égrènent, qui recomposent une existence, mais sans jamais offrir une solution de continuité ou un point de vue d'ensemble. Mais il ne s'agit pas simplement de se remémorer des événements de l'enfance, des circonstances qui ont laissé des traces profondes, mais aussi d'une méditation qui, souvent, reste en suspend : la phrase ne s'achève pas et laisse le lecteur volontairement dans l'expectative. C'est souvent drôle, parfois inquiétant, passant sans cesse du doux à l'amer, du genre James Ensor à la vanité des maîtres du siècle d'or hollandais, mais dans le genre Art Brut et débridé. C'est inclassable (et c'est très bien ainsi) et c'est un singulier chemin de croix intérieur, un questionnement face au temps qui passe inexorablement, une danse bouffonne de mort, des mémoires morcelées qui ne dissimule ni la peur, ni la douleur, ni des obsessions, ni rien d'ailleurs, sans jamais faire une faute de pudeur. En revanche, Julien Blaine ne perd jamais l'occasion de faire des fautes de goût, en bon rabelaisien qu'il est. Il ne veut pas se prendre trop au sérieux ni qu'on le prenne au sérieux - en dépit de la gravité de ces pages. Mais il n'en ai pas moins vrai que s'il n 'hésite jamais à faire de l'esprit (je veux dire : du mauvais esprit) et de jouer sur les mots (on ne se refait pas), c'est un ouvrage grave et touchant qu'il a composé et qui présente un autre aspect de son art poétique.                

Gérard-Georges Lemaire

 

Drôle de choc à la lecture de ton dernier livre.

ces débuts de roman.

lu d'une traite, comme si peur de se retrouver seul sans l'appui des mots.

(comme si peur de rester seul. avec la solitude, le temps et sa

longueur, puis sa rapidité soudaine : le présent, quoi).

et puis il y a le moment où on tourne la dernière page.

et un réel un vrai trouble lorsqu'on tombe sur l'achevé d'imprimer :

imprimé en août 2017 !

Laurent Cauwet (Al Dante)


 
Je suis d’accord avec François cher Julô, ton dernier livre a quelque chose
du Montaigne qui sommeille en toi (on t'y voit apprendre à mourir), il y a aussi des provocations à la Bataille
mais en plus drôle, c’est un de tes meilleurs livres, gorgé de vie intense,
bravo
et merci
Pierre le Pillouër (Sitaudis)
 

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Avis de parution : Instantanés de Myriam OH - Délit buissonnier n°2, juillet 2017


 


 


 

Après Murièle Modély et son

j'ai l'immense plaisir de vous présenter ce deuxième bébé de la collection Délits buissonniers

- tirés à part mettant à l'honneur un auteur déjà publié dans la revue -
 

voici donc :
 

couv
 


 

 

44 pages agrafées

 

tirage limité et numéroté

sur papier recyclé  

offset 90 gr

couverture calcaire 250 gr

 

textes de Myriam OH (Ould-Hamouda)

  

 

Myriam OH (Ould-Hamouda) voit le jour à Belfort (Franche-Comté) en 1987. Elle travaille au sein d’une association pour personnes retraitées où elle anime, entre autres, des ateliers d’écriture.  C’est en focalisant son énergie sur le théâtre et le dessin qu’elle a acquis et développé son sens du mouvement, teinté de sonorité, et sa douceur en bataille — autant de fils conducteurs vers sa passion primordiale : l’écriture. Elle écrit comme elle vit, et vit comme elle parle. Les textes que vous trouverez au sein de ce recueil ont servi de matière première pour un spectacle joué le 16.06.17 à Belfort : une performance "lecture dansée et jouée", l’expérience originale d’une rencontre entre trois univers : le langage verbal, celui du corps et celui des cordes, une tentative de communication spontanée.

 

silence

 

« Se tenir au bord du gouffre. En attendant le pire, et surtout le meilleur. En y croyant si fort, que le vide n'existe plus vraiment. Se tenir au bord du gouffre, malgré le vertige qu'il nous colle parfois, malgré cette peur dans le ventre, et la tentation de l'abîme souvent. Comme une urgence à être soi-même à chaque instant et d'en rayonner dans les moindres recoins du monde. Au fond, si on la regarde droit dans ses yeux qui louchent, la vie n'est rien d’autre qu'une comédie dramatique. » 

 

 coul


 

  illustrations de Silvère Oriat

 

Codeur web de l’extrême, Silvère Oriat s’est à l’origine mis au dessin afin de rendre plus attractifs les sites Internet qu’il crée. Au fil du temps, cette activité de “gribouillage“ a finalement commencé à prendre le pas sur le pianotage de clavier... Si bien, qu’aujourd’hui, il réalise des jeux de société, ainsi que du dessin en relief sur des objets réalisés de ses propres mains ; comme pour prouver qu’il parvient (presque) à s’affranchir du monde moderne pour s’exprimer. À côté de ça, il est également musicien (bassiste) au sein d’un groupe de musique, histoire que ses oreilles soient aussi usées que ses yeux.

 

lamp  


 

 

 10 €

 

 

à commander à

Association Nouveaux délits

Létou

46330 St Cirq-Lapopie


 

logo

La revue NOUVEAUX DÉLITS-  http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com
L’association NOUVEAUX DÉLITS-
http://associationeditionsnouveauxdelits.hautetfort.com/

 


 

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Publications et animations de Julien BLAINE :


 
et un nouveau bientôt :       « Débuts de roman »        aux édition des vanneaux

 

Juin :

Prest’action au Centre Européen de la poésie à Avignon le 3 juin

États Généraux de la Poésie au Marché de la Poésieà Paris le 11 juin

Hommage à Brossaà Ille-sur-Têt du 16 juin au 21 juillet

Lecture de l’Ursonate à Lurspour les soirées d’ArtGo le 17 juin

3e biennale internationale  librairie Torchais à Perpignan du 20 juin au 21-7

États Généraux de la Poésie à Montévidéoà Marseille le 26 juin

 

Août :

Festivalde poésie à La Ciotat du 1° au 5 août,

 

Septembre :

Quelques âneriesdu côté de Besançon à Champlitte et Baume-les Dames, le 1er septembre

3e biennale internationale de poésie visuelle  Hommage à Brossa à la galerie 13 du 1er septembre au 29 septembre   à Ille-sur-Têt  

Rencontre de la poésie-action à Bordeaux du 20 au 25 septembre à Bordeaux

Obus-son = Boum ! Galerie Meyer vernissagele 19 septembre  à Marseille

Agora 2017du 20 au 25 à Bordeaux

Présentation Partitions à la Bibliothèque bleuele 23 septembre à Ricamarie

Les cafés littéraires de Montélimardu 28 septembre au 1 X 10à Montélimar

 

Octobre :

Obus-son = Boum ! A la galerie Meyer Finissage  le 20 octobre  à Marseille

 

Novembre :

Blaine à l’IMEC code BLA-BLA à l’abbaye Dardennes 9 novembre à Caen


 

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L'association "Le Citron gare"  annonce la publication de son 11e recueil :  "Vingt-sept degrés d’amour" de Chloé Landriot, illustré par Joëlle Pardanaud (voir avis de parution).

 Pourvous procurer ce livre, vous pouvez faire un tour sur le blog http://lecitrongareeditions.blogspot.fret m'écrire. 

 

De plus, vous trouverez, pour votre informationet partage, des extraits du numéro 73 de Traction-Brabantdésormais disponibles sur le Cloud d'Orange, avec des textesde Marc Tison, Salvatore Sanfilippo, Daniel Birnbaum, Julien Boutreux et Basile Rouchin.

 

- en version PDF :https://share.orange.fr/?_=pIb#IPGszNPWLr10711afbc4

 

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=DxC#HbuQVMI7yX10711b00e5

 

Patrice Maltaverne

et l'association Le Citron Gare

http://traction-brabant.blogspot.fr/

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/ 

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

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Dans cette 79ème lettre d'information, découvrez le livre le plus déraisonnable du monde, ainsi que le cadeau idéal pour la fête des pères !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici

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La Table Ronde - Programmes mai-juillet 20
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 La Table Ronde

Programme août-septembre 2017
 

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       Didier THURIOS

 "Aussi sacrée que le Gange",

 aux éditions Henry Dougier.


A la découverte de l’Inde à travers la correspondance d’un fils à sa mère

Lorsque, frappée par la maladie d’Alzheimer, « petite mère » se retrouve immobilisée en France, son fils entreprend de lui faire visiter l’Inde en lui envoyant des lettres. Il lui raconte alors son voyage avec le langage universel de l’intime. Aussi sacrée que le Gange est le compte-rendu épistolaire de ce voyage.

De Delhi à Bîkaner, la cité du désert, en passant par les marchés de Jaipur et la si tibétaine Dharamsala,

 Aussi sacrée que le Gange est une errance indienne, un voyage au long cours sans guide ni boussole. C’est le récit d’une Inde au quotidien qui n’en finit pas de surprendre, capable d’enchanter et de révolter dans la même fraction de seconde, singulière et abyssale, à la fois unique et plurielle, en fin de compte toujours énigmatique.

Ce livre fera l'objet d'une émission        

Didier Thurios
Une enfance tarnaise à taper dans un ballon rond, construire des cabanes dans les arbres, cracher des poèmes et parcourir d’un œil avide les planisphères. La musique plus tard, chant et guitare, surtout le besoin impérieux de jeter des passerelles entre littérature et riffs rock n’roll. Mais c’est le voyage qui lui rendra le véritable plaisir des mots.

 

 

 

 

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Images invisibles?    Cliquez ici...

Editions Unes

des livres singuliers

 
 

Thierry Metz - L'homme qui penche

 
 
 
De jour en jour je reprends le visage, le même visage inachevable, comme une trace presque effacée. Chacun peut le voir mais voir n’est qu’un élément du regard – son espace et sa limite.
Visage que je croise dans un des couloirs, près d’une porte ou fumant une cigarette dans l’entrée. Toujours lui, jamais le même. Des fois, un salut ou un sourire, des fois : rien. C’est qu’en approchant du monde on s’éloigne de ses portes.
 
112 p., 19 €
Vignette de couverture d'Ena Lindebaur

Préface de Cédric Le Penven
Imprimé en typographie
978-2-87704-179-9, broché, 15x21 cm
 
L’homme qui penche est un livre silencieux. Thierry Metz fait un séjour en hôpital psychiatrique, il combat l’alcool, la dépression, la mort de son fils. Il tient son journal, tourne en rond dans les couloirs de lui-même. On ne peut que s'approcher de soi en silence, repoussant le désespoir avec douceur, dans l’impossible. On assiste aux apparitions et disparitions d’un homme comme des nuages passent et s’estompent sur un visage. Dans les couloirs, dans les chambres, dans le fumoir, dans le jardin.
Ce journal est le dernier essai pour se raccrocher au monde, à l’extérieur, à l’intérieur. Avec les mains, avec les mots. On traverse la silhouette des autres pensionnaires, êtres désertés – ces corps, ces fantômes noirs et muets, morceaux de bois qui flottent dans le pavillon Charcot. C’est un monde clos, un monde de regards.
Thierry Metz écrit sur l’impossibilité de rentrer chez soi. Pourquoi cette vie ? demande-t-il. Notre vie n’est pas tangible. Il essaie d’achever le visage inachevable de sa vie. Homme penché qui perd son équilibre au bord de lui-même. L’homme penché est l’homme qui tombe. Dans le lieu retranché de cet hôpital où Thierry Metz vient se cacher au centre de ce qui se passe.
 
Thierry, c'est son prénom, traverse une épreuve. Cette épreuve, c'est l'existence. Le fils perdu. Les petits boulots qui empêchent d'écrire, qui éreintent. L'alcool. La colère contre soi, contre ceux qui l'aiment le plus. Il sent qu'il perd pied et se rend à deux reprises dans un hôpital psychiatrique à Cadillac, en Gironde. Il n'est pas fou. Pas plus que vous, pas plus que moi. Il se trouve que Thierry est maçon. Il se trouve que Thierry est poète. Il est arrivé par un bus à l'hôpital avec ses mains calleuses et un cahier. Au début, il croit que le chantier est à l'intérieur, mais dès qu'il trace des mots, dedans et dehors volent en éclats. Un homme cherche à se reconstruire un visage en décrivant ceux des autres humains égarés là. Au pavillon Charcot, des solitudes se croisent et frissonnent de leur profondeur vertigineuse : Aurélie, René, Mady, Denis, Bernard, Mickey, Patricia, Rainer... Tous ces écorchés vifs qui n'en reviennent toujours pas d'être au monde lui ressemblent. Ces silhouettes allant cahin-caha entre les allées de marronniers, ces mots vrillés par une colère sourde, c'est lui. Il marche en pleine nuit dans un couloir sans aller nulle part, il pose des questions en boucle à ceux qui passent à sa portée, il porte une blessure qui rend le présent inhabitable. Il n'y a que le perpétuel effondrement de l'ici et les mots écrits sur le cahier vibrent de cet effort immense de ne pas céder à la chute tout en évitant de l'interrompre.  
Cédric Le Penven (extrait de la préface)
 
Thierry Metz est né en 1956 à Paris. En 1977, il s’installe à Saint-Romain-Le-Noble. Il travaille sur les chantiers. Le 20 mai 1988, Vincent, son second fils, est fauché par une voiture, sur la nationale qui passe devant la maison. Le même jour, il obtient le Prix Voronca pour son recueil Sur la Table inventée qui paraît aux éditions Jacques Brémond l’année suivante. Un chantier au centre d'Agen lui inspire Le Journal d'un Manœuvre (L'Arpenteur/Gallimard, 1990). Les Lettres à la bien-aimée, où transparaît une tentative impossible de deuil, paraissent en 1995, toujours chez L'Arpenteur/Gallimard. En 1996, il s'installe à Bordeaux. En octobre et novembre, il fait un premier séjour volontaire à l'hôpital psychiatrique de Cadillac, où il lutte contre l'alcool et la dépression. Un mois plus tard, en janvier 1997, il effectue un second séjour dans ce même hôpital. L'homme qui penche, écrit durant cette période, paraît aux éditions Opales/Pleine page au début de l'année 1997. Le 16 avril 1997, Thierry Metz met fin à ses jours.
 

 
 
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Editions Unes
13, avenue Pauliani - 06000 Nice
unes@arts06.fr
04 93 62 14 40 - 06 98 84 21 14
www.editionsunes.frwww.arts06.fr

Diffusion-Distribution : Les Belles Lettres
 
  
   
 

 

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  VERNET_ANNONCE.pdf

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BON DE COMMANDE web OLYMPE DE GOUGES240417.pdf

 

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Nouveauté de L’herbe qui tremble

https://lherbequitremble.fr/

 

En avril 

Isabelle Lévesqueavec Voltige !

avec des peintures de Colette Deblé       

postface de Françoise Ascal 

14€ et frais de port

À commander en écrivant un mail à:   

 

 

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 éditions TROBA VOX dernières parutions livres 2017

LA TROBA,

de Gérard Zuchetto
 

Gérard Zuchetto, spécialiste des troubadours et auteur de nombreux Cds et ouvrages sur le sujet nous emmène dans un voyage intemporel dans le creuset de la première poésie moderne de l’Europe depuis Guilhem de Poitiers jusqu’à Dante Alighieri.

110 troubadours, plus de 300 chansons en occitan avec les traductions en français.

812 pages, broché, format 210x297 - Poids 2.300kg - dos 3.54cm

 

 ISBN 979-10-93692-01-2   prix public 40 Euros

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 Rappel des dernières parutions 3ème trimestre 2016 des poètes occitans Franc Bardou, Jaumes Privat, Roland Pecout

Votz de trobar 3 : Cançonier d'un temps esperdut  de Franc Bardou ISBN 

Votz de trobar  4 : Las velas las mans de Jaumes Privat 

Votz de trobar  5 : Alenadas de Jaumes Priva

Votz de trobar  6 : coma un aubras estrifat per l'auristre/Leberon  de Roland Pecout 

tous ces ouvrages sont à commander directement auprès de nos éditions

remise libraire 30% sur le prix public - Dépôt-vente possible - Livraison offerte

  

Editions TROBA VOX

2, rue du Romarin 11200 MONTSERET

SIRET 482 703 345 00017 - APE 5920Z

TVA intracommun. FR 54 482 703 345

Tél 06 08 33 56 44 Fax 04 68 42 29 70

  Mail   

Distributeur  :  Troba Vox

trobavox.wixsite.com/editions

 

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pour la parution de
 
aux éditions Alcyone.

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Courrier des Lecteurs. Numéro spécial 68.
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Marie-José Christien

Après un premier opus sur

les éditions Spered Gouez préparent un nouvel ouvrage 

de la collection "Parcours". Il sera consacré à 

Jacqueline Saint-Jean. 

N'ayant aucune aide à l'édition, 

Spered Gouez 

ne peut compter que sur votre soutien 

et lance une souscription jusqu'au 15 mai.

 La parution de ce "Parcours", prévue à l'automne, 

 dépendra de son  succès. 

A noter que les chèques (livre à 11 €) ne seront encaissés 

qu'au moment où le livre sera en cours d'impression (automne). 

Merci pour votre soutien,

Marie-Josée Christien (responsable de la collection)

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Les éditions LEVANT
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Voir la version en ligne  28-03-2017
 

C'est une troupe immense, une interminable cohorte, depuis la nuit des temps, ils avancent, ils avancent, sans retour possible.

È una truppa immensa, una coorte interminabile, dalla notte dei tempi, avanzano, avanzano, senza ritorno possibile.

 

 

Dans une autre vie, j'étais un serpent nu, une chose sans corps, une vie sans armure…
 
 
exil
 
EXIL
est né de la rencontre entre un texte et le talent d'une artiste aquarelliste
qui a mis son art à l'unisson des mots

un texte de Jean-Pierre Petit
illustré par Marie Guastalla

vient de paraître
dans la collection "POÉSIE CONTEMPORAINE"




Un livre de 56 pages au format 24 x 16,5
prix public 15€ port compris

 
 

 

 
 

Parmi les dernières parutions
 
 
Poèmes sans amarres
L'enfant fini
La parole comme un cristal de sel

 

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Après la sortie, en janvier dernier, de :

Entre les dents,

traduit de l'espagnol (Argentine) par

avec des dessins de

(PO&PSY

PO&PSY a le plaisir d'annoncer la parution de : 

notre morceau de planète,

traduit du croate par

avec des photos de

(PO&PSY

façon de parler,

traduit de l'allemand (Autriche) par

avec des dessins de

(PO&PSY

et :

avec des photos et cartes de l'auteure

(PO&PSY

Vous trouverez à notre

Association PO&PSY

95A rue du Castelas, 30260 LIOUC

http://www.poetpsy.wordpress.com

Présentation -notre morceau de planète    Dossier de presse - Patience des fauves

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VIVRE de Jean-Luc Aribaud
L'édition participative vient d'atteindre 61 % !

 
En 1 semaine, VIVRE vient d'atteindre 61 % du finacement nécessaire à son édition. Aidez-nous à dépasser les 100 % et à donner la plus grande visibilité possible à ce travail. Participez au projet, partagez la newsletter ou lien porteur du projet autour de vous. Merci

 


 

VIVRE présente 123 photographies réparties en 4 chapitres. Ce livre offrE un travail photographique en noir et blanc effectué sur 10 ans. Photographe, poète, Jean-Luc Aribaud mêle le flou à la netteté des traces laissées par le temps passé. Vivre se lit comme un livre et se regarde comme un album photo.

 

Jean-Paul Gavard Perret, Michel Baglin, Dunia Ambatlle, Philippe Ségur, Axel Léotard ont participé à cet ouvrage.

 
Le livre est accompagné d’un film photographié. Texte : Jean-Luc Aribaud. Musique de Philippe Gal.
Un lien de téléchargement imprimé dans l’ouvrage vous permet d’acquérir le film.

 

http://www.corridorelephant.com/jean-luc-aribaud-livre

 

 
 
 
 

 
Pourquoi participer ?

CORRIDOR ELEPHANT est une maison d'édition alternative. Association loi 1901, elle édite des livres "désirés" d'artises contemporains. Ici la notion de rentabilité, de chiffres ou d'objectif de vente n'a pas sa place.

Un auteur rencontre des lecteurs qui rendent un livre possible. Ce livre est signé et numéroté.

La démarche vous plaît ?
Soutenez-là, partagez là.Merci.
L'équipe éditoriale


 
 

 
 

 
 

 
 
 
 

 

 

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MICHEL BAGLIN 

 

Lettres d’un athée

à un ami croyant

(éditions Henry)

A l’heure des attentats, ces lettres d’un athée portent la conviction que le dialogue entre ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas reste ouvert, à la condition de ne pas oublier qu’en démocratie, le respect est dû aux personnes, pas à leur foi, leurs idéologies, leurs représentations du monde, leurs utopies.

Les religions ne sauraient rester, elles seules, hors du champ de la critique, comme la rappelle Boualem Sensal à propos de l’islam. Or la demande des intégristes catholiques de créer un délit de blasphème, comme celle des musulmans qui protestent contre les caricatures, montre à quel point le ver est dans le fruit.

Parce que le sacré des uns n’est pas celui des autres et qu’il n’en est pas d’universel, le sacrilège n’existe que dans la tête des censeurs. Quand les religions entendent imposer leurs injonctions et leurs interdits, on entre dans l’apartheid, elles portent en elles la guerre des communautés.

Ainsi ce plaidoyer pour la laïcité souligne-t-il qu’il n’est pas de frères de race ou de religion, seulement des frères d’humanité. Car la fraternité est universelle, sinon elle ne recouvre qu’une solidarité de clan, de tribu, une solidarité de meute.

Fiction épistolaire née de la révolte et de la colère, mais aussi de la quête d’une fraternité qui voudrait s’en nourrir et les dépasser, elle est illustrée par Jean-Michel Delambre (dessinateur au Canard enchainé et à Charlie Hebdo) qui la rehausse de son humour décapant, et c’est un honneur pour moi de lui être associé.

(Voir ici les critiques de Jacques Morin et de Lucien Wasselin  http://revue-texture.fr/lettres-d-un-athee-a-un-ami.html   ).

 

102 pages. 10 euros. Dessins de Jean-Michel Delambre. Editions Henry.

En librairie, chez l’éditeur (Parc d’activités de Campigneulles – 62180 Montreuil-sur-Mer ou sur le sitewww.editionshenry.com). Ou chez l’auteur via baglin.michel@wanadoo.fr

 

Eaux troubles

(Editions Pétra)

Le fil de l’eau est le fil rouge de ces quinze histoires où se dévoilent les fêlures et les paysages intimes de personnages qui ont souvent pris la vie par le mauvais bout….

Quinze nouvelles pour nous rappeler qu’un rien suffit à rendre les eaux troubles. Ici c’est une crue, un remous, ailleurs un pont lancé, un vent mauvais, une rencontre ou une couronne d’olivier, une pollution de l’air ou de l’âme…

Ces intrigues nous font aussi voyager, elles se déroulent sur le canal Volga-Baltique, un lac du Québec, un quai de gare, à Constantine, dans une vallée du Sud tunisien ou dans le maquis corse… Ou simplement en descendant le cours d’une vie au fil de la Garonne, à Toulouse.

Des histoires en suspension se cristallisent alors quand remontent du fond vaseux des existences et de la solitude, les émotions enfouies.

196 pages. 16 euros. Éditions Pétra, Paris. ISBN 978-2-84743-157-5.

Chez l’éditeur. ISBN 978-2-84743-157-5. Ou chez l’auteur 

Voir les critiques d’Alain Kewes et de Max Alhau reprises ici http://revue-texture.fr/eaux-troubles.html

Ces deux publications feront l'objet d'une prochaine émission

 

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de "Vous prendrez bien un poème ?"
de Françoise Vignet 

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d'ombres couv
 

poèmes écrits entre 1990 - 2013

1
 

j'ai fixé le plafond où pendant longtemps,
 

2
 
petites fictions qui parlent de mort, drame, tristesse, solitude
une façon paradoxale de faire la nique à

 la camarde à cheval un de Troie
soigner le noir par le noir
mettre des mots là où il ne faut pas
narguer la peur


4

Édité et imprimé par l’auteur


à me commander directement (et merci !) :

10 €  ( + 2 € pour le port)

 

http://cathygarcia.hautetfort.com/& http://delitdepoesie.hautetfort.com/

Si vous souhaitez vous abonner à la liste de diffusion de mes notes de lecture, vous pouvez le faire par simple demande à cette même adresse mail.

 

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Contre-allées 

huit titres publiés

dans la collection

pOètes au pOtager

 

CHS 

Les marronniers 

Voilà 

Sous le ciel de nous 

Une caresse pieds nus 

Incarnat 

Planche en bois 

Les petits jardins 

 

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Contre-allées

https://www.facebook.com/contreallees/

https://twitter.com/contre_allees

https://fr.linkedin.com/in/contreallees

 

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Editions Unes

des livres singuliers

 

Cédric Le Penven - Joachim

 

 
sur le point de devenir père

qu’aurai-je à donner
à cet enfant sans nom

moi qui sais que mon visage
ne me ressemble pas

que je passe des nuits
à parler avec un double

au regard noir et fixe

qui attend
112 p., 19 €
Imprimé en typographie
Vignette de couverture de Fabrice Rebeyrolle
978-2-87704-176-8, broché, 15x21cm
Joachim s’ouvre en vers brefs, comme pour mesurer le franchissement de la pudeur : l'attente d'un enfant longtemps espéré, si difficile à venir. Angoisse du futur face à l'angoisse de l'enfance, face à cette possibilité ouverte devant soi d'être un père autre, à l'inverse de celui qui distribuait les coups. Fragilité et bouleversement jusque dans les pronoms personnels qui changent et glissent d'un poème à l'autre, dans l'incertitude d'être soi face à l'enfantement. L'écriture se dépouille, avance frontalement vers le lecteur dans une quête de clarté des objets, comme si pour habiter le monde, tendre vers l'autre, il se manifestait un refus de dissimulation. A travers le lieu de La Gourgue ensuite, lieu à la fois réel et littéraire, sensible et symbolique, Le Penven développe une géographie intime, dans une tension entre la fugacité des perceptions - terres humides, lumière à travers les branches, eau fraîche du ruisseau, odeurs des bois - et l'extériorisation du souvenir par le mouvement, l'exténuement physique qui empêche les rancœurs de nous étouffer, après avoir plongé au fond de la mémoire, de sa noirceur. La Gourgue est un lieu, mais aussi un langage, l'invitation à nommer ce qui nous entoure, découvrir le nom des choses, les reconnaître puis les transmettre. Voir le monde, le fait de se mouvoir dans le monde, comme un enfant se découvre. Un lieu, un poème - un enfant contre une colère. Et dans le secret du lieu, approcher la forme de sa vie.
Cédric Le Penven est né en 1980, il vit et enseigne dans le Sud-Ouest de la France. Agrégé de Lettres Modernes, il est l’auteur d’une maîtrise sur l’œuvre poétique de Thierry Metz. Il a publié une dizaine de livres, où se développe une interrogation du biographique dans le monde, entre réminiscences et voyages, quotidien et introspection. Il déploie une écriture qui servirait à cautériser les plaies, depuis les incertitudes de l’enfance jusqu’au présent en constante et difficile quête de clarté. Il a obtenu le prix Voronca en 2004 pour Elle, le givre, paru aux éditions Jacques Brémond, et le prix Yvan Goll pour son recueil Nuit de peu, aux éditions Tarabuste en 2016. Joachim est son deuxième livre publié aux Editions Unes, après Bouche-suie, en 2015.

 
Editions Unes
13, avenue Pauliani - 06000 Nice
unes@arts06.fr
04 93 62 14 40 - 06 98 84 21 14
 
Diffusion-Distribution : Les Belles Lettres

  

 
 

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Vient de paraître :
 
Dans son regard aux lèvres rouges

d'Yves Charnet

Éditeur : 

264 pages

19,00 €

en commande dans toutes les librairies indépendantes & centres culturels

 (style Leclerc, etc) en précisant que le distributeur est


 

Une émission sera prochainement consacrée à ce livre

 

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VIENT DE PARAÎTRE  - NUEVA PUBLICACIÓN

 

 

 

 

Rémy Durand

Un fruit qu’on regarde sans tendre la main

avec des encres et des aquarelles de Josette Digonnet

 

Éditions du Petit véhicule, Luc Vidal - Collection « L’or du temps » n°56, septembre 2015

Commandes sur le site des Éditions du Petit Véhicule

http://lepetitvehicule.com/produit/galerie-de-lor-du-temps-n56-remy-durand-josette-digonnet-un-fruit-quon-regarde-sans-tendre-la-main/

20 rue du Coudray 44000 Nantes

ou chez votre libraire

 

« … c’était exactement ce que j’avais besoin de lire pour me redonner le moral et envie d’écrire […]

J’ai reconnu certains des textes, mais surtout, j’ai reconnu le ton, l’univers, la personnalité du poète qui se détachent incroyablement. Un univers d’extases visuelles et sensuelles, parcouru par le regret... où le dernier hoquet du rire pourrait être une grimace désabusée.... un style à la fois riche et précis, lyrique mais sans emphase, un kaléidoscope d’éléments de description réalistes, qui pourtant donne une impression surréelle et onirique. Et l’auteur, toujours en quête,  avec à la fois un élan continu d’espoir et d’attente de la rencontre  et une capacité de souffrance adolescente, que l’expérience n’a pas assagie.

Les dates des différents textes ne sont pas indiquées, sauf dans l’appendice final, et c’est très bien comme ça, parce que ce qui me frappe, c’est une impression d’unité incroyable : quels que soient les pays ou les épisodes évoqués, on a toujours ce sentiment de tension entre les extrêmes; ton univers est un univers en attente d’une sérénité qui se refuse, puisque même les scènes inoubliablement belles de l’enfance sont entachées par la conscience de la cruauté et de l’injustice. comme si le paradis perdu était souillé à l’origine par la  mort.

 

Voilà pour les textes qui m’enchantent. L’objet lui-même est parfait, cette reliure cousue en fil qui parait fragile et qui est pourtant bien plus solide qu’une reliure collée... à l’image du poète, blessé mais résilient... et les illustrations, qui sont comme des couchers ou des levers de soleil, des transitions fugaces qui laissent place à l’espoir.. (à part celle en noir blanc et rouge qui illustre l’homme qui pleure)

[…] Ta poésie, même quand elle parle de choses dures et âpres, en parle si bien qu’elle donne foi dans le retour du jour neuf ! »

 

Olivier Lécrivain, poète, écrivain, musicien

 

20 rue du Coudray, 44000 Nantes

 


 

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GERARD BOCHOLIER

 est heureux de vous annoncer la publication de

                         son nouveau livre :

 

                   LES NUAGES DE L’ÂME

                       Journal 1996-2016

 

    A commander sur le site des éditions PETRA

 

                        www.editionspetra.fr

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ce livre sera présenté à Toulouse à 

La Tuto d'Oc
Maison de l'Occitanie 
11, rue Malcousinat
(près place Esquirol)
le
et fera l'objet d'une prochaine émission

 

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Colette Elissalde Bois flottés(préface de Gilles Lades) Librairie-Galerie Racine - Paris

… Mourir donne du fruit,

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le phare du cousseix a le plaisir de vous annoncer la parution de


outre le tirage courant
un tirage de tête a été imprimé à X exemplaires sur Vélin d’Arches 200 g
il comporte une vignette de couverture et trois planches
aquarelle et crayon de couleur
de
oeuvres originales pour chacun des exemplaires
l’ensemble est signé au colophon par l’auteur et l’artiste


vous pouvez découvrir et commander ces livres sur le site des éditions 

ou : éditions Le Phare de Cousseix, 155 boulevard de Magenta, 75009 Paris

* Les amis abonnés bénéficient d’un tarif réservé pour le tirage de tête
et de la gratuité des frais de port
n’hésitez pas à les rejoindre pour soutenir les éditions

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Le n° 37|38 de la revue

 

Il contient des textes inédits de

 

Cécile Glasman et Matthieu Gosztola s’entretiennent ensuite avec les poètes Albane Gellé, Alain Guillard, Rémi Checchetto & Sylvie Durbec.

 

Armelle Leclercq & Aurélien Perret chroniquent enfin une dizaine d’ouvrages.

 

L’illustration de couverture

 

 

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PO&PSYa le plaisir de vous annoncer la parution en librairie du premier recueil 2017 :

 

Rodolfo Alonso,

 

Entre les dents

 

traduit de l'espagnol (Argentine) par Jacques Ancet

 

dessins de Sylvie Deparis

 

PO&PSY in extenso - 94 pages - 12,00 €

 

Le recueil

  

  

  

   incandescente inimitable.

Le titre de ce recueil est en soi la judicieuse définition d’une esthétique. Entre les dents, on ne peut dire que très peu de mots : les dents sont un filtre qui, dans le temps même où il fait obstacle à la prétendue fluidité du discours courant, contribue en mots comptés

 

Poète, traducteur et essayiste argentin,

Traducteur, outre que de grands poètes italiens, galiciens, portugais, allemands (il a été le premier traducteur dans sa langue


Ce livre fera l'objet d'une prochaine

 

émission "les poètes" sur Radio Occitania


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 Revue Nouveaux Délits, le NUMÉRO 56 - Janvier 2017
 

janv. fév. mars 2017

 

Voici donc le 13ème édito de bons vœux pour la nouvelle année, ce qui devrait suffire à porter bonheur parce que pour ce qui est du stock de formules, il est depuis belle lurette épuisé…. Et aussitôt une question vient clignoter dans mon cerveau arborescent : mais c’est qui cette lurette ? Il s'agirait en fait, dixit the web, d'un mot inventé, un hybride entre belle et heurette, heurette signifiant « une petite heure », ce qui est pour le moins étrange, si on considère que toute heure est censée avoir la même durée. En temps en tout cas, mais peut-être pas en sensation de temps. On sait bien qu’une heure de plaisir passe bien plus vite qu’une heure de galère, une heure à la plage passe certainement plus vite qu’une heure sous les bombes, pour peu qu’elles tombent à côté. Il en va donc sans doute de même pour les années, aussi pourrions-nous penser que si nous avons l’impression que « ça » passe de plus en plus vite, c’est que tout ne va pas si mal pour nous finalement. Aussi pourrait-on se souhaiter tout pleins de belles lurettes, non ? Pour ma part j’aurais tellement de choses à souhaiter concernant le sort de l’humanité, que je préfère me taire et laisser la parole aux poètes.                       CG

 

 

Il était une chose que seule la terreur pouvait obtenir, c’était que ces centaines d’hommes bouillonnant au fond de la baraque fissent silence. Seule la terreur… et la poésie. Si quelqu’un récitait un poème, tous se taisaient, un à un comme des braises s’éteignent. () Un manteau d’humanité les recouvrait. J’apprenais que la poésie est un acte, une incantation, un baiser de paix, une médecine. J’apprenais que la poésie est une des rares, très rares choses au monde qui puisse l’emporter sur le froid et sur la haine. On ne m’avait pas appris cela.

Jacques Lusseyranin Le monde commence aujourd’hui

 

AU SOMMAIRE

 

 Délit de poésie non formatée :

 

µAnna de Sandre

µSamaël Steiner

µMyriam Ould-Hamouda

µSaïd Mohamed

µQuelquesprensées de Matthias Richard

µLe tremble au cœur autour (extraits) de Jacques Allemand

 

Résonance :

 

Règne animalde Jean-Baptiste Del Amo, Gallimard 2016

Les Palsou– Un conte de Noël d’André Bouchard, Seuil jeunesse 2016

 

 

Les délits d’(in)citations réfugiés dans les coins ont des choses à dire. Quant au bulletin de complicité, il tapine toujours au fond en sortant.

voir

 

 

Illustrateur: Patrick le Divenah

 

De sang breton, de naissance angevine, d’habitat parisien. Bigame, car aime autant le mot que l’image. D’où les associations parfois, dans des textes ou des collages. Aspiré par le souffle, inspiré par la spirale, l’absurde, la poésie des sciences, et bien d’autres choses encore, avec passion. Publié dans une trentaine de revues littéraires et d’autres en ligne. Édité chez Passage d’encres, L’Échappée belle, Gros Textes, p.i.sage intérieur, La Tête à l’envers, La Lucarne des écrivains ; et dans des ouvrages collectifs (Henry, Lilo, L’Atelier du Gué, classiques Garnier prochainement…). Rubriques dans inks-passagedencres (cf. Les mots la langue : Par ici la bonne soupe ; cf. Critique : Chefs-d’œuvre derechef). Collagiste dessinateur (illustration de couvertures et de diverses revues). Son site : http://prosesie.free.fr

 

 

Les efforts de dizaines d’années étaient annulés en quelques semaines, l’État, déjà instable depuis toujours, s’était effondré en quelques semaines, la stupidité, la cupidité, l’hypocrisie régnaient tout à coup comme aux pires époques du pire régime, et les hommes au pouvoir œuvraient à nouveau sans scrupules à l’extirpation de l’esprit. Une hostilité générale à l’esprit, que j’avais observée depuis des années déjà, avait atteint un nouveau paroxysme répugnant, le peuple, ou plutôt les masses populaires étaient poussées par les gouvernants à assassiner l’esprit et excitées à se livrer à la chasse aux têtes et aux esprits. Du jour au lendemain, tout était à nouveau dictatorial, et, depuis des semaines et des mois, j’avais déjà éprouvé dans ma chair à quel point on exige la tête de celui qui pense. Le sens civique des braves bourgeois, bien décidé à se débarrasser de tout ce qui ne lui convient pas, c’est-à-dire avant tout de ce qui est tête et esprit, avait pris le dessus, et tout à coup, était à nouveau exploité par le gouvernement, et pas seulement par ce gouvernement d’Europe. Les masses, esclaves de leur ventre et des biens matériels, s’étaient mises en mouvement contre l’esprit. Il faut se méfier de celui qui pense et le persécuter, telle est la devise ancienne selon laquelle on se remettait à agir de la manière la plus atroce. Les journaux parlaient un langage répugnant, ce langage répugnant qu’ils ont toujours parlé, mais qu’au cours des dernières décennies ils n’avaient au moins plus parlé qu’à mi-voix, ce à quoi ils ne se croyaient tout à coup plus tenus : presque sans exception, ils jouaient les assassins de l’esprit, comme le peuple et pour plaire au peuple. Pendant ces semaines-là, les rêves d’un monde voué à l’esprit avaient été trahis, livrés à la populace et jetés au rebut. Les voix de l’esprit s’étaient tues. Les têtes étaient rentrées dans les épaules. La brutalité, la bassesse et la vulgarité régnaient désormais sans partage. Ce fait, s’ajoutant à la stagnation de mon travail, n’avait pu qu’entraîner une profonde dépression de tout mon être et m’affaiblir d’une manière qui, pour finir, avait provoqué la pire crise de ma maladie.

 

Thomas Bernhard

in Vomissons

 

 

Temps modernes

Cette année je ne sortirai pas de sa boîte la petite maison de bois
Sa mousse ses décors son étoile
Ma joie d’enfant de la dresser
Les Rois Mages ont été retenus à la frontière
Pour trafics divers
Et renvoyés dans leur pays on ne savait pas trop lesquels
Alors on a choisi à pile ou face la Syrie ou le Yémen
L’Âne est parti à l’abattoir pour faire des hamburgers
Le Bœuf tire des chariots de cuir au Bangladesh
À Joseph on a dit
Qu’on n’était plus pour le rapprochement familial
Et Marie a fait une fausse couche dans la jungle de Calais
Le Berger s’est pendu à cause de ses dettes c’était
Un berger grec
Il restait le Ravi mais il gênait la bonne société
Il ne gênera plus ils l’ont interné bien attaché
Il rit maintenant dans du capitonné
Cette année
Je ne sortirai pas de sa boîte la crèche
Je la laisse avec l’illusion du printemps qui renaît
Avec l’hospitalité avec la tendresse,
Rangée dans le grenier, pour les dents des rats.

 

Alexo Xenidis

 

 

Nouveaux Délits- Janvier 2017 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits Coupable responsable de tout : Cathy Garcia Illustrateur : Patrick Le DivenahCorrecteur : Élisée Bec  

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

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"L'adieu au Loing" de Xavier Frandon et autres actualités du Citron Gare


L'association "Le Citron gare" vous annonce la publication de son 10e recueil :


 "L’adieu au Loing" de Xavier Frandon illustré par MAAP(voir avis de parution).

 

Si vous souhaitez vous procurer ce livre, vous pouvez faire un tour sur le blog

 

De plus, vous trouverez ci-joint, pour partage et votre information, des extraits du numéro 70 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, avec des textesdeMichel Talon, Marie-Anne Bruch, Julien Boutreux, Daniel Birnbaum, François Gorin, Didier Ober, Laurent Deheppe.

 

- en version PDF

 

- en version doc :

 

Bonnes fêtes de fin d’année.

 

Amicalement

Patrice Maltaverne

et l'association Le Citron Gare

http://traction-brabant.blogspot.fr/

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

 

 

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Pour vos cadeaux de fin, de début (et de milieu) d'année, pensez aux livres d'artistes de

 

Certains de nos volumes PO&SY princeps, in extenso ou a parte font l'objet d'un TIRAGE DE TÊTE (tirage limité, numéroté et signé, comportant une œuvre originale de l'artiste)

 

Deltasde Nadine CABARROT

Tirage limité à 8 exemplaires, avec une photographie originale

 (tirage digigraphique) au format 10,5 x 15, de l'auteure                     40€

 

Avant les motsde Claudine BOHI

Tirage limité à 18 exemplaires, avec un dessin original

au format 15 x 31, de Magali LATIL                               150€

 

Les travaux de l'infimede Jacques ANCET

Tirage limité à 20 exemplaires, avec un dessin original

au format 10,5 x 15, d' Alexandre HOLLAN                                         250€

 

Voix réuniesd'Antonio PORCHIA      

Tirage limité à 20 exemplaires, avec un dessin original

au format 10,5 x 15, de Martine CAZIN                                      100€

 

Secondesde Yannis RITSOS

Tirage limité à 20 exemplaires, avec une photographie originale

au format 10,5 x 30  d'Alain BLANCARD                                             40 €

 

Hors-champs, poèmes et peinturesdePhilippe JUDLIN              

Tirage limité à 20 exemplaires, avec une peinture originale

au format 10,5 x 15    80 €

 

Des milliers d'arbres solitairesd'Abbas KIAROSTAMI

Tirage limité à 20 exemplaires, sérigraphie rehaussée (collage et crayon)

au format10,5 x 15, de Mehdi MOUTASHAR                                     

avec une ou trois sérigraphies différentes                                50 ou 100 €

 

Les oiseaux du petit fleuvede François GRAVELINE

Tirage limité à 20 exemplaires, avec un papier sculpté

(diptyque au format 10,5 x 15) de madé                                                  100€                                                                                               

Solstice, d'Elisabét JÖKULSDÓTTIR  

Tirage limité à 20 exemplaires, avec un dessin original

au format 10,5 x 15, de KROCHKA                      80 €

 

Jets de poèmes, de Ryôichi WAGÔ

Tirage limité à 20 exemplaires, avec une plaque de zinc gravée

d'Élisabeth GÉRONY-FORESTIER                              80 €

 

 

 

Et... 

NOUVEAUTÉ: sortie du premier des ARTPROMPTUS DE PO&PSY

 

Lespoètes et artistes collaborateurs des collections PO&PSY se rencontrentpour concevoir de courtes compositions :1 poème + 3 dessins originaux, sur 1 feuillet format A4 plié sous enveloppe 11 x 22.

Tirages limités à 10 exemplaires, numérotés et signés, vendus exclusivement par correspondance                                                                                                      50 €

 

n° 1(déc. 2016) :

Labour, Danièle FAUGERAS / KROCHKA

texte imprimé / encres à la plume

sur papier Rives Tradition nacré blanc 120g

 

 

Des cadeaux originaux, délicats et discrets

         des vœux attentionnés

                  le plaisir de collectionner

                          et de soutenir la petite édition de poésie...

 

 

 

Association PO&PSY

95A rue du Castelas, 30260 LIOUC / 06 72 67 41 98 / poetpsy@orange.fr

http://www.poetpsy.wordpress.com

 

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VIENT DE PARAÎTRE / NUEVAS  PUBLICACIONES

v 

Verónica ARANDA

Tatouage (Tatuaje)

Coll. "Encres Vives" n° 457.

août 2016, 16 p., 6,10 €

Traduit de l’espagnol (Espagne) par Rémy Durand et l’auteur


cette publication a fait l'objet de l'émission du 22 / 09 / 2016

et est toujours en ligne à la rubrique

lien pour le son : 

  

Il est arrivé de la Mer Rouge / sur un voilier fébrile, à la dérive, / chargé d'oranges, et, en haut de son mât / se dressaient les mosquées les plus bleues / où se croisaient les chemins de Perse / jusqu'au port d'arrivée, où flotte / la voile d'un murmure clair-obscur, / le soudain tambour des kermesses / et la neige de mars, au petit matin / qui toujours achève le cycle des soies / et ses routes lointaines.

Llegó desde el Mar Rojo / en un barco febril, a la deriva,  / cargado de naranjas, y en su mástil  / se alzaban las mezquitas más azules, /en donde convergían los caminos de Persia  / y el puerto de llegada, donde ondea  / el lienzo claroscuro del susurro, / el súbito tambor de las verbenas  / y la nieve de marzo, amaneciendo, / que siempre cierra el ciclo de las sedas / y sus remotas rutas.


v 

Ramiro OVIEDO

La Route du poisson (extraits)

Coll. Encres Blanches, Encres Vives  n° 677

décembre 2016, 16 p., 6,10 €

Traduit de l’espagnol (Équateur) par Rémy Durand et l’auteur

 

Je déclare que je suis tombé amoureux de cette mer, de cette ville et de ses nuages…,

 

Rémy Durand

Préface à son recueil

Éditions associatives Villa-Cisneros 2015

 

 

 

Les ouvrages de Michel Cosem peuvent être commandés chez l’éditeur :

Encres Vives, 2 allée des Allobroges – 31770 Colomiers

 

 

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Cathy Garciade la revueNouveaux-Délits

nous communique :

 

Vous pouvez découvrir les séries de cartes cuvée 2016 ici :

http://associationeditionsnouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2016/12/05/cartes-a-tout-dire-les-cartes-nouveaux-delits-la-cuvee-2016-5883117.html

Chaque carte est composée d'une œuvre originale (pas une repro), avec un morceau de poésie tapuscrite (écriture numérisée de l'auteur) au dos, le tout signé de Cathy Garcia. Support papier recyclé "calcaire" 250 gr. Format A5. 

5€ chaque + 1 pour le port (gratuit à partir de 3 cartes), à réserver par mail.

Cette vente au profit de l'association, aide comme chaque année pour l'achat de fournitures (papier, encre, enveloppes etc.), merci donc pour votre soutien.

En vous souhaitant une très belle fin d'année, un temps pour prendre soin de nos petites flammes intérieures.

Et on se retrouve en janvier pour le numéro 56 !

Cathy Garcia

 

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 Dernier ouvrage de Maître Jean-Paul ESCUDIER
du barreau de Toulouse 
 "Les perles rares du Palais" 
 paru aux éditions « François de Galice »
disponible en librairie ou sur commande 
avec le code ISBN suivant : « 978-2-84918-144-7 ».

Voir 1ère et 4ème  de couverture


 

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--

  
Avant-programme
novembre-décembre 2016
janvier-février 2017
 
 


 

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VIENT DE PARAÎTRE

 

AUX ÉDITIONS ASSOCIATIVES VILLA-CISNEROS

 

Les jardin des daguesJardín de dagas, 2016 (coédition Alliance Française de Quito – Association Gangotena),

d’Aleyda Quevedo Rojas

édition bilingue, traduit de l’espagnol (Équateur) par Rémy Durand

ISBN 978-2-919209-10-1

 

Le jardin des daguesJardín de dagas, 2016 (co-edición Alianza Francesa de Quito – Asociación Gangotena)

de Aleyda Quevedo Rojas,

edición bilingüe, traducido del español (Ecuador) por Rémy Durand

ISBN 978-2-919209-10-1

 

 

 

          Sous les auspices de l’Alliance Française de Quito (Équateur)

 

          En partenariat et avec le soutien de la Section Culturelle  de l'Ambassade de l'Équateur en France

 

Ø  La présentation du recueil d’Aleyda Quevedo Rojas s’est tenue le mercredi 26 octobre 2016 à 19h30 à l’Alliance Française de Quito en présence de Serge Maller, Délégué Général de l’Alliance Française en Équateur, d’Ivan Torres, Président de l’Alliance Française de Quito, d’Aleyda Quevedo Rojas et de son traducteur, le poète Rémy Durand. 

Ø  La presentación del poemario de Aleyda Quevedo tuvo lugar el miércoles 26 de octubre a las 19h30 en la Alianza Francesa de Quito, en presencia de Serge Maller, Director general de las Alianzas Francesas del Ecuador, de Ivan Torres, Presidente de la Alianza Francesa de Quito, d’Aleyda Quevedo Rojas y de su traductor, el poeta Rémy Durand.

 

Commandes / pedidos :

En France : - auprès de l’Association Gangotena - 4 rue Vincent Allègre – Toulon 83000 / contact@remydurand.com / Chèque à l’ordre de Association Gangotena de 14€50, port inclus, sauf pour l’étranger / - ou en librairie

En Équateur : Alianza Francesa de Quito, N32- y, Av. Gral. Eloy Alfaro & Bélgica. Tél. : 224-6589

 

En Francia, - acerca de la Asociación Gangotena, 4 rue Vincent Allègre - Toulon 83000, contact@remydurand.com / Cheque a la orden de Association Gangotena de 14€50, gastos de envío incluidos, excepto para el extranjero / - o en librerías

En Ecuador: Alianza Francesa de Quito, N32- y, Av. Gral. Eloy Alfaro & Bélgica. Tél. : 224 65 89

 

Note critique / Comentario de Diana Bellesi (Argentina / Argentine)

 

Se trata de un arsenal de versos que penetran en la oscura y maravillosa insensatez del deseo, el amor y el desamor. En este libro, como dagas finas de una mujer quiteña, los poemas cortan y suturan, al mismo tiempo, el corazón de quien los lee. Basta, por ejemplo, el primero y hermoso poema que abre el jardín de la casa: “Sus cuerpos me hablan cuando preparo mi daga –cortes exactos–. Algo que congele la belleza de la pasiflora o el romerito negro”. Las líneas de palabras, las dagas, como llama a sus versos Aleyda Quevedo Rojas, bordan en rojo y negro la ausencia de un cuerpo, pero más aún, bordan el halo del deseo ardiente que sólo puede dibujarse en el vacío, en la claridad del aire del desierto, exacto ahí, frente a esos misterios a los que se declara fiel. Y si debo prendar al lector con estas palabras, lo llevaré ahora a un pequeño y confiable poema, al final del libro, que dice: “El azote del viento/ en tu rostro luminoso. / Golpe de remo, /cielo oscuro, / un amor ciego y sin regreso./ Ese pozo del que no se sale, /sino para morir de amor».

 

Il s’agit d’un ensemble de vers qui nous entraînent dans l’obscure et merveilleuse folie du désir, de l’amour et du désamour. Dans ce recueil, comme les fines dagues d’une femme de Quito, les poèmes coupent et suturent, en même temps, le cœur de celui ou celle qui les lit. Il suffit de lire par exemple, le premier et beau poème qui ouvre le jardin de la maison :   « Leurs corps me parlent quand je prépare ma dague / – entailles précises –. / Quelque chose qui glace la beauté de la passiflore ou du petit romarin noir  ».  Les lignes de mots, les dagues – ce mot est dans le titre du recueil – soulignent en rouge et noir l’absence d’un corps, mais plus encore l’auréole du désir ardent qui ne peut être dessinée que dans le vide, dans la clarté de l’air du désert, là même, face à ces mystères auxquels elle se déclare fidèle. Et si je dois séduire le lecteur, je l’inviterai à lire un court et incontestable poème, à la fin du livre qui dit : « Le fouet du vent / dans ton visage lumineux. / Coup de rame, / ciel obscur, / un amour aveugle et sans retour. / Ce puits d’où l’on ne sort pas  / sinon pour mourir d’amour. »

 

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Voir la version en ligne Cliquer ici pour éditer

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Denis Heudré nous communique :


J'ai choisi, en attendant une si hypothétique publication par un éditeur,
de diffuser mes textes gratuitement sur internet. Je publiais déjà certains
de mes recueils sur mon site personnel (http://denisheudre.free.fr rubrique
à télécharger). Je vais désormais tout publier dans le format d'une revue
(pas forcément un journal) que j'ai intitulée IGD - Infinie Géolocalisation
du Doute. Dans cette revue gratuite, au format pdf et transmise par mail,
je diffuserai mes propres textes, dessins, photos et notes de lecture.

Je relaye cette diffusion sur une page facebook ici :
https://www.facebook.com/IGD-Infinie-Géolocalisation-du-Doute-377025209302967

Il n'y a rien de présomptueux dans cette démarche de revue unipersonnelle
de poésie, juste une envie d'essayer autre chose pour diffuser mon travail
de poésie au plus grand nombre. Bien sûr, si un éditeur est intéressé, je
suis ouvert à toute proposition.

Voir le N°1.

 

 

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Voici les possibilités pour se procurer les publications :

 
 Particuliers : (livres et revues)
 

 commandez en librairies

 ou (c’est plus rapide mais le port de 2.72 € est rajouté) 
sur le site www.atelierdelagneau.com par paypal 

 ou par chèque à l’Atelier de l'agneau éditeur

1 Moulin de la Couronne    F 33220 St-Quentin-de-Caplong
 
 (si vous préférez faire un virement bancaire, nous contacter)

 renseignements :    at.agneau@wanadoo.fr

 ::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
 

Bon de commande à joindre ou sur papier libre, accompagné d’un chèque et FRANCO DE PORT

Votre adresse et/ou celle d’une autre personne à qui nous pouvons l’envoyer

 

NOM ………………………………………..PRENOM……………………

 

ADRESSE (S)

 

 E MAIL…………………..

LIVRES COMMANDÉS : 

Claire Dumay, Arracher le tapis :

Nombre d’exemplaires : ……….                                                 Prix  17 € x … =…

Claire Dumay, Les étreintes bloquantes,                                              15 € x ….
Emmanuel Bove, Le crime d’une nuit + Bécon-les-Bruyères             17 € x ….
AUTRES : 

TOTAL DE LA COMMANDE (à payer)                                                              = …

 
 Avis aux libraires : Distribution France Belgique SUISSE :  ARCADIA,

9-11 RUE DU CHAMP DE L’ALOUETTE       75013  PARIS  TEL  01 40 09 79 79


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https://www.facebook.com/Atelier-de-lagneau-éditeur-191018300968693/ 

et cliquez sur SUIVRE pour recevoir nos annonces et activités www.chronercri.wordpres

 

 

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En novembre, le souffle du vent se mêle à celui des poètes… Entre chant choral, parole de l’absence et jeunes voix contemporaines, c’est un automne de musique et de mots que l’on vous propose de découvrir dans cette 72ème lettre d’information. Avec, toujours, de nombreux événements partout en France !
 Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici

Newsletter_page4


 

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Patrice MALTAVERNE nous communique :


Vous trouverez ci-joint, pour partage, des extraits du numéro 69 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, et qui comprend les poèmes ou textes courts de : Xavier Frandon, Charlotte Mont-Reynaud, Denis Parmain, Fred Bonnet, Marie-Françoise Ghesquier, 

Pierre Vella.

 

- en version pdf :  https://share.orange.fr/?_=grJ#tPBjvXp5Kz2c79728cde

 

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=gKJ#NWNSEAQ7Rm2c79728cd0

 

Si les liens ne fonctionnent pas directement, vous pouvez les copier-coller.

 

Vous trouverez également ci-dessous, quatre liens qui vous permettront d'aller faire un tour sur les deux blogs des Editions Le Citron Gare et de Traction-brabant,

ainsi que sur les deux blogs de mes chroniques poétiques :

 

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://traction-brabant.blogspot.fr/

 

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

Bonne lecture ! Vos remarques sont les bienvenues...

 

Amicalement

Patrice Maltaverne et l'association Le Citron Gare

 

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Vient de paraître aux Éditions Tensing, de Claude Cailleau :
 Je, tu, il – remonté le temps, sondé le silence. 
voir couverture1   couverture2 

Ce petit livre de 60 pages clôt ma recherche sur l’écriture de la poésie.
Après le vers « classique » (Mots du jour et de la nuit, Éditions du GRIL), le vers libre (Sur les Feuilles du temps, Éd. Écho Optique), le verset (Le Roman achevé, Éd. du Petit Pavé), voici la prose. Sans l’artifice d’une disposition en vers pour signaler qu’il s’agit bien de poésie, le texte est seul, avec ses images, son rythme, ses sonorités (sa musique) pour que le lecteur le reconnaisse comme poème.
Ceux qui ont suivi à travers ces livres mon parcours en poésie savent combien j’attache d’importance aux étapes d’une recherche qui a été nourrie par mon expérience de revuiste à la tête des Cahiers de la rue Ventura.
Si j’avais eu les revenus d’un lauréat du prix Goncourt (…), j’aurais eu plaisir à vous offrir le livre, pour partager avec vous l’émotion qui m’a guidé dans l’assemblage de ces petites proses. Mais hélas…
Alors, si vous êtes curieux, si vous souhaitez confronter votre conception de la poésie à la mienne, il ne vous en coûtera que 9 € pour acquérir le petit livre -  et si  vous vous demandez ce que représente la photographie sur la couverture ( On dirait un lit de fougères) sachez qu’il s’agit seulement du givre sur la vitre d’une pièce sans chauffage l’hiver. La nature est une grande magicienne.
L’ouvrage est en vente
sur le site d’Amazon et sur celui des éditions Tensing.

Cl. Cailleau,
Directeur des Cahiers de la rue Ventura
http://clcailleau.unblog.fr

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Voir la version en ligne 15-10-2016


L'enfance, cette longue patience



L'enfant fini

Au bord de l'Hudson à Manhattan, Jasper, né au moment où les tours du World Trade Center viennent d’être percutées, fasciné par l’Europe et la peinture hollandaise du XVIIe siècle, écrit dans son cahier pour ne pas oublier ce qu'il vit. Il y a aussi Clemence, supposément européenne, avec laquelle il invente quelques conversations où figure parfois un jeu d'échecs.

L'enfant fini

d'Édith Msika

auteur d'un roman publié chez P.O.L en 2002,
Une théorie de l'attachement,

a paru à la mi-octobre 2016
chez la bonne maison Cardère



Un livre de 136 pages au format 15 x 21
prix public 12€ port compris



Édith Msika et la bonne maison Cardère

vous souhaitent une agréable journée.



Un œil sur le catalogue
Asinus in fabula
Le troupeau
Quand la vieille voisine...
 

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Vient de paraître aux éditions du Frau :

 

« Chien mordu »

de Romain Fustier

 

avec des dessins de Marie Deschamps

voir visuel

 

 

Prix : 5 euros

 

 

Vous pouvez commander ce livret

en envoyant un chèque à l’ordre de :

 

« Odile Fix – éditions du Frau »


à l’adresse suivante :

 

Odile Fix

Les éditions du Frau

Bélinay

15430 Paulhac

  

Plus d’informations sur le blog de l’éditrice :

http://editionslefrau.blogspot.fr/p/blog-page_21.html

 

 Contre-allées

Revue et éditions
Amandine Marembert & Romain Fustier
16 rue Mizault
03100 Montluçon
http://contreallees.blogspot.com/

https://www.facebook.com/contreallees/

https://fr.linkedin.com/in/contreallees

 

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Patrice Maltaverne nous communique :

Bonjour à tous

 

Vous trouverez, pour partage, des extraits du numéro 68 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, et qui comprend les poèmes ou textes courts de : Christophe Réal, Chloé Landriot, Jean-Marie Alfroy, Samaël Steiner, Julien Boutreux, Denis Parmain.

 

- en version pdf :  https://share.orange.fr/?_=nIk#euF8dvlmU61c21339978

 

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=4a6#xLEUhPe03W1c21339969

 

Si les liens ne fonctionnent pas directement, vous pouvez les copier-coller.

 

Une fois n’est pas coutume et par ailleurs, vous trouverez  un bulletin de souscription pour mon prochain recueil à paraître aux Editions du Contentieux (mail de l’éditeur : romanrobert60@gmail.com), intitulé « Double séparation ».

 

Vous trouverez enfin ci-dessous, quatre liens qui vous permettront d'aller faire un tour sur les deux blogs des Editions Le Citron Gare et de Traction-brabant, ainsi que sur les deux blogs de mes chroniques poétiques :

 

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://traction-brabant.blogspot.fr/

 

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

Bonne lecture ! Vos remarques sont les bienvenues...

 

Amicalement

Patrice Maltaverne et l'association Le Citron Gare

 

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Alain Helissen nous communique :

Bonjour,


Permettez-moi de vous présenter l'une de mes

dernières réalisations.

Des photos sont visibles sur mon blog en suivant ce lien:


http://alainhelissen.over-blog.com/2015/09/vaguement-livre-d-artiste.html


Merci de m'adresser un mail de réservation si vous êtes intéressé.


cordialement,


Alain Helissen

*

VAGUEMENT

Geneviève Guiguet - Alain Helissen


Nouvelle collaboration entre Geneviève Guiguet et Alain Helissen, Vaguement comporte 4 livrets originaux,

chacun présentant 4 monotypes à la gouache de

Geneviève Guiguet et des poèmes originaux d'Alain Helissen.

Deux des 4 livrets ont pour format 14 x 24 cm.

Les deux autres ont une forme de vague de 16 cm de hauteur (maximale) x 24 cm

Papier aquarelle blanc 325gr.

Reliure ficelle blanche et raphia vert.

L' exemplaire numéroté 1/4 est

   proposé à la vente, au prix de 35 euros, port inclus.

 

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Voir les parutions récentes de La Table Ronde.

 

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Vient de paraître aux éditions Les Cygnes


www.editionlescygnes.fr



Rosa Liberté


de Filip Forgeau


En cette période troublée qu’est la nôtre, Filip Forgeau entreprend de faire résonner la voix de Rosa L. sur un plateau de théâtre… Sa vie durant, Rosa L. n’a eu de cesse de dénoncer les nationalistes et la dérive guerrière, jusqu’à son cruel assassinat – le crâne défoncé à coups de crosse et son corps jeté dans un canal – le 15 janvier 1919. Bertolt Brecht, jeune poète de 21 ans écrivit alors : « Rosa-la-Rouge aussi a disparu. Elle avait dit aux pauvres la vérité. Et pour cela les riches l’ont assassinée »… Le destin tragique d’une femme exceptionnelle dans une période troublée par la montée du fascisme et des nationalismes exacerbés. « Ce que j’ai sur le coeur, je l’ai sur les lèvres », disait Rosa L. 

L. comme Liberté.  

 

La pièce se joue du 27 septembre au 09 octobre 2016 au Théâtre de l'Épée de Bois à la Cartoucherie de Paris       http://www.epeedebois.com (20h30 du mardi au vendredi – 16h & 20h30 le samedi – 16h le dimanche)


Prix final, hors frais de port  10,00 €

  •  DISPONIBLE  
  •  1 À 3 JOURS DE DÉLAI DE LIVRAISON1

Vous pouvez le commander en allant sur le site des éditions : www.editionlescygnes.fr ou sur Amazon, Fnac et librairies théâtrales.


SPE Comptoir du livre, distributeur.

SPE Comptoir du livre accompagne les éditions Les Cygnes par la diffusion de l'ensemble de son catalogue auprès des libraires et des professionnels du livre.

171 rue de la Convention 75015 Paris.

Téléphone : +33 (0)1 45 67 63 03 / Télécopie : +33 (0)1 45 67 63 04 / Mail : comptoir.spe@gmail.com / Site : www.librairie-spe.com

 

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Encore des prix couronnant nos auteurs, deux livres qui s'insurgent, depuis la Turquie  ou l'Occitanie, et une brassée de lectures, récitals et rencontres pour ce début d'automne. Tous les détails dans cette 71e lettre d'information.

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici.


 

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Alain Helissen

Des lettres de la Voie Lactée

Avec des dessins d'Emelyne Duval

 

Si la Voie Lactée s'étend à l'infini, en la considérant au « pied de la lettre », elle ne renferme toutefois que huit lettres différentes. Ce sont précisément ces huit lettres qu'Alain Helissen a retenues pour confectionner un curieux abécédaire, à la fois drôle et poétique, rehaussé de dessins exécutés par Emelyne Duval et traversé par quelques personnages pittoresques comme celui de Mélanie Cramouillaud ou de Rambo junior. Une dérive textuelle librement désorganisée qu'il convient de lire sur terre avec dans la tête un espace assez large pour y accueillir les extrapolations les plus hardies : « O nid soit qui ne vole pas de ses propres ailes », « Encore un effort, la ligne d'horizon n'est plus qu'à quelques pas », « Opérette n'est qu'une opération de rien du tout, pas de quoi en faire tout un Opéra ! », « Idiot qui croit que l'eau de là est meilleure que l'eau d'ici. » (…)

 

Cactus Inébranlable éditions

Collection Les p'tits cactus

format : 10 x 18,5 ; 116 pages

prix : 9 € (+ 2,72€ de port)

 

Commande possible à l'auteur (préciser si dédicace souhaitée)

Règlement par chèque à Alain Helissen 16 allée de la Champagne 72540 Loué

Contact : alain.helissen@live.fr


 

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parution au 1er octobre 2016

de la

Revue Nouveaux Délits, le NUMÉRO 55

Oct. - Nov. - Décembre 2016

 

Nous sommes chacun comme un écran tout sauf blanc, sur lequel les autres viennent projeter leurs propres films. Parfois les superpositions s’harmonisent plutôt bien, peuvent être source d’inspiration, de joies, d’illuminations, mais trop souvent, cela ne créé que confusion, malentendus, cacophonie, indigestions. Dans ce cas, il est parfois préférable et même nécessaire de baisser l’écran, éteindre les projecteurs. Se recentrer sur soi, pas de façon obtuse et égoïste, mais pour aller chercher en soi cette source où se dissout toute image préconçue, tout simplement parce que nous sommes chacun bien plus qu’une somme de projections et que nous ne pouvons servir de support permanent à tous ceux qui ne se connaissent qu’au travers d’écrans interposés et qui peuvent de ce fait vite paniquer, se montrer intolérants, vindicatifs, quand ils ne reconnaissent pas leur propre film, leur propre scénario sur les écrans des autres. Les couleurs, la luminosité, le son, ne leur conviennent pas, ils voudraient pouvoir tout régler, contrôler. Chacun de nous le voudrait.

Après les éblouissements de l’été, l’automne est la saison pour entamer ce lent repli sur soi, pour nettoyer écran et projecteurs, laisser partir ce qui doit partir, laisser sève et énergies redescendre pour mieux se concentrer, se régénérer, puiser à cette source en nous qui n’a rien à voir avec le mental, les désirs, les peurs et les aspirations égotiques. Une source qui, tout comme la poésie en amont du langage, met en résonance l’intérieur et l’extérieur.

Un poème naît du frottement des mots entre eux, le poète peut faire naître l’étincelle qui fera prendre feu au langage tout entier. Éclairer, réchauffer, consumer s’il le faut. Si le sens d’un mot est perverti, la poésie peut le réduire en cendres. Sensations, émotions, sentiments, autant d’argiles à modeler et à cuire. Toutes les formes sont possibles, simplement certaines seront plus solides que d’autres et tiendront plus longtemps, mais tout est voué à se briser et retourner à son état originel. La création est recommencement perpétuel et donc destruction perpétuelle. Le cœur en bat le rythme, la respiration harmonise. Un cycle, un cercle, une spirale.

Cette source en nous qui sait, saura alors nous faire jaillir en de nouveaux printemps, à chaque fois plus riches, plus fertiles d’un humus qui nourrit nos racines. D’innombrables racines entremêlées, enlacées, qui font de chacun de nous un être à la fois unique et profondément relié aux autres.

 CG

 AU SOMMAIRE

 

 

Délit de poésie :

 

Luminitza C. Tigirlas, faiseuse de vagues

Lionel Mazari, des extraits de l'impossible séjour

Stéphane Casenobe

Sandra Lillo

Laurent Bouisset

 

Résonance :

 

Seul le bleu reste de Samaël Steiner, Citron gare éd. 2016

Le ciel déposé là, Jean Baptiste Pedini. Éd. L’Arrière-Pays 2016

Ça va aller, tu vas voir, Christos Ikonòmou, Quidam éd. 2016

 

 

 

Délits d’(in)citations épinglés au coin des pages.

Vous trouverez le bulletin de complicité dont le fantasme le moins secret est de se voir rempli, à la sortie.

doinadoina2000@yahoo.com

 

Artiste roumaine-francophone perchée sur une montagne à Quito qui préfère pas/pas/passionnément l’image à la parole et tout cela malgré des crises de bartlebysme. Entre « I would prefer not to », crayons, papiers, pvc ou métal et d’autres instruments pointus, le jeu reste l’éternel préféré. Curriculum vitae sérieux et œuvres sur : www.doinavieru.com

 

En évoquant le miel le plus secret de la poésie, nous touchons ici un domaine où il n'y a rien à comprendre rationnellement, mais tout à vivre intuitivement. Le sentiment de l'Absolu ne se définira jamais. Il est vécu ou il n'est pas vécu. Tout rationaliste ne verra là qu'illusion ou absurdité. Il n'est pire sourd, dit-on, que celui qui ne veut pas entendre. Mais la question est plus radicale : N'entend pas celui qui n'a pas le pouvoir d'entendre. Trop d'êtres humains sont hélas des huîtres scellées : jamais la lumière ne pénètre à l'intérieur.

Michel Camus

in Transpoétique. La main cachée entre poésie et science



Les délits buissonniers sont nés en juillet dernier,

une collection de tirés à part inaugurée par

 

Feu de tout bois

 

de Murièle Modély

 "ils lancent leurs yeux sur moi

comme une lame

 

je sens leur rayon laser

leur récit fulgurant

jaillir

 

sous le derme

 je sens remonter les picotements

l'emballement lyrique qui peine

 

à restituer d'un poème le scintillement

des étoiles du trou noir de leur cornée"

 

 

  52 pages agrafées

tirage limité et numéroté sur papier recyclé 

 

10 €

 

à commander à

Association Nouveaux Délits

Létou

46330 St Cirq-Lapopie




Nouveaux Délits - Octobre 2016 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits Coupable responsable : Cathy Garcia Illustratrice : Dona Vieru Correcteur : Élisée Bec  

 


 


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logoLa revue NOUVEAUX DÉLITS http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com
L’association NOUVEAUX DÉLITS
- http://associationeditionsnouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

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SOMMAIRE de  MON GRAND DADA 

Chers amis de Souffles et contributeurs,

Veuillez trouver ci-joint le sommaire du numéro de la revue Souffles "MON
GRAND DADA" ainsi que la table des illustrations pour les plasticiens qui
nous ont envoyé des iconographies de leurs œuvres

L'équipe de Souffles


 
SOUFFLES – n° 252-253 ( août 2016 )
 
SOMMAIRE
EDITORIOS
 
ChristopheCorp-HomoDADENS Editorial .....................19
Christophe Corp - Edito - Rail : K - O ........................23
KAO - TIK

Karl Bréheret - Nothing ........................................31
Hervé Le Roy- Le soubassement du monde .......... 34
Moëz Majed - Quairawan/Entropie/Nature morte/Lafayette/Cimetière 37
Anton Papleka - Cauchemar .................................... 39
Béatrice Pailler - Visions 1916 ..................................... 43
Jean Pachot Lagarrigue - Seize...................................... 47
Jean Tinnirello - « Sinon la mouette a donné signe de vie ? » .....48
Béatrice Pailler - Dada-démiurge ....................................... 49

UN COUP de D jamais n’abolira le LE HASARD

C ‘ T Fan Mâle Armé ( néo-dada ) - ................. 53
« Toute pensée émet un coup de D »

CACADADA, M e RdRE !
 
Rat Belet- L’invention du Torche - Q ( néo-dada ) ................ 63
Ivan de Monbrison - L’Ante-poème ...................................69
Jacques Cauda - L’homo caca ......................................... 71
 
UN PETIT BOUT DE BOIS DANS LES ONEILLES
suivi de
LA CRAVANTURE de MAINTENANT

 
Halles Frais DJ’ARRI - Les Z ‘ U bus ( néo-dada )............77
Christophe Corp - La Cravanture de Maintenant..................79

DADAFADA
CISEAUX - PHRÉNIE
 
Muesser Yeniay - Le couteau invisible .................................87
Gabriel Groyer - Charmes.............................................88
Torac Robichou - « A quel oiseau voudrais-tu bien me faire penser ? » ...89
Gabriel Groyer - Anachorète .....................................94
Gilles Venier - FADA - Origine et disposition de moi-même ............95
Léon Voiron - Le piège ..............................................100
Ridha Nasraoui - « Juste une faux...» ..................101
Claire Musiol - « J’ai fait comme il a dit... » .............105
 
EROSEX À DADA

Bruno Msika - La trace poivrée d’un avion étourdi ................109
Brigitte Broc - Femme .................................................................111
Claude Haza - « Le flux d’images stoppe la gorge... » ...........114
Marc-Henri Arfeux - Louve à la tour rose ...............115
Frédérik Gambin - Polyphonie à renverse ..........................117
John Bennett - Pal Oma ..........................120
Corinne Hoex - Baisers d’escargot ......................123
Evelyne Wilwerth - Un caillou dans le sexe de ma voiture .......125
Christine Archambault - Errances .....................................131
Christine Lamy - Recette du coeur - bouillon ...........................135
Philippe Monneveux - Sous les fougères bleues .........................136
Cécile Vibarel - Salomé .......................................................138
LES DADASOPHES

Philippe Tancelin - José Muchnik - O Manifesto - solo.....................141
Rémy Soual - CRiiiRE (Micro - Manifeste DADA) .........................145
Régine Nobécourt Seidel - C’est dada, ce sera dada ......................147
Michel Wichegrod -Un peu d’équitation ......................................153
Le dadasophe Raoul Hausmann
L’ ANTIPHILOSOPHE Monsieur Aa
 
Christophe Corp - Petit nécessaire à dada d’après l’antiphilosophe Monsieur
Aa alias Tristan Tzara ( Tirade des nez à nez )..............................165
 
DADA ANTIPOLIS

Karl Bréheret - «Mon monde soumis, dévoyé, livré pieds et poings liés » ...183
Jean-François Bory - Le royaume & l’horloge ........................184
Anton Papleka - Mutation de la démo K ratie albanaise ...........185
Jean Pachot Lagarrigue - Majesté ..................................186
Scato d’Urtic - Le Proctopykol de Popo ..............................187
Gabriel Groyer - Châteaux défaits ........................................190
Said Sayagh - Dada Hbibti ............................................191
 
NI DIEU NI MÈTRE

Francisco de Quevedo - Le licencié Chèvre (Traduction de C. Corp) ....199
Béatrice Pailler - Lunaison .......................................................203
Jean-Paul Gavard-Perret - Miss L .............................................205
Violaine de Nuchèze - La Sainte Truffe ...................207
Emeline de Ribemont - Maman, j’ai fait caca dans le Saint-Esprit ...............209
Gabriel Groyer - terre dolorosa .....................................215
Ruxandra Cesereanu - Démences ...................219
NI DEVE NI DADAM

Viviane Séroussi – Chocolat, vanille, fraise, pistache ............. 227
Christophe Corp – Froid en l’Homme ................................. 229
Langberto Tomi - Grand DADA est grand ...................................232
Elisabeth Morcellet - Son... à Lui / Son... à Elle (Petit Dada) ........................234
Moe Tility - La différence entre 1 frère ? .....................237
Elisabeth Morcellet - Dada chant du génie
Dada Genius song 1691 - 1916 - 2016 ....................238
 
DADAÏSTES RENCONTRES
 
Charlette Bianti - « Un ségraphiste dégarni... » ..............241
Rémy Boyer - « Toi, cyprès aigrefin... ».............................242
Khalid El Morabethi - Monsieur Noir...............................243
Nicole Drano Stamberg- Mademoiselle Dada ................246
Marilyse Leroux - Le peintre .....................................248
Pierre Lacote - Derrick ( In opinel danlaplaie ) .................249
Sylviane Blineau - La symétrique ..................................251
L’autre et Amont - «Je suis sale...» ( néo-dada ).........252
Jean-Louis Layrac - Attention à la chute !...............................254
David Sayagh - « Parce qu’elle ne connaît pas son itinéraire » ......261
 
COSMODADA

Pierre Montmory - Nouvelles anciennes du Mondistan...........265
Jean-Louis Reynier - Bétail saigne ..................................271
Bernard Long - Légende des peuples bombardés ....................272
Clâra - Vanig vanig égloutt doulcim ..................................277
José Muchnik - SEFIKILL / PANKRRAK
KRONOKRATE / ZUYOBA.............................281
Bruno Msika - Au grand piano d’Apocalypse ................289
Léccie Glade 35 Marcal Marabout L.N. et Richelieu - Exquis cadavres.......296

Peau d’BALL

Hugo Ball - Manifeste Dada (14 juillet 1916)......................................299
D’ABCédaire en ABCédille
Chantal Danjou - « Poupée... » .......................................................307
Pierre Kobel - Mots d’usage ou petit lexique pour les enfants ........308
Marie-Hélène Lopez Reparaz - Quand C l’avenir? ...........................310
Jean de Breyne - Abcdefgh ...................................................................... 311
Khalid El Morabethi - C cédille ................................................................313
Jacqueline Clement - On ne touchera pas au zizi du P’tit chéri ! ...............315
Marcus Nabielek - Moquerie avec modération .......................................318

Maux dits les mots !
SALADONOMATOPÉ

 
Jeanine Teisson - Qui va payer les poètes cassés ? / Le chevalier à la belle
plume/ Typographie ........................................................................................ 321
Mélita Toka-Karachaliou - Point d’interrogation (Qualligramme)....................... 324
Elisabeth Morcellet - KAWA RA NE et KAWA NOIR ................................ 326
Gabriel Groyer - « Nous tueraient les mots...» ........................................ 329
Sarah Butard - « Au coeur de la cité... » ................................................. 330
Gilles Lades - « Le poème est là, veut être courtes phrases... » .......... 331
Albertine Benedetto - Linfofloue ..................................................... 332
Nicolaï Drassof - Le Doum .................................................... 334
Marie-José Bernard - Cramou ........................................................... 335
Robin Devaux - Poèmes oisillons ............................................. 336
Tom Buron - Saturnienne Jazz-Punk Prière L’affaire est dans le SAX ....... 341
Georges Drano - Anémoglyphes ......................................................... 344
Christophe Corp - Poème en ETTE: « Il y a .../ Mais aussi ...» ............. 346
Jeanine Teisson - Nettoyage ......................................................... 352
 
L’urine noire de MARCEL DUCHAMP

Christophe Corp - La suite urinaire de la gare Saint-Paul .................. 355
Marc-Henri Arfeux - Un urinoir mélancolique ................................. 357
Claire Musiol - Urinoir 2016 .................................................. 358
Guillemette de Grissac - La vraie Rose (Histoire DADA) .............. 359

Bazar à DADA

Julien Blaine - 2016 est l’année du singe ................................... 367
Khalid El Morabethi - La chaise d’en face .................... 370
Pietr Naj - Ô Sole’X mio ! ........................................................ 373
Marilyse Leroux - Poème nouille ................................................ 375
Cédric Lerible - « Il suffit de quelques gestes simples »...................... 376
 
P.A-B. ( Sic )
DADA avant que DADA

Pierre Albert - Birot - éditions Rougerie
Poèmes - pancartes ...........................................................378
« J’ai souvent un petit désir...» ..........................................379
Poème à crier et à danser......................................................379
« Je ne veux pas une ligne noire autour de mon chant...»..........380
Poème - affiche ...............................................................381
La Kouan’inn bleue .............................................382
Encre typographique à consistance pâteuse ...........................383
( texte d’Arlette Albert-Birot )
L’E s’est perdu dans l’ O ( Poème verticalement horizontal )..........385
 
Au grand galop de mon DADA

Daniel-Claude Collin - Mon grand DADA ................................389
Elisabeth Morcellet - Champ de pagaille / Deux mille seize ...........390
Jean Pachot Lagarrigue - Cré nom de non ! ...........................393
Jacques Giner - Dada, dada, niet niet .................................394
Viviane Ciampi - Mon DADA vous salue ( On l’oblige ) ...........395
Gilles Bingisser - Rêves de cowboy ....................................397

MOUTONNERIES et COCHONNAILLES

Ramón Gómez de la Serna
- Humour + métaphore = don Ramón par Christophe Corp.............407
- Moutonneries / Greguerías .............................................409
Paul Badin - Cochonnailles ............................................413
 
DADA jamais n’abolira TZARA
 
Ève de Laudec - Tzazaza ô râ ô râ .........................417
Christian Cavaillé - Addictàdada .................................418
Pierre Lacote - Comment faire un poème dadaïste après Tzara .......421
Marco Ercolani - Le nom Da-Da .....................................422
Julius Nicoladec - ДА, ДА ! ........................................425
Jean-Louis Clarac - Hécatombe carnavalesque au Cabaret Voltaire ......427
Laurent Grison - « Hurler en allemand puis en français...».....................432
 
DADA est mort, VIVA DADA !
Ainsi la poésie va...
 
Bernard Jakobiak - Voltigez cannibales rires ! (Dada, 100 ans déjà) ......... 435
Jean Pachot Lagarrigue - Pégase aléatoire / Rêver .................... 439
Thésée - A la poésie ................................................................ 442
Marius Magne - Parfum profond .............................................. 444
Constantin Kaïteris - Portrait du poète en kaléidoscope ................. 445
Ridha Nasraoui - Le pré en bulles .................................... 453
 
FENÊTRE SUR DADART
 
Jean-Luc Parant - Le palais Dada du Ferdinand Cheval
Entretien avec Christophe Corp ...................................... 457
Habiter un palais ............................................................ 471
Christophe Corp - Le mausolée du dada-samouraï Pierre Pinoncelli..... 475
Pierre Pinoncelli - Corps à corps avec l’âme
Livre d’artiste aux éditions Atelier Marie-Sol Parant .............. 490
 
POESIE DANS LA CIUDADA

Christophe Corp - Eric Poulain : Dada in Montpellier ................ 495
Christophe Corp - Ogre de tout pour un point d’or
à Jacques Shoenbeck .............................................. 499
FLEURS DE DADA
Pierre Aronnax - René Crevel : un enfant naturel
de Monsieur Perrichon ............................................... 505
Christophe Corp - Le grand mamamouchi DaDa Joseph Delteil......511
Camus / Delteil - aux éditions Domens ................... 521
 
Z’INFOS
 
à prendre au sérieux
 
Prochain numéro thématique (décembre 2016)
NOURITURRE & GOURMANDISE ............................... 525
Consignes d’envoi des textes .....................................528
Grand Prix de Poésie Joseph DELTEIL jusqu’au 31 décembre 2016......529
Règlement du Prix ............................................................530
Bulletin d’adhésion / Abonnement / Vente au numéro ........... 531
 
TABLE DES ILLUSTRATIONS
 
Pierre Pinoncelli – Urinoirs (intérieur et première de couverture)
tableaux en hommage à Marcel Duchamp
Pierre Pinoncelli – Urinoir (quatrième couverture)
sculpture en hommage à Marcel Duchamp (MAMAC Nice)
Max Ernst – Mardi, la lune s’endimanche ............................................15
Max Ernst – Le Roi joue avec la reine (sculpture)............................... 16
Christophe Corp – Monsieur noir ..................................................... 22
Gustavo Vega – Caos ........................................................ 28
Picabia – Le double monde ..................................................... 30
Otto Dix – Assaut sous les gaz (1924) ................................ 44
Otto Dix – Crâne (1924) .............................................. 46
Georges Braque – Oiseaux ............................................................... 48
Jean Arp – Carrés disposés selon les lois du hasard (1916) ....... 52
Raoul Hausmann – Section de merde ................................ 62
( Carte postale à Theo Van Doesburg / Carte postale à Christian Tzara )
Alfred Jarry - Ubu (dessins)............................................................... 74
Joan Miró - La bague d’aurore (1957) livre d’artiste avec René Crevel ........ 76
Portrait d’Arthur Cravan .......................................................................79
Armoiries de la ville de Cravans .................................................................80
Affiche de la rencontre de boxe entre Jack Johnson et Arthur Cravan
( Plaza de toros La Monumental - Barcelone - 23 avril 1916 ) ...........81
Portrait d’Arthur Cravan .......................................................................82
Portrait d’Arthur Cravan .....................................................84
Marcel Duchamp - Rrose Sélavy et moi estimons les ecchymoses
des Esquimaux aux mots exquis .................................86
Jean Arp – Dessin ...........................................................93
Logotype du Club Dada de Berlin ...............................106
Alain Assémat - On vous observe .............................................108
Joaquín Torres García - Soleils ...........................................................110
Marc-Henri Arfeux - Carreaux de couleur de la tour rose......................115
Marc-Henri Arfeux - Carreaux de couleur de la tour rose.............116
Béatrice Wood - Un peu d’eau dans du savon (1917) .................121
Ribemont Dessaignes - Beaux yeux sans arrière-pensée .....................122
Jean-Jacques Ichard - Paon..........................................124
Max Ernst - La puberté proche .......................................130
Affiche de la soirée dadaïste «Le coeur à barbe»( juillet 1923 ) ..............134
Affiche de l’exposition de Suzanne Duchamp et Jean Crotti ( OEil Tabu ) ...137
Raoul Hausmann – Tête mécanique ou L’esprit de notre temps (1919).......140
Marcel Janco - Masque..........................................................................152
Johannes Theodor Gruenwald - Scarabées ..................................162
Signature et portrait de Tristan Tzara «DaDa 3» ....................................164
Christophe Corp – Barbarino ....................................................................175
Gustavo Vega – Le bisAïeul de 1919 ...................................................177
Gustavo Vega – De tempore.........................................................................177
Francisco Caldéron – Sable ...........................................................179
Francis Picabia - Le fiancé .................................................................180
Jean Arp - dessin pour la couverture de Der Zeltweg.....................182
Saïd Sayagh – Calligraphie ........................................................191
Saïd Sayagh – Calligraphie .......................................193
Saïd Sayagh – Tatouage bédouin .............................................194
Saïd Sayagh – Calligraphie ...................................................196
Daphné Bitchatch - C’est un océan..............................................198
Diego Velázquez – dessin des «quevedos» (binocles)
pour le portrait Francisco de Quevedo ..................................199
Francisco de Goya - Sorcières ( Linda maestra ! / Jolie maîtresse !)...........202
Joaquín Torres García - Christ .............................................................208
Pierre Pinoncelli - Le divin enfant..................................................................218
Jean Arp - dessin ...........................................................................224
Marc-Henri Arfeux - Enfant ................................................................226
Christophe Corp – Thénardiers .................................233
Christophe Corp – Enfance......................................................236
Gustavo Vega – Elle, Dieu inaccessible ....................................................240
Pascal Nyiri-Brevard - Dada de coeur .....................................................250
Man Ray - Marcel Duchamp derrière la glissière .............................253
Saïd Sayagh – Maison (idéogramme)..............................................262
Jean Arp - dessin......................................................................264
Francis Picabia - Machines tournez vite ...................................278
Peter Tjebbes - Idéogramme ............................................................281
Peter Tjebbes - Idéogramme ......................................................283
Peter Tjebbes - Idéogramme ....................................................285
Peter Tjebbes - Idéogramme ..................................................288
Joan Miró - Ubu Roi..........................................304
DaDa au grand air - Der Sängerkrieg in Tirol - DaDa n° 8 (1921) .....306
Henri Yéru - dessin..........................................................307
Gustavo Vega - Kurt Schwitters....................................320
Hugo Ball - Karawane (1917) ........................................326
Philippe Jaminet - Anémographies .....................................344
Philippe Jaminet - Anémographies ..............................................345
Francisco Caldéron – La victoire de Vachosthrace .................348
Pierre Pinoncelli – Shoes or not shoes ?.........................................354
Marc-Henri Arfeux - Matou, incidemment .............................................357
Guillemette de Grissac- Rrose Sélavy ..........................................363
Tristan Tzara - Collage.....................................................................364
Julien Blaine - Autoportrait Médrano................................................366
Julien Blaine - Angoisse........................................................367
Julien Blaine - Portrait du singe démasqué .............................368
Julien Blaine - Autoportrait..........................................................369
Christophe Corp - Bleu-sphère...............................................382
Christophe Corp - Enveloppe au petit dada .......................................386
Pierre Pinoncelli – Hommage à Salvador Dalí ................................388
Couverture de la revue dadaïste new-yorkaise The Blind Man ...........395
Jean-Pierre Petit – L’homme au grand coeur déchiré (détail) ............401
Jean-Pierre Petit – L’homme au grand coeur déchiré...................404
Christophe Corp - Petite ménagerie mentale à l’encre rouge...............406
Saïd Sayagh – «Va !» ou «Va vers toi ! » (calligraphie) .................416
Christophe Corp - Le grand chien en pleurs et le petit singe rouge.......420
Marcel Duchamp - Élevage de la poussière ........................434
Anne-Marie Jeanjean - DADAAAHHH ! .................................443
Pierre Pinoncelli – Marcel Duchamp est un con................454
Francisco Caldéron – Palais idéal I.....................................456
Francisco Caldéron – Palais idéal II et III ....................................469
Francisco Caldéron – Palais idéal IV ...............................470
Jean-Luc Parant– Petits chevaux à roulettes pour Ferdinand ...................472
Serge Tardy – Mygale des anciens combattants (Pierre Pinoncelli)..........474
Le cancer de la face (Pierre Pinoncelli) ................................474
Pierre Pinoncelli – Dis maman, y´a la mer à Auschwitz?............482
Pierre Pinoncelli – Un doigt pour Ingrid ..............................482
Muriel Anssens – Attentat contre Malraux - Nice 04.02.1969 ............482
Pierre Pinoncelli – Personnages............................................485
Pierre Pinoncelli – Bonjour Monsieur Courbet !
ou la véritable «Origine du monde»....................................487
Pierre Pinoncelli – Liberté / Je pense donc je chie............................487
Pierre Pinoncelli – Hommage à Marcel Duchamp.................................488
Francisco Caldéron – 2 Portraits DADA de Pierre Pinoncelli ...........489
Francisco Caldéron – La naissance de DADA selon Pinoncelli (atelier) .....489
Marie-Sol Parant – Corps à corps avec l’âme (Livre d’artiste) ...............490
Pierre Pinoncelli – WANTED....................................................492
Francisco Caldéron– Le cosmonaute, le père et le serpent-pelle
d’Éric Poulain.....................................................................494
Francisco Caldéron– Le serpent-pelle d’Éric Poulain..........................497
Saïd Sayagh – Hallahlà pas là (Idéogramme de lèse-majesté ).............498
Christophe Corp - Gentil monstre à l’oeil cacodylate.......................................502
Thierry Lambert - L’homme oiseau (poème de Marc-Henri Arfeux)..........504
Joan Miró - A toute épreuve (1958) livre d’artiste avec Paul Éluard..............510
Christophe Corp - Deux mamamoustiques....................................511
Francisco Caldéron – Apollon et son bonnet d’Âne ..............519
Dadanonyme - Alerte disparition........................................................520
Francisco Caldéron – Portrait à l’os à moelle ................................522
Toutes les réalisations typographiques sont l’oeuvre de Christophe Corp, assisté
techniquement par Francisco Caldéron et Eric Laffitte (AGL).
 
Si vous n’êtes pas adhérent ou abonné et que vous souhaitez recevoir ce numéro, vous pouvez dès à présent le commander en envoyant un chèque de 20 € (+5€ de frais de port) à l’adresse suivante :
REVUE SOUFFLES
113, avenue Vauban N°45

34110 FRONTIGNAN

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Parutions récentes :

Aux éditions L'Une & L'Autre


Rémy Durand,  La vertu des ombres, L’Une & l’autre édition 2015 - ISBN : 978-2-35729-5

Commandes sur le site internet sens-tonka http://www.sens-tonka.net/vertu-ombres ou chez l’auteur contact@remydurand.com, / 14,50 € port inclus

« Une anthologie, du Venezuela à l’Équateur, des champs de bataille de la Grande Guerre au Chili, de l’Irlande aux Cercles de la mort et de la vie, de l’enfance à nos jours… 

Una antología, de Venezuela a Ecuador, de la primera guerra mundial a Chile, de Irlanda a los Círculos de muerte y de vida, desde la infancia hasta hoy…”

 

Chez Michel Cosem  éditions Encres Vives :

 

 

 

 

Traduit de l’espagnol (Uruguay) par Rémy Durand

Éditions Encres Vives, Collection Encres Blanches n° 672 – août 2016

Commandes : Michel Cosem, 2 Allée des Allobroges – 32770 Colomiers - 6,10 €

 

Rafael Courtoisie.


Montevideo. Poète, romancier et essayiste.

Il est l’un des écrivains latino-américains les plus importants de sa génération. Universitaire et conférencier émérites, il est Membre actif de l’Académie nationale des Lettres de l’Uruguay et Membre correspondant de l’Académie royale d’Espagne.

Écrivain uruguayen de grands-parents français, il est le digne héritier de poètes de France tels Lautréamont, Jules Laforgue et Jules Supervielle, tous nés à Montevideo, dans ce pays situé sur le Río de la Plata, en Amérique du Sud. Aventurier, il a vécu dans la forêt amazonienne avec des communautés indiennes, au Mexique, dans le désert du Néguev et aux Etats-Unis ; il a toujours associé son travail avec sa passion pour les sports extrêmes – comme l’attestent ses nombreuses cicatrices – et l’amour de sa vie : la poésie, pour laquelle il ne cache pas sa passion charnelle et spirituelle.

Il a reçu de nombreux Prix, parmi lesquels le Prix international de poésie José Lezama Lima (Cuba, 2013), le Prix national de Littérature (2013), le Prix International Casa de América (Madrid, 2014).

 

VIENT DE PARAÎTRE

 

Aux éditions associatives Villa-Cisneros


Bernard VanmalleLes Instants originels 2016  - ISBN : 978-2-919209-12-5 / 12 € port inclus
Lecture de Colette Gibelin
Mauvaise langue (autant en emporte le slam 2016) - ISBN 978-919209-11-8 / 12 € port inclus

Article d’Armelle Aubry
Lettre d’intention pour la candidature de l’association Gangotena au Grand Prix des associations littéraires 2016

 

Commandes à Association Gangotena contact@remydurand.com

 

Ø  Prochaines lectures des Mercredis du Carré :

Magda Ygyarto et Eva-Maria Berg (mercredi 21 septembre), Colette Gibelin et  Mû (mercredi 19 octobre)

 

Informations solidaires :

Frank Lovisolo-Guillard
Artiste multimédia : Compositeur, Auteur, vidéaste, photographe & Ingénieur du son.
http://frank-lovisolo.fr/

Agnès Roubieu : Vitrail, gravure et perles au chalumeau
www.a-fmr.com

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"Vous prendrez bien un poème ?"
 Courrier des lecteurs. Numéro spécial 60.
Voir doc

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Les éditions Traversées
consultez les nouvelles parutions
et le site de la revue en cliquant sur :
https://traversees.wordpress.com/2016/07/28/les-editions-traversees/

 

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La revue Nouveaux Délits lance

Délits buissonniers

une collection de tirés à part pour des auteurs choisis

ayant déjà été publiés dans la revue

et c'est avec une grande joie qu'elle annonce la parution au 1er juillet de

 

 

52 pages

 

tirage limité et numéroté

sur papier recyclé  

offset 90 gr

couverture calcaire 250 gr

 

illustrations originales en nb de Sophie Vissière

http://www.sophievissiere.com/

 

texte de Murièle Modély

http://l-oeil-bande.blogspot.fr/

 

 

"ils lancent leurs yeux sur moi

comme une lame

 

je sens leur rayon laser

leur récit fulgurant

jaillir

 

sous le derme

 

je sens remonter les picotements

l'emballement lyrique qui peine

 

à restituer d'un poème le scintillement

des étoiles du trou noir de leur cornée"

 

 

 

10 € 

port offert

 

à commander à

Association Nouveaux délits

Létou

46330 St Cirq-Lapopie

 

 http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

 

ps : il y eut un précédent, qui ne fut tiré qu'à titre privé, en décembre 2006, 

un recueil de 15 pages : Trouble en moyenne parole 

qui portera désormais le numéro 0 de cette collection, 

en hommage à son auteur, Pierre Colin.

 

 

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   Voir  le bon de commande pour le dernier recueil de Béatrice Marchal "Résolution des rêves".


   Voir  la revue "En attendant Nadeau", numéro 6

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é d i t i o n s  i s a b e l l e  s a u v a g e 
PARUTION  JUIN  2016 
Basse langue
Christiane Veschambre
Christiane Veschambre, née en 1946, a cofondé et dirigé deux revues, Land 
et Petite. Elle a publié une quinzaine d’ouvrages, dont Le Lais de la traverse 
(éditions des Femmes, 1979), Passagères (Ubacs, 1986, rééd. Le Préau des 
collines, 2010), La Griffe et les Rubans,  La Maison de terre (Préau des collines, 
2002 et 2006), Les Mots pauvres et Robert & Joséphine (Cheyne éditeur, 1996 
et 2008). Les éditions Isabelle Sauvage ont publié en 2014 Versailles Chantiers, avec des photo- 
graphies de Juliette Agnel (prix Foulon-de-Vaulx de l’Académie des Lettres de 
Versailles 2015, sélecion 2016 pour le prix des Découvreurs). 


Les livres nous arrivent dans la force du surgissement, nous 
rendant étrangers au familier – aussi bien en tant que lecteur 
qu’en tant qu’écrivain, et Christiane Veschambre parle là 
de ce double point de vue. Ce sont eux qui lui ont permis d’être à l’écoute de la 
«voix privée de langue, une voix de grand-mère débile» dont elle est la «petite-fille 
lettrée», à laquelle elle a tenté de donner ses «propres mots». C’est de cheminer avec eux, 
en eux, qu’elle cherche la langue «qui étrange, qui étrangle», la basse langue. Et c’est sur 
ce chemin qu’elle nous entraîne à ses côtés, revenant sur quatre expériences de lecture, 
quatre rencontres, avec les œuvres d’Erri De Luca, Robert Walser, Emily Dickinson, 
Gilles Deleuze, et, en guise d’épilogue, avec Mrs Muir, le personnage du film de Mankiewicz. 
Mais Christiane Veschambre nous fait emprunter en parallèle, tout au long de 
Basse langue, ce qu’elle appelle ses «traverses», plus intimes, qui creusent, fouillent 
dans «l’imprononçable qui demande à être articulé», dans la langue «grondante, 
souterraine». Autant de petites proses qui semblent cristalliser sa vie de femme, 
de femme écrivain, toujours veillant cependant à se détacher du personnel pour donner 
forme au singulier, pour rejoindre l’étrangère qui est en elle. 

COLLECTION«SINGULIERSPLURIEL», 142 PAGES, 14X20CM–ISBN: 978-2-917751-68-8 – 18euros 
Commande auprès des éditions, chèque à l’ordre des éditions du montant du ou des exemplaires souhaités 
+ 2euros de frais de port forfaitaires. Ou bien sûr auprès de votre libraire préféré… 
Coat Malguen - 29410 Plounéour-Ménez - Tél.: 02 98 78 09 61 - editions.isabelle.sauvage@orange.fr 
https://editionsisabellesauvage.wordpress.com 
éditions]isabelle sauvage

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--

  
Avant-programme septembre 2016
 
 
Le Passeur Éditeur - Avant programme 2016-09 HD.pdf


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Patrice Maltaverne nous communique :

 

L'association "Le Citron gare" vous annonce la publication de son 9e recueil :  "Seul le bleu reste" de Samaël Steiner, avec des estampes de Judith Bordas (voir doc).

 

Si vous souhaitez vous procurer ce livre, vous pouvez faire un tour sur le blog http://lecitrongareeditions.blogspot.fr et m'écrire. 

 

Les recueils de Laurent Bouisset, Murielle Compère-Demarcy, Pierre Bastide, Fabrice Farre, Marlène Tissot et Thibault Marthouret sont encore disponibles.

 

De plus, vous trouverez ci-joint, pour partage et votre information, des extraits du numéro 67 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange,

avec des textes de Basile Rouchin, Alain Minighetti, Fabrice Marzuolo, Pierre Vella, Michel Talon, Jean Pézennec, et de votre serviteur !

 

- en version PDF : https://share.orange.fr/?_=QYC#dvsHAH0Vot10710b78be

 

- en version doc : https://share.orange.fr/?_=Qps#YVFfi0dWFQ10710b78b0

 

Amicalement

Patrice et l'association Le Citron Gare

http://traction-brabant.blogspot.fr/

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/ 

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

 

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Voir la Lettre d’information n° 33 de revue-Texture
avec portraits d’écrivains, critiques, interviewes etc

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La collection PO&PSY, qui a publié en 2014 
l'œuvre poétique complète d'Abbas Kiarostami, 
sous le titre : Des milliers d'arbres solitaires, 
vous invite à prendre connaissance sur son blog :
 http://www.poetpsy.wordpress.com  
de quelques souvenirs des moments partagés avec lui.
Association PO&PSY

95A rue du Castelas, 30260 LIOUC

06 72 67 41 98

poetpsy@orange.fr

http://www.poetpsy.wordpress.com

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La dernière publication de Patrick DUBOST 


Sortie le 23 juillet à Sète au Festival Voix Vives en présence de Patrick Dubost

Pour renseignements et / ou souscription :
http://laboucherielitteraire.eklablog.fr/souscrivez-au-prochain-titre-a-paraitre-de-patrick-dubost-a126272666

 

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Notre confrère Maxime VIVAS de Radio Moun Pais, nous communique :

"Mon éditeur s’est demandé si le chapitre de mon manuscrit consacré à France Télécom (voir doc)  n’allait pas nous valoir  un procès .
Il m’a fallu argumenter et me porter garant de mes informations et accusations.
En fait, c’est un procès contre les dirigeants de France Télécom qui est d’actualité : le parquet veut les traduire en correctionnelle pour “harcèlement moral”."

http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/07/07/suicides-le-parquet-demande-le-renvoi-de-la-direction-de-france-telecom-pour-harcelement-moral_4965171_3224.html

Maxime VIVAS nous communique :
J’ai le plaisir de vous annoncer la sortie de mon livre
“LES DECHIRURES”
, préfacé par le politologue
Paul Ariès et postfacé par Viktor Dedaj, webmaster du site Le Grand Soir.

PS. On peut recevoir le livre par la poste en le commandant à l’éditeur  http://golias-editions.fr/ ou à la librairie de la Renaissance à Toulouse (librairie indépendante qui paie ses impôts en France, à la différence d’Amazon) :  http://www.librairie-renaissance.fr/contact.php

 

Présentation par l’éditeur :

«  Les déchirures »

 

Sous ce titre, Maxime Vivas nous propose un texte ramassé (72 pages) augmenté par une préface de Paul Ariès et une postface de Viktor Dedaj.

Pour nous parler des affaires publiques, de répression et d’impunité, de management, de violences et de suicides, l’auteur (éclectique) convoque Jean-Michel Aphatie, Patrick Balkany, Jean-Michel Baylet, Maïté Biraben, les Bonnets rouges, Xavier Broseta (DRH d’air France), Warren Buffet, Jérôme Cahuzac, Charlie Hebdo, Jean-François Copé, Myram El Khomry, Stéphane le Foll, Jean-Paul Galibert, Pierre Gattaz, Bernard Gensane, Claude Guéant, Dom Helder Camara, François Hollande, Michel Husson, Jean Jaurès, Alexandre de Juniac, Etienne de La Boétie, Pierre Laurent, Jean-Yves Le Drian, Le Grand Soir, les Le Pen, Didier Lombard (France Télécom), Emmanuel Macron, Philippe Martinez, Karl Marx, Xavier Mathieu, Jean-Luc Mélenchon, Stéphane Paoli, Plantu, Didier Porte, Agnès Saal, Nicolas Sarkozy, Thomas Thévenoud, Manuel Valls, Thierry Wolton, Zebda...

On compte dans notre pays, trois fois plus de morts par suicides que par accidents de la circulation. On enregistre un suicide d’agriculteur tous les deux jours. Les accidents du travail tuent plus de deux salariés par jour ouvré. Des docteurs Diafoirus prétendent avoir inventé la pipette pour instiller le poison du stress à doses milligrammées. Des cadres sont formés à harceler, brimer, mettre le salarié en situation fautive. Un Français travaille aujourd’hui plus de 6 semaines pour les actionnaires, contre 2 semaines il y a 30 ans.

Quand les salariés d’Air France apprennent que 2 900 emplois seront supprimés, beaucoup ont déjà vu la vidéo d’un colloque où leur Président, Alexandre de Juniac, fait réfléchir des patrons sur l’âge souhaitable pour entrer à l’usine (8, 12, 16 ans ?) et où il provoque leur hilarité (celle de Pierre Gattaz en tête) en révélant qu’au Qatar, les pilotes grévistes seraient en prison.

L’auteur montre qu’il est malvenu de qualifier les salariés d’Air France de « voyous » (Valls) ou de « crétins » (Macron) : « Inutile de réinventer l’affiche de l’homme au couteau entre les dents. Inutile, comme l’a fait Plantu dans un dessin (Le Monde, 6 octobre 2015), de fustiger l’indifférence d’un pilote (alcoolique) devant un DRH en guenilles, sanglant et amputé, pendu à la queue d’un avion. S’il faut faire de l’humour, on préfèrera celui de Didier Porte : « Avis à tous les DRH de France : Désormais, à chaque nouvelle annonce de plan social, une bite au cirage ! ».

La relative rudesse des travailleurs est coincée entre la violence de l’entreprise qui les pressure et celle des médias et de la Justice qui, solidaires des décideurs, condamnent les répliques hétérodoxes des salariés. Il y a, en effet, trois violences successives (celle des travailleurs est chronologiquement la deuxième) ainsi que l’expliquent deux grandes consciences universelles citées dans le livre.

L’économie de marché est cruelle pour les salariés de Goodyear, Air France, France Télécom, Continental, pour les paysans... Les pouvoirs publics sont souvent des instruments de perpétuation des injustices. Dès lors, il arrive que les gens de peu, les pue-la-sueur, les sans-dents, les obscurs, les sans-grades et même des cadres se rebiffent, ce qui déclenche en retour un concert de protestations effarées de la classe politico-médiatique qui ressent toujours des indignations à géométrie variable.

Lisons (extraits) :

« Le DRH d’Air France grièvement blessé à son amour-propre

Le DRH, Xavier Broseta a-t-il été frappé ? Non. Présenta-t-il des ecchymoses ? Non. Un œil au beurre noir ? Non. Une égratignure à faire soigner au mercurochrome ? Pas davantage. Un quelconque traumatisme physique nécessitant un séjour d’une heure à l’hôpital ? Que nenni ! [Tout juste] une blessure à l’amour-propre qui lui vaudra sept jours d’interruption de travail temporaire (excellent pour appuyer une plainte). Sauf que nul ne l’a vu blessé quand il escaladait gaillardement la grille, ni quand il marchait derrière elle avec son acolyte, Pierre Plissonnier, responsable de l’activité long courrier à Air France, ni le lendemain quand, guéri des blessures qu’il n’avait pas reçues, il assista au laïus courroucé de Manuel Valls devant les médias.

Oui, il est physiquement intact quand il franchit la grille pour se soustraire à la bousculade pendant laquelle il a été protégé par des vigiles et des syndicalistes. Lui que les représentants des salariés ont connu plein de suffisance quand il se trouvait en position de force devant des interlocuteurs qui essayaient de sauver leurs emplois, lui, dans son costume sombre, a connu la violence qu’il s’est infligée à lui-même, celle de l’humiliation, l’humiliation de fuir, de ne pas oser faire face, la honte de s’exposer aux photographies et vidéos qui feront le tour de la planète. Il n’a pas couru pour se soustraire aux coups, il n’y en a pas eu et personne ne criait « A mort ! », mais « Démission ! […] La foule n’était pas armée, pas même d’un bâton. Pas un pavé n’a été lancé contre le DRH, pas même un gravillon, ni une tomate trop mûre ou un œuf pourri ».

Valls : « Je suis venu ici à Air France parce qu’Air France est sous le choc et quand Air France est sous le choc, c’est toute la France qui est sous le choc... ».

En vérité, l’élite s’émeut et s’effraie ; le peuple de France se rit

« En dehors des cercles gouvernementaux, des beaux quartiers, des sièges des médias, du MEDEF, du PS, la France rigole. Dans les manifestations, elle brandit des chemises déchirées en guise de pancartes, elle chante « Sans chemise, sans pantalon » de Rika Zaraï et « Tomber la chemise » de Zebda ».

Parce que le ridicule ne tue pas, le DRH d’Air France est sorti indemne de l’aventure. La seule incontestable victime est sa chemise. Elle a vécu. Elle ne jouera plus jamais son rôle. Ses gens de maison ne la reverront plus. Ils devront en faire leur deuil. Elle était la meilleure d’entre les chemises. Son cintre ne l’oubliera jamais. Elle laisse dans le placard à habits un vide éternel. De là où elle est, si elle nous regarde, qu’elle mesure notre chagrin. Qu’elle nous pardonne de ne lui avoir pas assez dit combien on l’aimait et de ne pas avoir su la protéger de la violence exercée par une horde chemisicide.

L’oraison faite, reprenons conscience, relativisons : le 5 octobre 2015, c’est bien une chemise qui a souffert de la colère du peuple. Une chemise, c’est tout. C’est peu.

Des salariés sont cueillis par la police chez eux au saut du lit parce qu’un DRH a été grièvement blessé à son amour-propre. La France échappe de peu à un deuil national pour une chemise déchirée. La classe politico-médiatique impose l’Omerta sur des centaines d’autres chemises, rouges du sang des ouvriers. Goodyear signe des licenciements économiques et criminalise l’action syndicale tandis que les médias enfument les citoyens (deux exemples édifiants en sont donnés où deux journalistes connus avancent deux informations aussi précises que fausses pour réprouver les luttes ).

 

Et Maxime Vivas conclut en posant ces questions : « Faut-il déchirer les chemises des DRH ? Que choisir : chemise ou chômage ? Tissu ou linceul ? ».

 

******Haut de Page****** 

à paraître aux 

ÉDITIONS DE LA TABLE RONDE

26, rue de Condé - 75006 Paris

Tél: 01 40 46 70 73

voir doc

http://www.editionslatableronde.fr/

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https://editionsisabellesauvage.wordpress.com/•-basse-langue

(à propos de Basse langue:

"Je commence Basse langue de Christiane Veschambre. Je vais vite comprendre qu’il s’agit d’un livre fort, qui touche des régions très profondes, en lien avec la lecture et l’écriture."
Florence Trocmé                             http://poezibao.typepad.com/flotoir/

http://lesdecouvreurs2.blogspot.fr/2016/06/basse-langue-de-christiane-veschambre.html#more
Et c’est la force ici de l’ouvrage de Christiane Veschambre que de manifester de l’intérieur, par son propre dispositif, que les seules oeuvres mais aussi les seules lectures qui comptent sont celles qui parviennent à faire un peu entendre, bien au-delà des mots, fendant toute l’épaisseur de croûte qui lui fait ordinairement barrière, cette basse langue qui forme l’horizon vrai, vivant et à jamais indéterminable, de notre condition… »
Georges Guillain                                            http://lesdecouvreurs2.blogspot.fr/2016/06/basse-langue-de-christiane-veschambre.html#more)

• Basse langue

Veschambre_Basse langueAuteure
Christiane Veschambre
Collection « singuliers pluriel »
142 pages, 14 x 20 cm / juin 2016
ISBN : 978-2-917751-68-8 / 18 euros

Présentation du livre
Les livres nous arrivent dans la force du surgissement, nous rendant étrangers au familier – aussi bien en tant que lecteur qu’en tant qu’écrivain, et Christiane Veschambre parle là de ce double point de vue. Ce sont eux qui lui ont permis d’être à l’écoute de la « voix privée de langue, une voix de grand-mère débile » dont elle est la « petite-fille lettrée », à laquelle elle a tenté de donner ses « propres mots ».
C’est de cheminer avec eux, en eux, qu’elle cherche la langue « qui étrange, qui étrangle », labasse langue.
Et c’est sur ce chemin qu’elle nous entraîne à ses côtés, revenant sur quatre lectures, quatre rencontres, avec les œuvres d’Erri De Luca, Robert Walser, Emily Dickinson, Gilles Deleuze, et, en guise d’épilogue, avec Mrs Muir, le personnage du film de Mankiewicz.
Mais Christiane Veschambre nous fait emprunter en parallèle, tout au long de Basse langue, ce qu’elle appelle ses « traverses », plus intimes, qui creusent, fouillent dans « l’imprononçable qui demande à être articulé », dans la langue « grondante, souterraine ». Autant de petites proses qui semblent cristalliser sa vie de femme, de femme écrivain, toujours veillant cependant à « détacher le personnel du singulier », pour rejoindre l’étrangère qui est en elle.

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Vient de paraître aux Editions Alcyone (Collection Surya)
A l’ORDRE DE L’OUBLI
DE JEAN-LOUIS BERNARD
Edition à tirage limité, entièrement numéroté
Recueil orné d’une encre de Silvaine Arabo
Publication sur beau papier de Création, blanc subtil 120 gr. ; couverture : papier de Création, blanc
subtil, 250 gr.

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 n°21 de la revue Spered Gouez / l'esprit sauvage 
 fondée en 1991 par Marie-Josée Christien. 
16 € à adresser à Marie-Josée Christien
7, allée Nathalie-Lemel  29000  Quimper

******Haut de Page****** 

Les Editions Sauvages publient :

Marie-Josée Christien

Un monde de pierres

(nouvelle édition augmentée)

******Haut de Page****** 

Vient de paraître

Marie-Josée Christien

Entre-temps

précédé de

Temps composés

Illustrations de Marc Bernol

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Les éditions éres collection Po&Psy
font paraître:

Humour rose,
de Malcolm de Chazal
avec des collages de Jean-Noël Bachès
voir doc

- Les poèmes d'amour de Marichiko,
de Kenneth Rexroth
traduit de l'anglais par Joël Cornuault – édition bilingue
avec des mangas de Hokusai
voir doc

- Comme la pluie qui tombe sur la terre rouge,
Poèmes tamouls de l'époque Sangam
traduit du tamoul par Geetha Ganapathy-Doré – édition bilingue
avec des photos de Danièle Faugeras
voir doc

 

******Haut de Page****** 


 

En mai, les poètes sont en éveil. Contre l'intégrisme et les extrémismes de tout poil, contre la méfiance de l'autre et la désespérance, pour le rêve en plein soleil et en pleine figure, lisez cette 67ème lettre d'information. Vous y découvrirez nos deux nouveaux recueils et tous nos rendez-vous du mois !

 
Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici.


 

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Alain Helissen nous communique :



Les éditions Corps Puce publient chaque année plusieurs ouvrages collectifs à partir  de thèmes donnés.

C'est ainsi que  "Voyage autour du monde (en 80 poèmes ?)"  convoque  une quarantaine de poètes  venus des quatre coins du monde. Citons, parmi eux, Chantal Couliou, Françoise Coulmin, Constantin Kaïteris, Jean-Pierre Parra, Jacqueline Held, Camille Aubaude, Claudine Bertrand, Patrick Joquel, Jean-Claude Touzeil, Anne-Lise Blanchard, Alain Helissen...

Voyage autour du monde (en 80 poèmes?) :  160 pages;  14,00 €

    VOIR COUVERTURE

Quelques exemplaires sont disponibles à mon adresse . Il faut rajouter les frais de port, soit  2,72 €  par volume.(chèque à mon ordre, à adresser à  (veuillez noter ma nouvelle adresse) : Alain Helissen, chez Françoise Bonnel 16 allée de la Champagne 72540 Loué.

Alain Helissen

http://alainhelissen.over-blog.com

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 Le NUMÉRO 54 est sorti le 1er avril ! 
Nouveaux Délits 
adore les poissons...
Voir bulletin de complicité


Avril-Mai-Juin 2016

 

 

Exister est un écartèlement permanent. Entre spleen et idéal pensait Baudelaire, mais savoir vivre c’est savoir accepter sans se résigner, savoir lâcher-prise sans lâcher la main de l’autre. Renoncer au bonheur mirage, ces innombrables projections du système sur l’écran de nos désirs jusqu’au viol même de notre intégrité. Achète, consomme, travaille encore pour acheter, consommer sans poser de question et tu seras heureux. Pas encore aujourd’hui, mais demain, oui c’est certain. C’est prouvé par la science. Demain sera le grand jour, demain tu seras riche, le héros de ta vie, admiré, adulé, envié, car tu le mérites. Avec ce qu’il faut de peur pour avoir besoin de se protéger derrière des remparts d’achats sécurisants.

 

Il y a les belles choses, les savoureuses et ce ne sont pas des choses, mais des êtres et des sentiments, des émotions, des sensations, des échanges, des partages, des solitudes aussi, pleines et débordantes de vie.

 

Il y a les peurs oui, innombrables, envahissantes, les mauvais pressentiments, les ennuis à répétition, les injustices, les coups du sort qui s’acharne et tout ce qu’il faudrait comprendre pour transformer, se transformer soi sans savoir s’il faut avancer ou reculer, s’il faut ci, s’il faut ça…. La mécanique enrayée du mental. L’envie de dormir.

 

L’argent reste le problème omniprésent, omnipotent, un piège infâme, le plus toxique des mirages, la plus cruelle des machettes. Cette peur de manquer, de chuter encore plus bas, cette tache sur soi qui s’agrandit et nous définit plus que n’importe quoi d’autre : pauvre. C’est immonde d’être défini par cette tache, tout le monde le sait, mais rien ne change, une seule chose compte : en avoir ou ne pas en avoir. Dans une société aussi férocement individualiste que la nôtre, ce qui fait lien c’est « en avoir », ce qui ouvre toutes les portes, aussi vaines soient-elles, c’est « en avoir beaucoup ».

 

Une seule planète, plusieurs mondes qui ne se côtoient pas. L’un d’eux est en train de dévorer tous les autres.

 

Cg, extrait de ©Ourse (bi)polaire

 

 

Je suis pauvre et nu, mais je suis le chef de la nation. Nous ne voulons pas de richesse mais nous tenons à instruire correctement nos enfants. Les richesses ne nous serviraient à rien. Nous ne pourrions pas les emporter avec nous dans l’autre monde. Nous ne voulons pas de richesses. Nous voulons la paix et l’amour.

Red Cloud Chef Sioux Oglala

 

 

 

AU SOMMAIRE

  

Délit de poésie : Céline Escouteloup, Christophe Réal, Marine Gross, Vincent, Heptanes Fraxion

 

Délit de phénomène au logis : quinze extraits de Vingt d’Hervé Jamin

 

Résonance : Bienvenue à Calais – Les raisons de la colère, textes de Marie-Françoise Colombani, dessins de Damien Roudeau – Actes Sud, février 2016

 

 

Comme toujours, les coins de pages se noircissent aux Délits d’(in)citations. 

Et comme toujours vous trouverez le bulletin de complicité qui fait le malin à la sortie.

 

 

Illustrateur : Henri Cachau

 nu (J).jpg

henricachau@free.fr

 

Villeneuve-sur-Lot 1945, vit et travaille à Rambouillet. Peintre, sculpteur, nouvelliste et poète, a participé à diverses expositions, nationales et internationales ; publie dans de nombreuses revues, papier et 'net' ; organise des expositions, des ateliers ainsi que des soirées poétiques ; en 2003 a publié un recueil de nouvelles intitulé : Le quotidien des choses... Pour plus d'informations voir site : www.henri-cachau.fr

 

 

La femme cependant, de sa bouche de fraise,

En se tordant ainsi qu'un serpent sur la braise,

Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc,

Laissait couler ces mots tout imprégnés de musc:

-" Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science

De perdre au fond d'un lit l'antique conscience.

Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants,

Et fais rire les vieux du rire des enfants.

Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles,

La lune, le soleil, le ciel et les étoiles !

Je suis, mon cher savant, si docte aux voluptés,

Lorsque j'étouffe un homme en mes bras redoutés,

Ou lorsque j'abandonne aux morsures mon buste,

Timide et libertine, et fragile et robuste,

Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi,

Les anges impuissants se damneraient pour moi !

 

Baudelaire

 

 

 SOLDE

pour Aimé Césaire

 

J’ai l’impression d’être ridicule

dans leurs souliers

dans leurs smoking

dans leur plastron

dans leur faux-col

dans leur monocle

dans leur melon

 

J’ai l’impression d’être ridicule

avec mes orteils qui ne sont pas faits

pour transpirer du matin jusqu’au soir qui déshabille

avec l’emmaillotage qui m’affaiblit les membres

et enlève à mon corps sa beauté de cache-sexe

 

J’ai l’impression d’être ridicule

avec mon cou en cheminée d’usine

avec ces maux de tête qui cessent

chaque fois que je salue quelqu’un

 

J’ai l’impression d’être ridicule

dans leurs salons

dans leurs manières

dans leurs courbettes

dans leur multiple besoin de singeries

 

J’ai l’impression d’être ridicule

avec tout ce qu’ils racontent

jusqu’à ce qu’ils vous servent l’après-midi

un peu d’eau chaude

et des gâteaux enrhumés

 

J’ai l’impression d’être ridicule

avec les théories qu’ils assaisonnent

au goût de leurs besoins

de leurs passions

de leurs instincts ouverts la nuit

en forme de paillasson

 

J’ai l’impression d’être ridicule

parmi eux complice

parmi eux souteneur

parmi eux égorgeur

les mains effroyablement rouges

du sang de leur ci-vi-li-sa-tion

 

Léon-Gontran Damas, poète guyanais, 1937

 

 

 

Ce poème est extrait de

 

Nouveaux Délits - Avril 2016 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits
Coupable responsable
de tout : Cathy Garcia Illustrateur : Henri Cachau    

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Daniel COHEN 
fait paraître 
aux éditions Ôrizons 
deux livres.
Voir doc.

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JEAN-MICHEL TARTAYRE 

                          VERS L’ÉTÉ suivi de FRACTIONS DU JOUR

La simplicité apparente de ces courts poèmes, sobres et suggestifs, 

peut faire écho à la sensibilité de chacun. 

C’est une poésie du quotidien fine et subtile. 

Elle établit des correspondances entre des sensations, des lieux, 

des moments, des atmosphères, 

dans un style épuré et impressionniste. 

Sa musique, très contemporaine, peut nous accompagner longtemps.

La lumière dans les arbres,

Leurs mouvements par elle projetés –

Reflets d’une eau qui danse

Et se perd dans le cristallin.

Tel qu’absorbant

Chaque pulsation du bleu.

Né à Toulouse, libraire puis professeur de lettres modernes, 

Jean-Michel Tartayre a déjà publié 

une trentaine de recueils de poésie 

et collabore à de nombreuses revues littéraires.

13 €                                                     ISBN 978-2-911241-92-5

voir couverture

Une émission sera consacrée à ce livre et à cet auteur

EDITIONS N&B
27 rue Fourcade

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"Bois de peu de poids",

 le dernier livre de 

Romain Fustier,

vient de paraître 

aux éditions Lanskine. 

Voir doc1  doc2   doc3.

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La revue L'Intranquille 
fait paraître son n° 9
voir le sommaire.

 

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 VOIR LE PROGRAMME 
DES EDITIONS LA TABLE RONDE 
MAI - JUIN 2016

 

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Denis HEUDRE 
nous communique :
Permettez-moi de vous présenter mon dernier ouvrage et surtout le travail de mes éditeurs Marie-Josée Christien et Louis Bertholom qui portent haut la poésie dans cette terre de Bretagne à la pointe de l'Europe.
Cet ouvrage s'intitule "sèmes semés", en voici un extrait :
les fleurs éclosent la nuit tombées des étoiles /
comme elles la beauté naît du matin / printemps
rouge-gorgé (sortir du monochrome) herbes en
marche et frémissements d'écrire / ce pays est
mien en traduire les sangs
*****
le printemps a coupé les cheveux des filles / les
garçons n'ont rien vu du printemps et de ses
cheveux / la saison commence à se dégager la
nuque / d'une telle douceur recueillir le
sentiment des pierres et des jonquilles / le
printemps s'est allongé sur les pelouses me
viennent des mots aux pieds nus / les offrir en
instants de peau
*****
qu'emporte avec lui le geste du semeur ? N'y a-t-il
pas un peu de lui projeté dans la terre ? Quelle
langue invente-t-il pour parler à la terre ? Et de
quel désir cette terre attend-elle cet ensemencement ?
Et de quelle jalousie le vent essaie-t-il de l'en détourner ?
Voir :  la note de lecture qu'en a fait Pierre Tanguy.
Pour commander : prix unitaire 12€
Frais de port: 2,72€ pour 1 ex, 4,20€ pour 2 ex.
Chèque à l’ordre de : Les Editions Sauvages
A adresser à Louis Bertholom, 3 avenue de Kerdrézec, 29000 Quimper.
Contact mail : editionssauvages@orange.fr
Bien cordialement
denis heudré

 

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Ligature, n°8 (2015): Stéphane Mallarmé


Ligature, n°8 (2015): Stéphane Mallarmé
 
Association «Livre d'artiste et art contemporain»
ISSN: 22700404
160 pages
 
Ligne éditoriale
 
Suivant une ligne de recherche élaborée depuis trois ans, le «Laboratoire du livre d’artiste» (au sein de l'association «Livre d'artiste et art contemporain (LAAC)» étudie le phénomène du livre de création d’aujourd’hui en l’examinant dans son contexte historique. Ainsi, notre revue Ligature consacre son numéro 8 à l’expérience commencée il y a plus qu’un siècle par Stéphane Mallarmé sur le livre en tant qu’objet d’art sur le plan intellectuel, spirituel et esthétique. Nous faisons le lien entre l’époque de Mallarmé et la pratique du livre d’artiste au début du XXIe siècle, nous intéressant en particulier au cheminement du travail artistique et théorique sur Un coup de dés jamais n’abolira le hasard.
 
Sommaire
 
- Ligne éditoriale
- Avant-propos (texte par Anna Samson)
 
Première rubrique: Théorie
 
- «Anne-Marie Christin. Un dernier Coup de dés…» (article critique par Hélène Campaignolle-Catel)
 
Deuxième rubrique: Historique
 
- «Stéphane Mallarmé, Un Coup de dés…» (essai bibliographique par Thérèse Dujardin «dossier des livres d'artiste sur Un coup de dés»)
- «Odilon Redon: trois lithographies» (réflexions sur l’énigme de la «plus belle édition du monde» par Marguerite Mendès-Ponty)
 
Troisième rubrique: Discours
 
- «Matrice stérile peuplée de fantômes…» (texte critique par Arnold Wagner sur le livre d’Ernest Fraenkel, Les Dessins trans-conscients de Stéphane Mallarmé, 1960)
- «A metrica …» (étude critique et graphique par Giulio Varendi sur le livre de Mario Diacono: «A metrica n’aboolira», 1968)
- «Disperser l’acte vide…» (essai critique par John Haunissen sur le livre de Marcel Broodthaers, «Album/ Un coup de dés… Image», 1969)
 
Quatrième rubrique: Projet
 
- «Le Hasard à l’infini» (un livre d’artiste 2015-16, collection «Bauhaus-21», présentation par Anne Arc, une composition concrète de Serge Camchinov).
 
Cinquième rubrique: Poésie inédite: XXIe siècle
 
- «La Poésie à six faces»: poèmes de Jan H. Mysjkin, Jean-Pierre Crespel, Anne Arc, Pierre Schroven, Felip Costaglioli, Marc Quagnebeur. Infographie par Sergo Sabanadze, dessins de Nicolaus Werner
 
Ligature n°8 (quatrième année, novembre 2015)
 
Thème:
 
« Stéphane Mallarmé et le livre d’artiste »
 
Suivant une ligne de recherche élaborée depuis trois ans, le « Laboratoire du livre d’artiste » étudie le phénomène du livre de création d’aujourd’hui en l’examinant dans son contexte historique. Ainsi, notre revue Ligature consacre son numéro 8 à l’expérience menée il y a un siècle par Stéphane Mallarmé avec le livre comme objet d’art au plan intellectuel, spirituel et esthétique.
 
Le premier axe de recherche dans le n°8 de la revue suit la thématique de la « poétique du blanc » chez Stéphane Mallarmé évoquée par Anne-Marie Christin, notamment dans l’article « De l’image au texte : l’expérience du Coup de dés » (cf. : Poétique du blanc, éd. Vrin, 2009, p.141). Nous nous intéressons à l’élaboration d’un dossier génétique du livre de Stéphane Mallarmé Un coup de dés jamais n’abolira le hasard (schématisation des manuscrits et des éditions). Le prolongement du travail d’abstraction – celui de Stéphane Mallarmé par rapport au texte – est aussi l’objet de réflexion critique, mais déjà sur les expériences visuelles post-mallarméennes (avant Marcel Broodthaers), notamment les ouvrages sur le Coup de dés par Ernest Fraenkel (1960), et par Mario Diacono (1968).
 
Le second axe explore le principe du livre comme « instrument spirituel ». Quel est l’héritage des archétypes dans les livres d’artistes d’aujourd’hui ? Cf. p.ex. la pensée de Jacques Derrida : « Les livres sont toujours des livres de vie (l’archétype en serait le Livre de la Vie tenu par le Dieu des Juifs) ou de survie (les archétypes en seraient les Livres des Morts tenus par les Égyptiens. » (L’écriture et la différence, Éditions du Seuil, 1967, p 116). La revue s’adresse donc aux idées créatives des acteurs du livre d’aujourd’hui (poètes et artistes), leur proposant à s’exprimer sur la formule suivante : « le livre supprime le temps cendres » (cf. : Stéphane Mallarmé, Notes en vue du Livre, in Œuvres complètes, Gallimard, Pléiade, 1998, t.1, p. 563.
 

Livre d'artiste : nouvelle approche,... - Jean-Pierre Crespel

 
Ligature » c'est la seule et première revue critique française entièrement consacrée à la ... Le travail d'artistes d'aujourd'hui comme Anne Arc, Serge Chamchinov, ... de doctorat sur le livre d'artiste à l'université Paris-8 Vincennes-Saint-Denis.

 

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Un numéro spécial d'Encres Vives
consacré à Claude Cailleau
voir doc 1    doc 2

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Après "Philibert Besson, le fou qui avait raison",
 "Giampietro Campana la malédiction de l'anticomane "
livres auxquels nous avons consacré deux émissions, 
voici un nouveau portrait d'un personnage curieux,
 insolite, illustre à son époque et méconnu aujourd'hui.

Vers le 15 février paraîtra 
aux Editions Jeanne d'Arc du Puy en Velay,
 le troisième livre de Jean-Luc DOUSSET
"Ferdinand le débile"
Il s'agit de la biographie de l'empereur d'Autriche 
ayant régné entre 1835 et 1848, date à laquelle il abdiqua
 en faveur de son neveu François-Joseph, l'époux de Sissi.
Ferdinand victime des mariages consanguins 
souffre de nombreuses déficiences physiques
 et manifeste un esprit simple mais non sot!

 

 

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Monique Lise Cohen publie:
Les Juifs ont-ils du cœur ? 

(ce livre fera l'objet d'une émission prochainement)
Une intime extériorité. 
L’invitation à suivre son cœur apparaît aujourd’hui dans tous les discours depuis le plus kitch jusqu’aux envolées sociales, politiques et historiques. Elle s’était déployée, à l’époque de la philosophie des Lumières, autour du projet d’une religion universelle et sans texte, que les Encyclopédistes et les philosophes, Diderot, Rousseau et Kant, appelèrent du nom de « religion naturelle » ou « religion du cœur », et dont le judaïsme, par son foisonnement littéraire, était décrit comme l’anti-modèle. Étrangement, nous rencontrons, pour notre temps, Heidegger qui affirme, comme les Lumières, que ce qui est stable et ferme en l’homme est le cœur, identifié au sacré et plus ancien que les dieux. Comment entendre ces résonances qui lient, au nom du cœur, les Lumières et Heidegger ? C’est un long parcours à travers le texte biblique qui pourrait nous éclairer. La Bible enseigne que le cœur n’est pas bon, qu’il est malade et plein de détours. Et qu’il doit être circoncis. Quelle est la signification de cette étrange opération à laquelle Henri Meschonnic avait donné le nom d’une « intime extériorité » ?

 Monique Lise Cohen, docteur ès lettres, a publié aux Éditions Orizons : Récit des jours et veille du livre (2008 ) ; Le parchemin du désir (2009 ) ; Emmanuel Lévinas et Henri Meschonnic, Résonances prophétiques (2011 ) ; Etty Hillesum, une lecture juive (2013 ) ; La circoncision en question (2014 ) ; Une âme juive, Méditations autour d’Eaux dérobées de Daniel Cohen (2014). 

Orizons 13, rue de l’ École Polytechnique 75005 Paris  32 €
voir couvertures des livres

 

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Francis PORNON

 Parution mars 2016

 

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Une nouveauté PO&PSY
Ryôichi WAGÔ 
traduit du japonais par Corinne ATLAN 
 Jets de poèmes 
 dans le vif de Fukushima 
COLLECTION PO&PSY
 a parte Format 15 x 21 
- 300 pages Prix 25 €
Voir doc1  doc2  doc3

 

 

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Louis DUBOST 
fait paraître :
BESTIOLERIE POTAGÈRE
préface de Georges Cathalo
voir doc

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James Sacré 
sera l'invité de l'émission "les poètes"
 le jeudi 24 mars 2016 de 20 h à 21 h

 

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Mars aime la poésie ! Six nouveaux livres en huit langues, du coréen à l'islandais en passant par le polonais ou le slovaque et plus de cinquante rendez-vous pour fêter ensemble le Printemps des Poètes, voilà ce que vous découvrirez dans cette 65ème lettre d'informations.
Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici.
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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HERBES

Véronique Arnault - Alain Helissen


Sur le thème de "l'herbe" proposé par Véronique Arnault à travers une série de monotypes, HERBES se compose de 6 livrets numérotés de 1/6 à 6/6 et signés par ses créateurs.

Les monotypes sont présentés sous forme de détails de petits formats collés sur un papier Canson de 224 gm² selon des dispositions variables d'un exemplaire à l'autre.

Chacun des 6 livrets constitue un exemplaire unique comportant texte et peintures inédites.

Format livret fermé : 16 x 24 cm

Format livret ouvert : 16 x 32 cm

Deux livrets sont proposés à la vente par Alain Helissen. Il s'agit des exemplaires numérotés 2/6 et 6/6. Leur prix de vente est de 20 euros, port offert sauf pour l'étranger (me consulter le cas échéant).

Réservation préalable à toute commande :

alain.helissen@live.fr


Les exemplaires N°1/6, 4/6 et 5/6 sont disponibles chez Véronique Arnault : atelier.esquisse@sfr.fr

VOIR DOC1  DOC2  DOC3

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Bris de vers et éclats d'obus : découvrez, en lisant cette 64 ème lettre d'information, le nouveau roman de la collection Sur le fil dans lequel Raphaël Jerusalmy nous emmène il y a 100 ans aux côtés d'Apollinaire dans une tranchée ; l'anthologie du 18ème Printemps des Poètes et nos rendez-vous du mois.
Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici.
 

 
 
 
 
 
 

67 rue de reuilly 75012 Paris FR

 

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Geneviève Guiguet-Alain Helissen


Pièces jointes


Fruit d'une nouvelle collaboration entre Geneviève Guiguet et Alain Helissen, Pièces Jointes prend la forme originale de trapèzes entrecroisés, présentés en dégradé.

Geneviève Guiguet, à qui on doit cet agencement, livre ici cinq collages réalisés à partir de papiers rares et enrichis d'interventions à la plume. Le texte d'Alain Helissen vient "commenter" poétiquement ce qu'il nomme des "pièces jointes".

format : 17 x 19,5 cm

12 pages, papier aquarelle

Reliure ficelle rouge

Il existe 2 exemplaires de "Pièces jointes", légèrement différents, numérotés 1/2 et 2/2 et signés.

L'exemplaire numéroté 2/2 est proposé à la vente

au prix de 30 euros, port offert sauf hors France.

Réservation préalable à:

alain.helissen@live.fr

voir doc1  doc2   doc3


 

 

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Jean-Pierre Lesieur, poète et revuiste confirmé, n’a pas le temps de s’amuser. Il laisse ce soin à sa muse, 

et publie « Ma Muse s’Amuse »,bilan prodigieux de ses extrapolades versificatrices qui caractérisent son esprit créateur.

            C’est d’abord le souffle qui traverse ces textes et emporte le lecteur. Un souffle lié au fabulatoire de la réalité, car chaque poème se développe au rythme d’un inventaire à la Prévert où les mots bousculent l’esprit et le poussent à l’invention des mots. Cette spirale poétique, partie de terre, de la vie concrète, se développe en tourbillonnant au son des fantasmes et de la belle musique des syllabes qui enivre un peu:

« Muse muse muse ça perd l’épaulette de paupiettes Autant en emporte le temps Des amusements de Paulhan Autant en emporte le vent.

Muse muse muse Saperlipopette de lopette Gare aux engoulevents Du carré des feuillants Dans les grands coups devant... »

Qu’il utilise le lyrisme ,la syncope, le vers libre, la forme dialoguée, strophée, le poète passe d’un registre à l’autre, et le lecteur ne s’ennuie pas. Sorte d’homme-orchestre Lesieur mène son texte tambour battant et emporte le morceau. Car il en faut de l’emportement, du tourbillon, sous la plume, pour évoquer efficacement la vie fertile de toute expérience, sans tomber dans la déprime ou le mélo. Expérience que Lesieur transcende en parodiant le mythe: muse vénale, muse marchandisée, ou muse aux fourneaux... Rien ne vaut pourtant la muse déniaisée qui, en nuisette, « vient juste de perdre son pucelage de mots », mais sans jamais pouvoir la posséder ! C’est l’angoisse du poète, que Lesieur dilue de dérision, d’ironie et d’humour, car l’humain doit toujours vaincre:

« Parfois sa muse se mettait en galipettes Et lui disait tout de go rattrape-moi Bel éphèbe des mots sans sens mais beaux Rattrape moi si tu le peux chiche.

Il courait à perdre l’haleine des images

Il courait aussi vite qu’il l’avait écrit

Et ne parvenait jamais à rejoindre la belle... »

Cœur battant à deux ailes, prenant son vol dans les libres espaces de la parole écrite, Jean - Pierre Lesieur nous donne ici une écriture sans tabou, et surtout sans pensée unique ni langue de bois, ce qui fait du bien par où ça dépasse .

 

                                                           Claude  ALBAREDE


  VOIR DOC

 

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voir doc 

 

 

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Claude Vercey nous communique :
Deux  livres pour Chantal Danjou, et  qui méritent  notre  attention  :
Femme qui tend la torche (ed. mémoire  vivante)  et
Je voudrais parler de la légèreté (éd. Tipaza),
L'I.D n° 570, la Une de  notre magazine 
associe à la poète le peintre Henri Yéru, 
et rend compte de ces deux livres.
Claude Vercey

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voir :
2 nouveaux livres pauvres avec  Jean Joubert et Jean-Baptiste Pedini
http://ghislainelejard.blogspot.fr/p/livres-pauvres.html
Un extrait du dernier recueil Orphée et Eurydice
http://ghislainelejard.blogspot.fr/search/label/1-%20Orph%C3%A9e%20et%20Eurydice
1 New
http://ghislainelejard.blogspot.fr/2014/09/septembre-realisation-de-la-premiere-de.html
2 coups de cœur du mois: 
un recueil de Jean-Louis Clarac et Françoise Cuxac 
et une œuvre de Robert Empain
http://ghislainelejard.blogspot.fr/search/label/1.%20Du%20mois
2 citations nouvelles: Daniel Martinez et Hélène Cadou
http://ghislainelejard.blogspot.fr/search/label/Citation%20de%20la%20quinzaine
http://ghislainelejard.blogspot.com

 

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Le dernier livre de Maxime VIVAS :
 Rouges, les collines de Caracas   
Polar historique. Maxime Vivas. Ed Arcane 17.
Début d’écriture : 2007. Fin : 2015.
Deux voyages de documentation au Venezuela.
L’action se déroule entre le 22 et le 30 mai 2007.
couv_collines_caracas_complete.pdf
En librairie le 8 octobre, disponible à la fête de l’Huma.
Pour les impatients : http://www.librairie-renaissance.fr/

 

 

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 Peire Vidal (Editions TDO)
Michel COSEM

Accueil > Nos livres>Collection Histoire du Sud>Les vies multiples du Troubadour Peire Vidal
Les vies multiples du Troubadour Peire Vidal Zoom

Les vies multiples du Troubadour Peire Vidal

Ce roman historique retrace la vie tumultueuse de Peire Vidal, considéré comme l’un des troubadours les plus illustres du XIIIème siècle. Fils d’un artisan toulousain, il apprend son art au château des comtes de Toulouse auprès de son mentor Maître Guiraud, avec d’autres illustres ménestrels de son temps. Une fois sa formation achevée, le jeune homme partira sur les routes de l’Occitanie, et bien au-delà, pour satisfaire son désir insatiable de découverte et d’aventure...

18 €

Ce roman historique retrace la vie tumultueuse de Peire Vidal, 
considéré comme l’un des troubadours les plus illustres du XIIIème siècle.
 Fils d’un artisan toulousain, il apprend son art au château des comtes de Toulouse
 auprès de son mentor Maître Guiraud, avec d’autres illustres ménestrels de son temps.
 Une fois sa formation achevée, le jeune homme partira sur les routes de l’Occitanie, et bien au-delà,
 pour satisfaire son désir insatiable de découverte et d’aventure. De la cour du roi d’Aragon à la Provence,
 en passant par Byzance ou par la Hongrie, Peire Vidal rencontre les plus grands de son temps,
 les plus belles dames de l’époque. 
Accompagné de ses instruments de musique et guidé par son inspiration, 
le célèbre troubadour toulousain entraîne le lecteur dans son sillage,
 lui faisant découvrir la profonde richesse de l’Histoire occitane.
****

 

 
Les Soleils de la tourmente, de M. Cosem

Éd. De Borée, coll. "Roman", 320 pages. ISBN 978-2-8129-1676-2

Prix éditeur : 19 euros

   

                                                                                       

Estelle se console de l'indifférence et de l'autoritarisme de son père grâce 

à sa passion pour la montagne. Lorsque Francisco est embauché comme valet de ferme,

 les deux jeunes gens tombent sous le charme l'un de l'autre. 

Josep, un voisin qui a des vues sur la jeune femme, menace le valet qui finit par le tuer. 

Francisco est alors contraint de fuir, mais promet à sa bien-aimée de revenir.

 

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 Poèmes d'amour de Hagit Grossman
Les éditions Levant viennent de publier, 
dans la traduction de Michel Eckhard-Elial,  
les "Poèmes d'amour"  de Hagit Grosman, 
poétesse israélienne,
 invitée en 2013 au Festival Voix Vives de Sète.
 Cette parution suit celle des "Neuf poèmes pour Shmuel",
 livre d'artiste édité par Robert Lobet 
aux éditions de la Margeride.
 Cet engagement éditorial, sans aide publique,
 vise la publication d'autres titres de poésie. 
Il entend s'appuyer, sans aide publique, sur le seul réseau 
d'amis et de lecteurs de la Revue Levant. 
Vous pouvez participer à cet objectif en souscrivant à l'achat* 
d'un exemplaire (100 exemplaires numérotés et signés) 
des "Poèmes d'amour". 
Merci de votre aide.
Michel Eckhard Elial,
Revue Levant -Cahiers de l'Espace méditerranéen
* 15 Euros à adresser par chèque à l'adresse de la Revue:
 Levant, 3 Place Bouschet de Bernard, 34070 Montpellier

 

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souscription Nuit de peu.pdf

 

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Après la panne d’édito, la panne de vœux ?

 

Même quand je travaillais dans le spectacle, je n’aimais déjà pas les répétitions. Je préférais le moment vrai et unique du spectacle lui-même, car dans le théâtre de rue, chaque représentation est toujours unique, remplie d’imprévus, d’inattendu. On n’y est pas à l’abri de la pluie, du vent, de toutes sortes d’obstacles et surprises et surtout pas séparé d’un public par une scène, ou pire encore, par une fosse. On est avec et dans le public, parmi les gens qui font et défont le spectacle, tout autant que nous-mêmes. L’idée même d’un public disparaît dans un échange interactif et vivant, une grande fête commune. C’est ça que j’aimais dans le théâtre de rue, le véritable théâtre de rue. Ce moment vrai qui nous mettait en danger. Et je continue à préférer le spontané, l’imprévu, le non-préconçu, et plus encore quand il s’agit de fêtes ou de belles déclarations. Faire un vœu, oui, pourquoi pas ! Parce qu’il nous vient à la bouche comme une source jaillissante ou parce que l’étoile filante… Si j‘avais un vœu à faire là maintenant, au moment précis où j’écris cet édito, ce serait : « délivrons-nous de nos certitudes ! ». On étouffe sous les certitudes, on en perd tout contact sensoriel avec la vie, toute capacité de penser de façon inédite et donc libre. Mes certitudes, vos certitudes, leurs certitudes. Les certitudes sont aussi nombreuses que les individus susceptibles de vous les asséner, même les certitudes d’un groupe sont en réalité un assemblage de certitudes uniques, chacune attachée à un seul individu. C’est comme les patates, les ensembles qu’on nous faisait faire à la maternelle. Alors oui, pour y voir plus clair, il y a des certitudes qu’on peut mettre dans une même patate, puis les patates empiètent sur d’autres patates, ce qui forme des espaces inter-patates, qui eux-mêmes empiètent les uns sur les autres, et au final on a de nouveau un grand bordel auquel on ne comprend rien du tout. Alors ouvrons toutes ces patates et délivrons-nous des certitudes ! Voilà, c’est mon vœu instantané et il a disparu aussi vite qu’il a été formulé. Les patates mathématiques ne sont rien d‘autres que des bulles qui nous éclatent au nez. Certaines sont très belles, tout dépend de comment elles prennent la lumière. Et voilà : tout dépend de comment on prend la lumière.

 

CG

 

Cet homme est comme une forêt, il se croit tout obscur,

il est partout troué de rayons de soleil.

Henri Gougaud in L'Expédition


AU MENU

 

 

Un copieux Délit de poésie pour bien démarrer l’année :

 

Lou Raoul, avec un extrait d’arrache moi fort la nuit

Mokhtar El Amraoui (un grand salut à la Tunisie)

Julien Boutreux

Jean-Claude Goiri avec des Copeaux (contre la barbarie)

Denis Wetterwald

Sammy Sapin

Tom Buron, avec entre autre des extraits d’un journal éthylo-poétique

 

Que des plats de résistance !

 

Le tout relevé d’un goûteux mélange de Délits d’(in)citations.

 

Pour dessert, une Résonance : Les maîtres du printemps d’Isabelle Stibbe, Serge Safran, août 2015.

 

Vous trouverez le bulletin de complicité tapi à la sortie, mais il ne mord pas, c’est à vous de le saisir à belles dents pour l’offrir à qui vous voudrez.



 

 Illustratrice : Ana Minski

 

Ana Minski a d'abord découvert la bohème par la littérature avant de vagabonder sous les ponts parisiens. Elle a tenté d'être libraire, documentaliste, archéologue, mais l'errance est son dada. Elle a publié quelques nouvelles chez Les Artistes Fous Associés et La lucarne des écrivains, ainsi que des poèmes dans les revues Les corrosifs, Le capital des mots, Les tas de mots et Créatures. Elle peint également depuis quatre ans : http://mitaghoulier.blogspot.fr/



Le bonheur est une petite chose que l’on grignote,
assis par terre, au soleil.

Jean Giraudoux



Le poète est un artiste


Comme on pourrait dire d’une façon assez réductrice que le sculpteur est l’artiste de la forme, le peintre celui des couleurs, le musicien celui des rythmes, le poète est l’artiste du langage. Mais de même que la couleur n’est pas enfermée dans un tableau, la poésie n’est pas enfermée dans un livre.


Il y a deux voies dans l’art, deux voies qui peuvent converger et souvent pour le meilleur: une voie artisane, technicienne, qui vise une certaine perfection dans la répétition du geste, une amélioration de la technique et une voie plus intuitive, plus chamanique, quand l’artiste devient une sorte de capteur. Lui-même ne sait pas trop ce qu’il capte, mais il tente de le retranscrire en formes, couleurs, sons ou langage, ou tout à la fois. L’artiste est un médium – un moyen – d’entrer en résonance avec l’Universel. Tous les peuples, toutes les cultures sont entrées en résonance avec l’Univers à travers leur créativité, bien avant même que n’intervienne le concept d’art ou d’artiste. Tous ont confectionné de leurs mains de beaux et parfois étranges objets, pas pour les exposer mais pour les utiliser. Cette beauté et cette étrangeté, c’est ce qu’on pourrait appeler l’âme des objets. De même, tous les peuples n’ont pas eu de littérature, mais tous ont une poésie, comme l’avait très justement dit Victor Hugo.


La poésie est un art holistique, elle est toute à la fois musique, peinture, sculpture, son matériau ce sont les mots, dont elle utilise avant tout l’impact vibratoire, le sens en est parfois pulvérisé pour devenir essence. La poésie est vibration et exaltation de tout ce qui ne peut être expliqué par les mots, mais seulement perçu et parfois percé par eux.

 

 cg, 18 août 2015


VOIR BULLETIN COMPLICE



Nouveaux Délits  - Janvier 2016  -  ISSN : 1761-6530


Dépôt légal : à parution  -  Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits


Coupable responsable et correctrice : Cathy Garcia


Illustratrice :
Ana Minski  


http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com

 

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Francis PORNON publie aux éditions TDO :

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Lo CIRDÒC- Fabrica de cultura
Les coups de coeur
Los còps de còr
de la médiathèque
de la mediatèca


Sélection
Seleccion




Quelques idées pour un Nadal musical et littéraire
Qualques idèas per un Nadal musical e literari 








Pour enchanter vos soirées de fête et garnir un peu plus le pied de votre sapin, nous vous proposons une seconde sélection de nos coups de cœur : musicaux, poétiques et littéraires. Une liste enrichie de vos propres idées de cadeaux. 

En savoir + : 
Découvrir notre sélection sur la Fabrica


Per encantar las vòstras seradas de fèsta e mièlhs garnir lo pè del vòstre sap, vos propausam una seconda seleccion dels nòstres còps de còr : musicals, poetics e literaris. Una lista enriquida de vòstras idèas per de presents. 

Ne saber + :
Descobrir la nòstra seleccion sus la Fabrica


Occitanica vous propose également un ensemble de ressources pour continuer de découvrir, rêver et célébrer Noël en occitan durant la pause hivernale de la Mediatèca occitana (du 19/12/15 au 03/01/15).

Toute l'équipe du CIRDÒC vous souhaite de bonnes fêtes.

En savoir + :  
Découvrir la sélection « Nadal » sur Occitanica.
L'actualité du CIRDÒC. 

Occitanica vos propausa tanben un ensemble de ressorsas  per contunhar de descobrir, somiar e celebrar Nadal en occitan pendent la pausa nadalenca de la Mediatèca occitana (del 19/12/15 al 03/01/16). 

Tota la còla del CIRDÒC vos desira de bonas fèstas.

En savoir + :
Descobrir la seleccion « Nadal » sus Occitanica.
L'actualitat del CIRDÒC.  
















Nous contacter
Lo CIRDÒC
1 bis boulevard Du Guesclin - BP 180
34503 Béziers Cedex
Tél. : 04 67 11 85 10
Fax : 04 67 62 23 01
Sur la toile
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occitanica.eu
Restez connecté

 

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Alain Helissen


Carnets de 

BONS

(et de moins bons)


Présentés, comme pour mon ouvrage "pensées", sous forme de cartes (format carte postale, 11 x 15,5 cm)) imprimées sur papier canson 224g/m², ces BONS, au nombre de 16, sont insérés dans une boîte réalisée par mes soins avec un papier bristol de différentes couleurs (bleu, rouge, noir, ivoire...).

Libre clin d'oeil aux "bons" proposés par la société de consommation, "Carnet de bons" agite un humour un rien provocateur. Il invite aussi ses lecteurs à poursuivre en créant leurs propres "BONS".

L'édition originale de "Carnet de BONS" comprend 10 exemplaires numérotés de 1/10 à 10/10 et signés par l'auteur.

Une seconde édition est envisageable, en cas d'épuisement

de la première.

Prix : 15 euros, port inclus.

Commande à:

Alain Helissen, 53 rue de L'Entente

57400 Sarrebourg

(règlement par chèque à mon ordre)

Alain Helissen

 


voir doc1  doc2  doc3

 

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Hirondelles vient de paraître aux éditions La Porte. 

Ce livret est disponible contre la somme de 3,80 euros.

 

 

Extrait :

 

« dès le matin les liserons bleus se sont ouverts dit-elle

à votre petite présente-t-elle s’accrochant au garde-corps

de la terrasse & c’est plus qu’une plante grimpante

qui éclot l’écoutant c’est quoi qui s’épanouit soudain

en toi te pénètre d’une sensation comme dans un champ

près d’une haie d’une émotion offre une voie d’accès

à quoi qui vous paraît accessible dès qu’elle articule ça

les liserons bleus sont ouverts quand elle à elle à toi

répète répète répète dans ta tête t’appliquant à l’entendre

prêtant attention à ses paroles perçant ce qui est fermé

où le jardin & l’existence s’ouvrent autour des fleurs »

 

 

Pour commander ce livret, envoyez votre règlement à :

 

La Porte

Yves Perrine

215 rue Moïse Bodhuin

02000 Laon

 *


Encore disponibles, chez le même éditeur, deux autres recueils de mézigue, Comme si de rien et Du bout des yeux, qui forment une sorte de triptyque avec Hirondelles.

 

Il en est question ici :

http://contreallees.blogspot.fr/2013/06/les-larmes-aux-yeux.html

http://www.printempsdespoetes.com/index.php?url=poetheque/parutions_fiche.php&cle=4251

 

Chacun de ces deux livrets est disponible à la même adresse contre la somme de 3,80 euros.

 *


Vous signaler aussi que Boîte automatique du crâne, mon E-Book paru pour la première fois en 2009 chez Publie.net, vient de reparaître avec une nouvelle couverture.

 

Plus de renseignements ici :

http://www.publie.net/livre/boite-automatique-du-crane-romain-fustier/

http://librairie.publie.net/fr/ebook/9782814502802

 

Contre-allées
Revue et éditions
Amandine Marembert & Romain Fustier
16 rue Mizault
03100 Montluçon
http://contreallees.blogspot.com/

 

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Les tirages de tête de PO&PSY
voir doc

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Jean-Luc POULIQUEN 
vient de faire paraître
 "Célébrations"
à commander sur Amazon :

  http://www.amazon.fr/Celebrations-Jean-Luc-Pouliquen/dp/1518793126/ref=sr_1_1/278-6594576-9991422?s=books&ie=UTF8&qid=1446799978&sr=1-1

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Alain HELISSEN

Pensées


Tout au long de mon parcours de poète-écrivain, j'ai noté dans un petit carnet des pensées d'auteurs plus ou moins célèbres mais aussi des pensées personnelles. Ce sont douze d'entre elles que j'ai retenues pour fabriquer ce petit livre qui se présente comme une boîte renfermant 12 cartes, soit une pensée par carte.

D'un format carte postale (10,5 x 15 cm), ces cartes, toutes signées, peuvent aussi être utilisées séparément.

Les boîtes ont été fabriquées par mes soins, avec un carton bristol de différentes couleurs (noir, ivoire etc...).Les cartes ont été imprimées sur papier à grain Canson de 224 g/m².

Les photos de couverture, pour la plupart, sont de Françoise Bonnel.

Chaque couverture est différente.

Le tirage de ce livre-boîte a été limité à 10 exemplaires, mais

une nouvelle édition de 10 exemplaires supplémentaires

est envisageable.

voir doc1   doc2   doc3

Prix d'un exemplaire : 20 € (port offert sauf hors France)

Commande à : Alain Helissen, 53 rue de l'Entente

57400 Sarrebourg

(règlement par chèque à mon ordre)


cordialement,

Alain Helissen

http://alainhelissen.over-blog.com

 

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Ø  Samedi 14 novembre 2015 à 16h00 :

Dans le cadre de la Fête du Livre de Quito

Lancement des recueils d’Augusto Rodriguez, El libro de la enfermedad – Le livre des fièvres. Co-édition avec l’Alliance Française de Quito - Edition bilingue (traduit de l’espagnol – Équateur – par Rémy Durand) 2015
ISBN : 978-2-919209-06-4
Note de Nicole Benckemoun (en français et en espagnol)

En présence de l’auteur et de son traducteur

et de Rémy Durand « La Vertu des ombres » (l’une & l’autre éditeurs, 2015) http://www.sens-tonka.net/auteur/durand-remy.  

Ø  Présentation du livre unique d’artiste « Désert », poème de Rémy Durand avec 21 illustrations originales de Josette Digonnet (encre, aquarelle et gravure), Aux Cahiers du Museur, collection « à côté », Alian Freixe éditeur

 

Voir bulletin de presse en espagnol

 

VIENT DE PARAîTRE – NUEVA PUBLICACIÓN

Aux éditions Villa-Cisneros (Toulon – France)

AUGUSTO RODRIGUEZ : LE LIVRE DES FIĖVRES

EL LIBRO DE LA ENFERMEDAD - 2015

Édition bilingue, traduit de l’espagnol (Équateur) par Rémy Durand

 

Augusto Rodriguez est l’un des jeunes poètes équatoriens les plus prometteurs de sa génération.

Augusto Rodriguez es uno de los mas prometedores jovenes poetas de su generacin

 

Co-édition avec l’Alliance Française de Quito / Co-edición con la Alianza Francesa de Quito

ISBN 978-2-919209-06-4

Format 14,5 cm x 22 cm, 183 pages

20 € (frais de port inclus) – remise de 10% aux Membres de l’Association Gangotena.

Pour la France : commandes à adresser à : Association Gangotena – 4 rue Vincent Allègre – 83000 Toulon. Chèque à l’ordre de : Association Gangotena.

En Équateur : Contact : Alliance Française de Quito - Avenida Eloy Alfaro N32-468 y Rusia. Tél. : 224 65 89 / 224 65 90

 

VIENT DE PARAÎTRE

Nuevo poemario  

 Aux éditions L'Une & L'Autre, 2015

 Rémy Durand

 LA VERTU DES OMBRES

 

 

Commandes sur le site internet sens-tonka http://www.sens-tonka.net/vertu-ombres

Cliquer sur « ajouter au panier » et suivre les instructions

Ou cliquer à droite sur Durand dans la liste des poètes publiés

 

Ou chez votre libraire

 

Une anthologie, du Venezuela à l’Équateur, des champs de bataille de la Grande Guerre au Chili, de l’Irlande aux Cercles de la mort et de la vie, de l’enfance à nos jours…

 Una antología, de Venezuela a Ecuador, de la primera guerra mundial a Chile, de Irlanda a los Círculos de muerte y de vida, desde la infancia hasta hoy…

 

Ah, voyageur / ce n’est pas du brouillard, / ni du silence, / ni de la mort, / qui voyage avec toi, / mais / toi-même et tes multiples vies /

Ah, viajero, / no es niebla, / ni silencio, / ni muerte, / lo que viaja contigo, / sino/ tú mismo con tus muchas vidas.

 

Pablo Neruda, Ode au chemin / Oda al camino

 

 

Information solidaire :

Jean-Michel Bossini, compositeur, performeur
www.jeanmichelbossini.com

Espace Comédia, André Neyton
http://www.espacecomedia.com/

Galerie Polysémie
http://polysemie.com/les-artistes-de-la-galerie/

 

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LE LIVRE DES FIÈVRES d'AUGUSTO RODRÍGUEZ

El LIBRO DE LA ENFERMEDAD, de AUGUSTO RODRÍGUEZ

 

Co-édition avec l’Alliance Française de Quito - 

Edition bilingue (traduit de l’espagnol – Équateur – par Rémy Durand) - 2015

ISBN : 978-2-919209-06-4

Contact : éditions associatives Villa-Cisneros contact@remydurand.com

voir doc1  voir doc2

 

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Les dernières publications de Joël VERNET

voir doc1 ;  doc2 ;  doc3 ; doc4

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Réédition du recueil :

 "A poèmes d'amour, poèmes de toujours "  d'Élodie Willyam S. Charles

voir doc 

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Alain HELISSEN nous communique :

Bonjour,

Permettez-moi de vous présenter l’un de mes derniers livres d’artiste :

Lichens

Geneviève Guiguet-Alain Helissen


Fruit d'une nouvelle collaboration entre Geneviève Guiguet et Alain Helissen, "Lichens" présente 5 peintures originales de Geneviève Guiguet,

5 variations dont les lichens constituent le thème central, thème repris dans ses textes par Alain Helissen.

La réalisation de cet ouvrage est due à Geneviève Guiguet.

Il existe 2 exemplaires distincts de "Lichens", numérotés 1/2 et 2/2, portant les signatures des auteurs.

Format : 16 x 24 cm

10 pages, incluant 5 peintures originales de Geneviève Guiguet (gouache et aquarelle) sur papier aquarelle 325 gr/m².reliure : ficelle

Textes et peintures sont présentés en vis à vis (peintures à droite)

Voir Extraits .   ../2015/Numérisation_20150629 (2).jpg    ../2015/Numérisation_20150629 (3).jpg     ../2015/Numérisation_20150721 (2).jpg     ../2015/Numérisation_20150721.jpg

L'exemplaire numéroté 2/2 est proposé à la vente au prix de 40 euros.(port offert, sauf hors France)

Me contacter au préalable pour réservation: alain.helissen@live.fr

 

Bien cordialement,

Alain Helissen

Retrouvez toutes mes publications sur mon blog:

http://alainhelissen.over-blog.com

 

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Vient de paraître :

À l’éveil du jour  
 Brigitte Maillard  
 Monde en poésie éditions.
 
Voir doc 1    doc 2 

Brigitte Maillard
www.mondeenpoesie.net
www.brigittemaillard.net
www.mondeenpoesieeditions.blogspot.fr

 

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 LIVRE D'ARTISTE / LIBRO DE ARTISTA / Rémy Durand- Josette Digonnet

 

 Vient de Paraître

 

NUEVA PUBLICACIÓN

 

Aux Cahiers du Museur, collection « à côté »

LIVRE D’ARTISTE

 

LIBRO DE ARTISTA

 

Désert, poème de Rémy Durand

avec 21 illustrations originales de Josette Digonnet (encre, aquarelle et gravure)

Alain Freixe, poète, éditeur :

« J’ai ouvert une nouvelle collection de livres d’artistes aux Cahiers du Museur : format un feuillet A3, Moulin du coq, grain torchon, « Le Rouge » 325 g plié en deux. Tirage 21 exemplaires. Je l’ai intitulée « À côté ».

« À côté » est un nom de pays. Celui du regard qui bondit du texte à l’image à moins que ce ne soit l’inverse, contredisant la « belle page » typographique ! Un regard qui comme le lièvre opérerait par bond, histoire de toujours se jeter hors de la ligne droite, du chemin bien tracé, du rang. Geste d’esquive certes mais aussi de saisie comme au vol, saisie de nouveaux appuis pour un nouveau bond. 

« Être du bond. N’être pas du festin. Son épilogue » disait Char. Être du décalage, de la distorsion, de la disjonction, aussi léger, aussi minime soit-il. Affaire de ruse. Être de tout ce qui effaçant les traces ouvre une brèche qui intrigue, une meurtrière qui donne envie d’aller y voir, se pencher et penser. Un peu.

« Pour moi, il faut dans les vers que tout soit à côté, pas comme chez les gens. » – Anna Akhmatova, Les secrets du métier(Poésie/Gallimard) ».

Alain Freixe, poeta, editor :

Presentación  de la colección  de libros de artistas : « Al lado », colección  de « Les Cahiers du Museur » (Niza - Francia).

«Inicié una nueva colección de los « Cahiers du Museur », en  cuartilla de papel de acuarela de 325 gramos (Moulin du Coq ) doblado,  tamaño : A3 , tirada de 21 ejemplares. « Al lado » es como un pais. El de la mirada que brota del texto hacia la imagen como no sea a la inversa, en contra de la «bella pagina» tipógrafica.

Una mirada que actuaría como la liebre dando saltos para lanzarse siempre fuera de la recta, fuera del camino bien trazado, fuera de filas.

Por supuesto es gesto de regate pero tambien es para coger como al vuelo nuevos puntos de apoyo para nuevo salto.

« Ser del salto. No ser del festin. Ser epílogo » según el poeta René Char.

Ser de la desalíneación , de la torsion, de la disyunción, tan leve, tan minima sea. Cuestión de astucia. Ser de cuanto borrando las huellas abre una brecha que intriga, saetera que da ganas de ir más allá para ver, para asomarse y pensar. Un poco.  « En mi opinión, hace falta que los versos estén al lado, no como en la gente » según la poetisa  Anna Akmatova ».

(traducción Marie-Josée Freixe)

Josette Digonnet :

Beaux-Arts de Toulon.  Quelques expositions : Salon des Arts de Marseille 1999 / Galerie « Les Crayons bleus » (Marseille) 2002 / Galerie Thuillier (Paris) 2003 / Galerie Saint Louis (Toulon) 2004 / Expo « au jardin » (La Garde) 2008 / Printemps des graveurs Villa Tamaris (La Seyne) 2011 / Journée et Salon de l’estampe contemporaine (Paris et Rueil –Malmaison 2012)

« Du poème à l'expression graphique : par les jeux de la couleur, des rythmes, de la matière, s'approche-t-on de l'intime "d'espaces intérieurs", traces de moments d'étonnement, de surprise, d'émotion, qui ressurgissent alors sur la feuille de papier, en réponse à l'écriture poétique ? »

Contacts, Commandes, rendez-vous : 

Josette Digonnet : 3, Avenue 1ère Division Brosset, 83400 – Hyères-les-Palmiers / 04 94 65 38 26 / 06 81 56 07 09     digonnetj@wanadoo.fr

ou

Rémy Durand : 4 rue Vincent Allègre, 83000 – Toulon / 04 94 09 47 55 / 06 03 45 63 56     contact@remydurand.com

ou

Alain Freixe : Impasse de la Douane – 06300 Nice / 04 97 08 05 58  / alain.freixe@wanadoo.fr

Sur simple demande, Alain Freixe peut vous envoyer le catalogue des Cahiers du Museur

Prix : 150 euros l’exemplaire, port inclus

Par chèque à l’ordre des personnes citées en contact.

Lorsque l'on évoque les noms des différents papiers de Beaux-arts disponibles pour les artistes français, Moulin du Coq est assurément l'une des marques les plus reconnues pour la qualité de ses papiers. Rien d'étonnant : les papiers Moulin du Coq sont confectionnés avec le plus grand soin par les maîtres-papetiers de Hahnemühle afin de répondre aux attentes des artistes, professionnels et amateurs, les plus exigeants. Moulin du Coq est littéralement la traduction de Hahne-mühle !

Rémy Durand représentera Les Cahiers du Museur au Festival international de poésie Ileana Espinel Cedeño (Guayaquil, Équateur - novembre 2015), et dans les Alliances Françaises où il sera invité pour des lectures.

 

Josette Digonnet, pour le poème Désert de Rémy Durand  / Les Cahiers du Museur, 10/21

 

Information solidaire :

Cathy Garcia : La Revue Nouveaux délits 

Nathalie Riera : Les carnets d’Eucharis  http://lescarnetsdeucharis.hautetfort.com/

/2015/Rémy Durand.pdf

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Parution du "Livre des fièvres" d'Augusto Rodriguez (Équateur)

 

VIENT DE PARAîTRE –   NUEVA PUBLICACIÓN

Aux éditions Villa-Cisneros (Toulon – France)

AUGUSTO RODRIGUEZ : LE LIVRE DES FIĖVRES

EL LIBRO DE LA ENFERMEDAD - 2015

Édition bilingue, traduit de l’espagnol (Équateur) par Rémy Durand

Augusto Rodriguez est l’un des jeunes poètes équatoriens les plus prometteurs de sa génération.

Augusto Rodriguez es uno de los mas prometedores jovenes poetas de su generacin

 

Co-édition avec l’Alliance Française de Quito / Co-edición con la Alianza Francesa de Quito

ISBN 978-2-919209-06-4

Format 14,5 cm x 22 cm, 183 pages

20 € (frais de port inclus) – remise de 10% aux Membres de l’Association Gangotena.

Pour la France : commandes à adresser à : Association Gangotena – 4 rue Vincent Allègre – 83000 Toulon. Chèque à l’ordre de : Association Gangotena.

En Équateur : Contact : Fanny, Cristina, Lise, Alliance Française de Quito - Avenida Eloy Alfaro N32-468 y Rusia. Tél. : 224 65 89 / 224 65 90

 

En hommage à un père aimé, je n’ai jamais lu un tel chant d’amour où l’émotion, la révolte contre l’inadmissible maladie et la mort  jaillissent comme autant de cris dans un champ de déréliction

 

 

Comentarios sobre la poesía de Augusto Rodríguez

Commentaires sur la poésie d’Augusto Rodriguez

 

Rafael Courtoisie

Montevideo, Uruguay

 

[este poemario] es violencia pura y hermosa, cincelada como la piedra de una joya rara. Una sinceridad brutal y precisa […] recorre estos poemas en prosa, esta suerte de diario de la desesperación transmutada en metal nobilísimo, que enfrenta el tema de la muerte para que sepamos la buena nueva de la vida. El lenguaje de Augusto Rodríguez impone sus manos sobre el rostro de la verdad y, como la mejor poesía, hace que resucite lo amado.

 

[ce recueil] est d’une pure et belle violence, ciselée comme une pierre précieuse. Une sincérité brutale et précise, […] parcourt ces poèmes en prose, cette sorte de journal intime de la désespérance transmuée en très noble métal, qui affronte le thème de la mort afin que sachions le bonheur de la vie. Le langage d’Augusto Rodríguez impose les mains sur le visage de la vérité et, comme dans la meilleure poésie, il vivifie l’amour.

 

Jorge Boccanera

Buenos Aires, Argentina

 

Barridas por los fogonazos de las imágenes, las palabras que baraja en su despeñadero Augusto Rodríguez nunca llegan a posarse en el suelo. Hay un tono encendido. Hay algo arrasador en la secuencia de visiones, en el modo de enumerar, en esos sucesos que se imbrican conformando el puzzle de una pesadilla: “El hombre es una cabeza rota que se incendia por dentro y por fuera […] El hombre es una cabeza que se incendia y que no puede apagar el infierno que lleva dentro […] La palabra es un cuerpo enfermo que siempre expulsa frutas quemadas”. En la nueva apuesta de Augusto Rodríguez, la voz habla desde el centro del alud para hacer el relato del naufragio cotidiano. Hay vehemencia y lenguaje de riesgo -elementos infrecuentes en la poesía de hoy-  en esta poesía cruzada por el relampagueo de las visiones.

 

Balayées par les éclairs des images, les mots qu’Augusto Rodriguez brasse du haut de sa falaise n’atteignent jamais terre. Le ton est enflammé. Il y a quelque chose de destructeur dans la séquence de visions, dans la manière d’énumérer, dans ces événements qui s’imbriquent pour créer le puzzle du cauchemar. « L’homme est une tête brisée qui s’incendie au-dedans et au-dehors […] L’homme est une tête qui prend feu et qui ne peut éteindre l’enfer qu’il porte en lui. […] Le mot est un corps malade qui expulse toujours des fruits brûlés ». Dans ce nouveau pari d’Augusto Rodriguez, la voix parle du cœur de l’avalanche pour faire le récit du naufrage quotidien. Il y a de la véhémence et de la prise de risque – ceci est peu fréquent dans la poésie d’aujourd’hui ‒ dans cette poésie traversée par les éclairs des visions.

 

Andrés Neuman

Granada, España

 

Augusto Rodríguez escribe con rabia e ironiza con dolor. Dando otra vuelta de tuerca al malditismo dirty, nutriéndose de un escepticismo no por radical menos romántico, cada poema de este libro es una respiración ansiosa, un animal contradictorio. Todo lo que hay de extrema venganza en ellos, lo hay también de amor desolado, de emoción superviviente.

 

Augusto Rodríguez écrit avec rage et ironise avec douleur. Il serre un plus encore l’écrou du dirty maudit, il se nourrit d’un scepticisme qui n’est pas totalement radical car il laisse place à un certain romantisme; chaque poème de ce recueil est une respiration anxieuse, un animal contradictoire. L’extrême vengeance qui les habite va de pair avec la désolation de l’amour, où survit l’émotion.

 

******Haut de Page****** 

 


 
Dans cette 58ème lettre d'information vous découvrirez tous nos rendez-vous de l'été, et des idées pour glisser les poètes dans vos bagages. Ne partez pas sans eux...et bel été à tous !
Voir la version en ligne
Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici,  ici et ici.

 
 


Place au Babel de la fraternité poétique

 
 
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3 nouveautés des éditions Rhubarbe :

Le Corps noir du soleil, de Amina Saïd (poésie) (calligraphie de couverture de Hassan Massoudy) sélection finale pour le Grand prix de poésie 2015 de la Société des Gens de Lettres.
 
La Femme de craie, de Erik-Poulet-Reney (poésie) (calligraphies et préface de Carolyn Carlson, traduction Jean-Pierre Siméon)
 
Navaja, Dauphine & accessoires, de Jean-Claude Tardif (roman par nouvelles)
 
Vous en trouverez les présentations en pièces jointes (pdf)  voir doc1  doc2  doc3
 

Alain Kewes
éditions Rhubarbe
10 rue des cassoirs
89000 Auxerre

editions.rhubarbe@laposte.net

 

 

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Livre d'artiste : Alain Helissen

 

Lisières


Sur le thème de la lisière, voici un nouveau livre unique entièrement réalisé à la main par Alain Helissen.

L'ouvrage comporte 6 peintures originales (acrylique) ainsi qu'un collage papier.

textes présentés sur des bandes de papier collées.

"Lisières" est numéroté 1/1 et signé par l'auteur.

format : 14 x 21 cm

14 pages, non reliées (possibilité de les utiliser séparément)

Couverture en feutrine beige.

Prix de vente : 50 euros (port offert sauf pour l'étranger)

Possibilité de régler en 2 ou 3 versements différés.

Il convient de réserver pour s'assurer que l'ouvrage est toujours disponible.

tél. 03 87 03 26 49

ou : alain.helissen@live.fr

voir    doc1      doc2

cordialement,

Alain Helissen

http://alainhelissen.over-blog.com

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Michel HOST nous communique :

Chères amies, chers amis,

Recours au Poème éditeurs, Federico Garcia-Lorca 

 et son traducteur Michel Host 

sont heureux de vous annoncer la parution toute fraîche de :

ROMANCERO GITANO/ROMANCES GITANES 

SUIVI DE COMPLAINTE FUNÈBRE POUR IGNIACIO SANCHEZ MEJIAST

Ensemble de poèmes du grand poète espagnol Garcia-Lorca, dans la traduction de Michel Host

Pour découvrir et / ou vous procurer ce très beau livre,

cliquez sur le titre ci-dessus (en bleu) 

Extrait et Informations sous cette couverture :

RECUEIL
TRADUIT DE L'ESPAGNOL
PAR MICHEL HOST
ÉDITION BILINGUE
MAI 2015
144 PAGES
ISBN : 978-2-37226-043-5

8.00

formats disponibles : epub, mobi, pdf

Les livres numériques Recours au Poème éditeurs peuvent être lus par tout le monde, avec et sans liseuse ou tablette. Un simple ordinateur suffit

 

LA CASADA INFIEL

Y que yo me la llevé al río

creyendo que era mozuela,

pero tenía marido.

Fue la noche de Santiago

y casi por compromiso.

Se apagaron los faroles

y se encendieron los grillos.

En las últimas esquinas

toqué sus pechos dormidos,

y se me abrieron de pronto

como ramos de jacinto.

El almidón de su enagua

me sonaba en el oído

como una pieza de seda

rasgada por diez cuchillos.

Sin luz de plata en sus copas

los árboles han crecido,

y un horizonte de perros

ladra muy lejos del río.

Pasadas las zarzamoras

los juncos y los espinos,

bajo su mata de pelos

hice un hoyo sobre el limo.

Yo me quité la corbata.

Ella se quitó el vestido.

Yo el cinturón con revólver.

Ella sus cuatro corpiños.

Ni nardos ni caracolas

tienen el cutis tan fino,

ni los cristales con luna

relumbran con ese brillo.

Sus muslos se me escapaban

como peces sorprendidos,

la mitad llenos de lumbre,

la mitad llenos de frío,

Aquella noche corrí

El mejor de los caminos,

Montado en potra de nácar

Sin bridas y sin estribos.

No quiero decir, por hombre,

las cosas que ella me dijo.

La luz del entendimiento

me hace ser muy comedido.

Sucia de besos y arena

yo me la llevé del río,

Con el aire se batían

las espadas de los lirios.

Me porté como quien soy.

Como un gitano legítimo.

Le regalé un costurero

Grande, de raso pajizo,

y no quise enamorarme,

porque teniendo marido

me dijo que era mozuela

cuando la llevaba al río.

*

LA FEMME INFIDÈLE

Je l’emmenai à la rivière

croyant qu’elle était jeune fille,

alors qu’elle avait un mari.

Ce fut à la nuit de Saint-Jacques,

nous avions presque rendez-vous.

Les lumières se sont éteintes

Et s’allumèrent les grillons.

Là-bas, aux derniers coins de rues,

j’ai touché ses seins endormis,

qui pour moi s’ouvrirent soudain

comme des bouquets de jacinthes.

Et son jupon amidonné

crissait aigu à mon oreille

tout comme une pièce de soie

dilacérée par dix couteaux.

Sans lune d’argent à leurs cimes,

les arbres ont grandi encore,

et tout un horizon de chiens

aboie très loin de la rivière.

Une fois passés les ronciers,

les ajoncs et les épineux,

sous la touffe de ses cheveux

je fis un creux dans le limon.

Et puis j’enlevai ma cravate

et elle retira sa robe.

Moi, mon ceinturon-revolver,

puis elle ses quatre corsages.

Ni jacinthes ni coquillages

n’ont la peau aussi délicate,

ni sous la lune les cristaux

ne brillent avec cet éclat.

Sous moi ses cuisses s’esquivaient

comme des poissons apeurés,

une moitié remplies de feu,

une moitié remplies de froid.

Cette nuit-là j’ai galopé,

suivant le meilleur des chemins,

chevauchant pouliche de nacre

sans brides et sans étriers.

Je ne dirai, car je suis homme,

Les choses qu’elle me disait.

De l’entendement la lumière

m’impose grande retenue.

Souillée de baisers et de sable,

je l’éloignai de la rivière.

À l’air, au vent livrant combat,

les lys brandissaient leurs épées.

J’ai agi comme qui je suis,

comme un Gitan selon sa loi.

Je lui ai offert un ouvrage

à couture, en satin jonquille,

mais d’elle n’ai voulu m’éprendre,

car, tout en ayant un mari,

me dit qu’elle était jeune fille

quand la menais à la rivière.

 

Recours au Poème éditeurs propose aussi deux formules très simples d’abonnement à ses livres 

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recoursaupoemeediteurs.com

Matthieu Baumier
24 rue Mercière • 71250 Cluny
matthieu_baumier@orange.fr

michel host

www.recoursaupoeme.fr (chronique: Le Scalp en feu)

www.lacauselitteraire.fr (chroniques: Carnets d'un Fou / La Mère Michel a lu / Le Scalp en feu)

www.editions-hermann.fr/

www.editions-rhubarbe.com

www.1001nuits.com

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 Parution aux éditions Éres des 5 titres 2015 de la collection de poésie PO&PSY :

 

 

* Les oiseaux du petit fleuve, de François Graveline, accompagné de papiers sculptés de Madé.


 

* Solstice, d'Elisabet Jökulsdòttir, traduit de l'islandais par Catherine Eyjolfsson, et accompagné de dessins de Krochka.


 

* La mémoire des branchies, d'Eva-Maria Berg, traduit de l'allemand par Inge Kreser et Danièle Faugeras, avec des photographies de Jacqueline Salmon.

 

 

* Dans un lieu commun j'ai fini par te trouver, poésie, œuvre poétique complète de Paolo Universo, traduit de l'italien par Danièle Faugeras et Pascale Janot, avec des dessins de Michèle Iznardo (PO&PSY in extenso).

 

 

* Je suis ce que je vois. Notes sur la peinture et le dessin 1975-2015,  d'Alexandre Hollan (PO&PSY a parte)

 

 

Voir les visuels des couvertures et une brève présentation de chaque recueil.

doc1.   doc2.   doc3.   doc4.  doc5.  doc6 . doc7  doc8  doc9 doc10

       

http//:www.poetpsy.wordpress.com

 

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Joël VERNET 
fait paraître deux livres:
Voir doc1  voir doc2

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 Comptines de la récré par Claude SICRE qui nous communique :

Madame, Monsieur,

Nous vous écrivons pour une affaire exceptionnelle. J’ai fait il y à 3 ans un livre-disque qui s’appel « Les comptines de la récré » pour les éditions Bayard. Le groupe de musique qui portait ce projet s’étant séparé à la sortie du livre-disque, il n’ont pût assurer sa promotion. Et moi, étant pris par beaucoup de travaux et ne pouvant compter sur le groupe, je n’y ai pas travaillé n’on plus.

Résultat : le livre s’est peu vendu et il va passer au pilonnage bientôt.

Ci-joint la lettre de l’édition, nous avons gagné un petit délais.

Ce livre malgré quelques défauts est exceptionnel a mon sens, du point de vue de l’illustration de la langue et de la littérature française enfantine, vous pouvez lire la préface ci-jointe.

Est-ce que vous pourriez en acheter ou en faire acheter, a ce prix si modeste, un certains nombre?
Je suis certains qu’il faudra peu de temps (10 ans maximum) pour que ce livre devienne une référence dans la francophonie et un objet recherché. Sachez que de nouveaux groupes de musiques enfantines vont le reprendre et l’illustrer dans les mois qui viennent.

Voila.

Merci beaucoup si ça vous intéresse vous pouvez agir directement avec l’édition, en spécifiant que c’est moi qui vous ai prévenu., à bientôt
Claude.

 

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Patrice MALTAVERNE nous communique :

Vous trouverez ci-joint, pour information, découverte, des extraits du numéro 61 de Traction-Brabant désormais disponibles sur le Cloud d'Orange, et qui comprend les poèmes ou textes courts de Chloé Charpentier, Théophile Coinchelin, René Bourdet, Fabrice Marzuolo, Basile Rouchin, Xavier Le Floch, Delphine Gest, Antonella Aynil Porcelluzzi et P.M.

- en version pdf :  

https://share.orange.fr/?_=aAk#IbIIp5kJIa439e16a725

- en version doc : 

https://share.orange.fr/?_=LXm#MQuW6yofzq439e16a761

Si les liens ne fonctionnent pas directement, vous pouvez les copier coller.

Vous trouverez également ci-dessous, quatre liens qui vous permettront d'aller faire un tour sur le blog de Traction-brabant, des Editions Le Citron Gare  (Les recueils de Pierre Bastide, Fabrice Farre et Thibault Marthouret sont toujours disponibles), ainsi que celui de mes chroniques poétiques :

http://traction-brabant.blogspot.fr/

http://lecitrongareeditions.blogspot.fr/

http://poesiechroniquetamalle.centerblog.net/

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/

Bonne lecture !

Vos remarques sont les bienvenues...

Amicalement

Patrice Maltaverne et l'association Le Citron Gare

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Quand les poètes marchent sur le fil de l'Histoire, ils deviennent des héros de romans. Vous découvrirez dans cette 56ème lettre d'information notre nouvelle collection qui mêle la fiction et la poésie, aux côtés de Paul Éluard et Max Jacob, ainsi que tous nos événements de mai. Bonne lecture !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici, ici et ici.

 

 

 

 

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« Estives », un livret de poèmes de Romain Fustier, 

vient de paraître aux éditions du Frau. Il est accompagné de trois peintures de Patricia Monbel.

Format : 10,3 x 14,8 cm

Couverture typographiée Livret cousu à la main

Vous pouvez vous procurer ce livret contre la somme de 4 euros à l’adresse suivante :

Odile Fix

Bélinay

15430 Paulhac

Le blog des éditions du Frau : http://editionslefrau.blogspot.fr/ Un entretien d’Odile Fix, l’éditrice, avec Cécile Glasman : http://terreaciel.free.fr/maisons/frau.htm

 

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Asinus in fabula

est un « récit en vers adressé à un fantôme ».
Composé comme un chant, c’est un manège qui tourne, tourne,
et les figures défilent, passent, reviennent, disparaissent à nouveau pour ressurgir encore.
C’est une ritournelle, le chant d’un enfant qui, concentré sur son jeu,
accompagne le mouvement de ses mains en s’amusant avec les mots et les sons...

Écrit en français, Asinus in fabula est le premier recueil d'un jeune poète italien,

Guido Furci
 

à paraître début avril chez Cardère éditeur.

Descriptif et bon de souscription dans le fichier joint,
premières pages, commande et paiement en ligne sur cardere.fr

Bonne découverte ! 

voir doc
Bruno Msika

 

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Recours au Poème éditeurs et l’auteur sont heureux de vous annoncer la parution de l’anthologie de poèmes de Raymond Farina :

La maison sur les nuages

Pour découvrir et / ou vous procurer ce beau livre,
cliquez sur le titre ci-dessus
Extrait et informations sous cette couverture :

RAYMOND FARINA

Anthologie de poèmes (1979-2006)
avril 2015
165 pages
ISBN : 978-2-37226-034-3

€ 7.00

formats disponibles :
epub, mobi, pdf

 

Les livres Recours au Poème éditeurs peuvent être lus par tout le monde, avec et sans liseuse ou tablette. Un simple ordinateur suffit.

 

LA PRISON DU CIEL

*

N'être pas même
trace de sa pensée
− ce désespoir d'avoir
dépensé son dernier nuage −

Seulement
le sujet d'une biographie
entre fable & aveu
cherchant un verbe de passage
une occasion d'appareiller
pour aller fonder l'Acropole
de quelques volées de vocables
& d'oiseaux mangeurs de soleils

*

Naître en prenant le temps l'espace
comme on prend un train pour ailleurs
pour des vergers comme des pages
d'abeilles butinant le blanc
quand l'allégresse des enfants
surgit de la légende fraîche
du linge qui gifle le vent

*

Le sens de quel effacement
Le sens pensé par effraction
de quelques mots surpris
d'un silence peut-être

Attendre dans ces odeurs
qu'embrouillent les papillons
tournant autour d'une mort
qu'on ne veut pas s'avouer

Puis retrouver l'émoi
des soleils réciproques
& retourner les pierres
débourber de sa nuit
avec l'aube des mains
le peuple des cloportes

*

Cette ville insensée
Le cérémonial des passants
au néant de ce non-soleil
Et pour n'être pas rien
pour ne pas m'effacer
ces mots de mes deux langues
gardés tout près de l'âme

Être enfin libéré
de ce pays pris dans décembre
Frêle idole déambuler
dans la fraîcheur veinée de voix
mettant la vie en feuilleton
Craindre encore
la prison du ciel

*

Quelqu'un
comme une maison vide
une solitude
où se perdrait sans doute
le monde

ce qu'il reste de mots usés
jusqu'au cœur
d'inachever l'enfance

Raymond Farina est né en 1940 à Alger. Il a vécu dans différentes régions de France – notamment en Bretagne, en Lorraine et en Provence −, ainsi qu’au Maroc et en Centrafrique Après ses études supérieures à l’Université de Nancy, il a enseigné la philosophie en France, au Maroc et à la Réunion où il réside depuis 1991 avec sa famille. Il a publié une dizaine de recueils et collaboré à de nombreuses revues françaises et étrangères Il a également traduit des poètes comme Wallace Stevens, Theodore Roethke, Vittorio Sereni, Margherita Guidacci, Denise Levertov. Il a traduit récemment un choix de poèmes de Linda Pastan, publié, sous le titre de Une semaine en avrilpar Recours au Poème éditeurs.

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Matthieu Baumier
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Claude VERCEY nous communique :

Bonjour,

Mars, et ses perce-neige, primevères, jonquilles, a également vu la floraison du dernier Décharge (n° 165) : si vous ne l'avez pas reçu, vous pouvez à juste titre vous faire du mouron, mettre votre facteur à la question ou vérifier que vous êtes toujours abonné (Mais non, il n'est pas trop tard ! Voir le post-scriptum de cette lettre )

Sans doute avons-nous marqué la disparition de Tomas Tranströmer ; mais nous avons plus encore été sensibles à la disparition de ce compagnon de route que fut Michel-François Lavaur. Les articles sur l'un et sur l'autre sont encore pour l'heure à la Une de notre Magazine numérique : www.dechargelarevue.com

Et l'hommage que sur son blog Yves Artufel adresse à  la revue Traces, une sorte de grande sœur pour Gros Textes, me paraît bien venu :  Nous partagions le caractère résolument artisanal où l'on privilégie la colle et la paire de ciseaux, le dessin appliqué au rotring qu'on cale le plus droit possible l'assemblage d’une feuille après l'autre en tournant autour d'une table. Comme Michel-François Lavaur il y a de fortes chances pour que je parte sans avoir su me servir de photoshop.

Au cours de ce mois de mars, des noms nouveaux sont apparus, qui ont fait notre actualité, comme Denis Heudré et son Bleu naufrage, d'abord repéré dans l'I.D552, puis comme lauréat du 1er prix Paul Quéré, Géraldine Serbourdin, touchée elle aussi par la tragédie de Lampédusa (I.D n° 554), et  Jean-Luc Coudray (I.D547). 

Des confirmations également, Anna Jouy fait des étincelles avec ses deux poèmes proposés dans l'I.D550Danielle Fournier, carrément plébiscitée par les lecteurs du blog, Jean-Pierre Thuillat et  Jean-Pierre Chambon, plus récemment le toujours étonnant Thomas Vinau accompagnant  les masques de patates de René Lovy. On consultera la page des Itinéraires de Délestage (les I.D) pour retrouver ces articles.

Beaucoup d'attention à la question du compte d'auteur, à propos des éditions de l'Harmattan. Constatons cependant qu'il semble que la question ne fasse polémique, il est vrai que nous sommes loin désormais des arnaques méthodiquement organisées jadis par les industriels du compte d'auteur, Pensée Universelle et consorts. Consulter les Premiers témoignages des auteurs, après avoir relu l'article de Jacmo : le compte d'auteur va mal, merci.

Et c'est avril, et sa Revue du mois : Les Hommes sans Épaules n° 39, - avril qui verra la sortie de nos deux premiers Polders 2015, annoncée pour le 15 du mois : le nom du premier élu a déjà été divulgué, avez-vous remarqué ? (Lire en repérage : Un monde à aimer). Quel sera le second ?

En souhaitant bonne lecture à tous,


Claude Vercey
www.dechargelarevue.com


P.S : Oui, il est encore temps de s'abonner - ou de se réabonner à Décharge comme à la collection Polder. Et pour ceux que gonfle de mettre en chèque dans une enveloppe, il est possible d'utiliser le paiement Paypal. Si !

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Revue Traversées n°75


Comme sa couverture l'indique, le numéro 75 de la revue belge « Traversées » (14,5 cms X 21), animée par Marie-Line Schneider, Nadine Doyen, Patrice Breno, Paul Mathieu, Serge Maisonnier, Véronique Daine, comprend un dossier spécial réalisé par David Colling et consacré aux haïkus (et à ses variantes).

Avec des textes de Dominique Chipot, Jean Antonini, Coralie Berhault-Creuzet, Eliane Bidermann, Daniel Birnbaum, Marc Bonetto, Dominique Borée, Kevin Broda, Tom Buron, Claudie Caratini, Jean-Louis Chatrain, Emilien Chesnot, David Collling, Jean-Pierre Crespel, Jean-Christophe Cros, Hélène Duc, Jean-Marie Fleurot, Damien Gabriels, Jean-Paul Gavard-Perret, Patrick Gillet, Michèle Grabot, Eric Haour, Pascale Henry, Vincent Hoarau, Marie-Noëlle Hopital, Liette Janelle, Lavana Krey, Renaud Lejeune, Olivier Le Lohé, Nicolas Lemarin, Marilyse Leroux, Gérard Leysieux, Pierre-Olivier Lombarteix, Francine Minguez, Martine Morillon-Carreau, Eléonore Nicolay, Lydia Padellec, Brigitte Pellat, Minh-Triét Pham, Jarnac Planty, Christiane Ranieri, Daniel Salles, Louise Vachon, Nathalie Wargnies, Isabelle Ypsilantis, Murielle Compère-Demarcy.

Les autres auteurs (de poèmes et de nouvelles) publiés dans ce numéro 75 sont : Mathieu Baumier, Juliette Bouly, Marie-Claude Bourjon, Evelyne Charasse, Eric Chassefière, Miguel Coelho, Marie-Josée Desvignes, Laurent Dumortier, Michel Dunand, Gwen Garnier-Duguy, Gautuier Hanna, Eugène Gidali, Christophe Gills, jean-Claude Goiri, Bernard Grasset, Francis Hardy, Martha Izsak, Léon Laffut, Michèle Laveaux, Mireille Le Liboux, Claude Luezior, Jean-Pierre Parra, José Pinto de Sà, Sarah-Yeelen Purnelle, Nathalie Rochard, Harry Spizlmann.

Et le mot de la fin de Patrice Breno.

Cette fois-ci, je citerai un poème de Michèle Leveaux : « mais je dis que tu regardes peut-être l’étoile de verre bleu / que je t’ai donnée / qui me venait de marie / et que, toi aussi, parfois, tu la tiens au fond de ta main / en pensant / que j’ai souhaité / qu’elle te protège – toujours. »

Les illustrations sont de Juliette Bouly, Michèle Gros, Jean-Michel Marchetti, Andrée Schatz, Patrice Yan Le Flohic et Didier Mélique.

Pour en savoir plus sur la revue « Traversées », dont le numéro est vendu 8 € (en France), vous pouvez vous rendre sur son blog : http://traversees.wordpress.com/

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Alain HELISSEN nous communique :

Bonjour,

L’un de mes derniers livres d’artiste encore disponible…


Alain Helissen

Ce que tu... voir doc1   doc2

Le poème inédit "Ce que tu..." (oeuvre de jeunesse) trouve ici une

mise en espace originale accompagnée de six collages-papiers et

gouaches.(voir extraits en pièces jointes)

Livret de 12 pages reliées à la main(feuilles Bristol), au format 14 x 21 cm.

Il existe 2 exemplaires différents de ce livre, numérotés

1/2 et 2/2, chacun constituant un livre unique.

L’exemplaire N°1/2 n’est plus disponible.

L’exemplaire N°2/2 (signé)

 est proposé au prix de 35 euros (port offert, sauf hors France).

Contact préalable pour réservation ou complément d’information :

alain.helissen@live.fr

cordialement, Alain Helissen

http://alainhelissen.over-blog.com


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Parution du premier volume de la collection des Cahiers de Recours au Poème
 Volume consacré à la figure essentielle de Roger Munier  

Cahier de Recours au Poème / Roger Munier

Pour découvrir et / ou vous procurer ce très beau livre,

cliquez sur le titre ci-dessus

 

La poésie moderne n’a pas d’avenir. Plus exactement, son avenir n’est pas devant elle, mais en-deçà, dans l’origine qui la fonde. C’est un futur antérieur.

Roger Munier,
extrait de texte inédit


Informations sous cette couverture :

SOUS LA DIRECTION DE CHANTAL COLOMB

Livre collectif comportant
des documents inédits et des études
sur l'oeuvre de Roger Munier
avril 2015
140 pages
ISBN : 978-2-37226-038-1

€ 8.00

formats disponibles :
epub, mobi, pdf

Les livres numériques Recours au Poème éditeurs peuvent être lus par tout le monde, avec et sans liseuse ou tablette. Un simple ordinateur suffit.

Coordonné par Chantal Colomb, ce livre collectif fondamental consacré à Roger Munier comporte des documents inédits, dont un entretien inédit entre Chantal Colomb et Roger Munier, et des essais, de (et/ou) sur :

Roger Munier
Jacques Réda
Octavio Paz
René Char
Bernard Noël
Jean Marc de Samie
Patrick Zeyen
Chantal Colomb
Roger Planchon
Sébastien Hoët
Pierre Dubrunquez
Gabrielle Althen
François Lallier
André Frénaud
Jean Maison
Gérard Bocholier
PIerre-Albert Jourdan
Gilles Jourdan
Jean-Paul Gavard Perret

Après des études de Lettres modernes et de Philosophie à la Sorbonne Paris IV, Chantal Colomb a soutenu une thèse de Littératures comparées publiée sous le titre de Roger Munier et la « topologie de l’être » chez l’Harmattan en 2004. Elle a enseigné à l’université de Paris X et de Paris 3, puis à l’université de Trèves avant de se tourner vers l’enseignement de l’allemand en France. Elle est aussi l’auteur d’un entretien avec Roger Munier, Sauf-conduit, paru en 1999 chez Lettres vives. Elle a coordonné le dossier consacré à Bernard Noël par la revue Europe (n° 981-982, janvier-février 2011) et publié de nombreux articles sur la poésie contemporaine. Elle a également publié des traductions de l’allemand, des poèmes et des proses en revue. Son dernier récit, Portrait d’un artiste inconnu, a paru chez L’Harmattan en mars 2014. Elle oriente actuellement ses recherches vers le domaine de la psychanalyse.

 

Recours au Poème éditeurs propose aussi deux formules très simples d’abonnement à ses livres 

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Alain Helissen

L'enfance de l'art

 

 

Dans les marges de mes cahiers apparaissent parfois de petits dessins gribouillés machinalement en attendant, pour l'écrivain que je suis, l'inspiration. Ces dessins se ressemblent souvent et ressemblent aussi aux dessins de l'enfance, surgis à l'état brut sans souci de perfectionnement.

C'est là le point de départ de ce livre unique : L'enfance de l'art.

L'ouvrage comporte 4 peintures (acrylique) et 1 collage papier.

Format : 16 x 24 cm

10 pages, reliées à la main ; papier canson de différentes couleurs

Couverture : papier fait main, beige.

Prix de vente: 30 euros (port offert sauf hors France)

Réservation indispensable, afin de s'assurer de la disponibilité de l'ouvrage.

Contact : alain.helissen@live.fr

VOIR DOC1   DOC2
http://alainhelissen.over-blog.com

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Paul ARRIGHI nous communique : 

J’ai bonheur de vous faire connaître que vient de paraître la troisième réédition du livret de mes poésies et photographies  intitulé : «Fulgurance des êtres, des Lieux et des Mots».
J'ai  édité moi-même  ce Livret entant qu'auteur et éditeur  sous le nom de  « Paul Daubin éditeur ».
Il comprend 126 pages dont 47 photographies, provenant pour la plupart de mes propres photographies en couleur.
La belle préface, aussi perspicace qu’emphatique est l’œuvre de mon ami, l’authentique Poète Toulousain et Chroniqueur régulier sur « Radio Occitania », Christian Saint-Paul.

Ce Livret est organisé autour des cinq thèmes suivants :
– 1°) « Souvenirs d’Enfance »; ce sont mes souvenirs les plus lointains de mon enfance en Kabylie (Bougie et Akbou) et à Luchon dans les Pyrénées.
– 2°) «Les chemins de Toulouse »; je dépeins d'abord  Toulouse et le Languedoc   dans leur riche  Histoire,   puis les quartiers de ma jeunesse Toulousaine, le faubourg Bonnefoy, Croix-Daurade, le Lycée Raymond Naves des « années ardentes et tumultueuses », mais surtout du « bonheur de vivre » (1965-1974), ensuite les autres quartiers, lieux et bâtiments  pittoresques de notre Toulouse, cette belle ville Occitane,  où j’ai résidé, après mon retour en 1992,  flânant quand j'en avais le loisir  et me rendant régulièrement dans cette  somptueuse  Bibliothèque de recherche « Périgord ».

– 3°) «La Corse, L’ile enchanteresse», correspond à des poèmes en Français sur La Corse surtout la région de Vico et le canton des « Deux Sorru » avec mon cher Letia, sur les lieux et les arbres souvent emblématiques de cette île qui aimante et capte ses amoureux et ses fidèles et leur rend leur attachement au centuple.

– 4°) Les «Poésies de Révolte et de Feu » décrivent mes passions parfois mes indignations. Aujourd’hui que j’ai atteint soixante ans, prétendument l’âge de la sagesse, j’ai encore gardé vivant cette faculté de m’indigner. J' ai apporté un hommage  au  grand poète Italien Giacomo Leopardi, aux participants de la  « Retirada »,  blessure faite à l’Esprit jamais refermée pour les enfants et les amis de « Toulouse l’Espagnole », à  Mikis Theodorakis, à  John Lennon assassiné par l'un des fous de cette indigne  violence sans cesse renaissante sous  des prétextes et visages multiples.

– 5 °) Le « Renouveau des saisons et petits bonheurs » traite des saisons tout particulièrement des somptuosités de l’automne, des lieux que j’ai aimés, de la création et de la boisson du vin et ce n’est pas le moindre de mes reconnaissances, de nos compagnons et amis les Chiens sans lesquels nous vivrions plus seuls et moins fidèlement aimés. 

                                                                              ***

Le prix de vente modique proposé de dix euros est au strict prix de revient, c’est-à-dire sans rechercher le moindre bénéfice.
Pour l’acquérir il vous suffirait de m’envoyer un chèque d’un montant de dix euros et  d' une enveloppe timbrée au tarif normal mentionnant votre adresse postale choisie  afin que je sois en mesure d’effectuer l’envoi postal.

Vous pourriez aussi préférer en faire directement l’acquisition sur les sites de vente de livres AMAZON et PRICEMINISTER avec mon nom et le titre du livret.

Je vous souhaite d’en avoir une curiosité qui sera assurément récompensée par une lecture agréable, de ce Livret au style volontairement simple mais somptueusement illustré et favorisant notre amie trop méconnue, la rêverie.

                                                                             ***

Paul Arrighi (Historien, Biographe de Silvio Trentin, Homme de Lettres et Poète à ses meilleures heures.)

Adresse : Paul Arrighi, 20 Bd de Bonrepos – Résidence « La Comtale », Bat. C , Bal. N° 8 – 31000 Toulouse
Courriel : paul20.arrighi@numericable.fr
Tel mobile (pour SMS) : 06 50 29 79 30

 

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de Georges Cathalo 

La feuillée des mots

(Henry éd., collection La main aux poètes, octobre 2014),

avec une illustration de couverture d'Isabelle Clément, 32 pages, 8 euros

 

à commander auprès des éditions, Parc d'activités de Campigneulles 

– 62170 Montreuil-sur-Mer ou contact@editionshenry.com

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Quotidiennes pour interroger

(La Porte éd., collection Poésie en voyage, octobre 2014),

 non paginé (20 pages), 3,80 euros

 

à commander auprès des éditions, 215 rue Moïse Bodhuin – 02000 Laon

-&-&-&-

 

Près des yeux près du cœur

(La Renarde Rouge éd., collection La Petite Collection, septembre 2014),

 avec des illustrations d' Evelyne Bouvier, 48 pages, 15 euros

à commander auprès des éditions, 28 rue Germain Bedeau – 89510 Véron ou renarderouge@orange.fr

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Un souffle poétique venu d’Haïti !

by Editions Caractères

Castera

Ce poème de Georges Castera est tiré de son recueil Le trou du souffleur.

Le souffleur est comme le poète l'observateur de la réalité qui l'entoure, attentif aux désirs qui l'envahissent. La femme, toujours dans son champ de vision est au centre de cette poétique où la vie et la mort se côtoient inlassablement.

 
Editions Caractères | novembre 6, 2014 à 11:36 | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-UU
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Editions UNES 
nouveautés novembre 2014
voir doc1  doc2

 

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En ce mois de novembre notre première collection pour la jeunesse voit le jour et incite à prendre les armes...de la poésie ! Vous saurez tout sur Poés'idéal  et les deux premiers ouvrages Guerre à la guerre et Vive la liberté ! en lisant cette 50ème lettre d'informations. Vous y retrouverez aussi nos rendez-vous du mois, avec notamment le Salon L'Autre Livre et le Salon du livre de jeunesse de Montreuil !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici et ici.

          

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Anne Slacik

 

A l'occasion des 7 expositions personnelles dans les Yvelines de décembre 2014 à septembre 2015 :

 

 

Edition du catalogue

Anne Slacik

Présences. Je suis là où je vois. Peintures 2010-2014

 

 

220 x 270,  160 pages, livre relié  - 25 euros

 

Un flux qu’on voudrait perpétuel, texte de Bernard Chambaz

Anne Slacik. Solitaires, texte de Philippe Luez

170 reproductions couleurs d’œuvres de Anne Slacik :

Figurations. Pourpres; livres peints et œuvres sur papier; Jardins;

Licht. Paysages contemporains; La Danse idéale des constellations;

Cabinet de curiosités; Les Solitaires

Liste des expositions personnelles, livres peints et collections publiques

Bibliographie

 

 

Parution en novembre 2014

IAC Editions d'art

http://www.editions-iac.com/livre-333-anne-slacik.html

 

 

PRESENCES

7 EXPOS - 7 LIEUX

FIGURATIONS . POURPRES

10 décembre 2014- 22 mars 2015

Commanderie des Templiers de la Villedieu, Saint-Quentin-en-Yvelines

 

OEUVRES SUR PAPIER ET LIVRES PEINTS

4 mars- 17 avril 2015

Maison de la Poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines

 

JARDINS

11 mars- 11 avril 2015

Galerie Le Corbusier, Trappes-en-Yvelines

 

LICHT, GRANDES PEINTURES

18 mars- 3 mai 2015

Salle d'exposition, Guyancourt

 

LA DANSE IDEALE DES CONSTELLATIONS

17 avril- 31 mai 2015

Ferme du Mousseau, Elancourt

 

CABINET DE CURIOSITES

11 mai- 31 mai 2015

Maison des Bonheur, Magny-les-Hameaux

 

LES SOLITAIRES

6 mai- 22 septembre 2015

Musée National de Port-Royal-des-Champs, Magny-les-Hameaux

33 (0)6 13 75 70 65

http://anne.slacik.pagesperso-orange.fr/

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Danièle FAUGERAS nous communique :

Après

Quelque chose n'est (ed. Les lieux dits, coll. Deux rives)

et

Éphémérides 03 (Propos2éditions),

j'ai le plaisir de vous annoncer la parution d'un troisième recueil de mes poèmes, en cette année 2014, grâce aux soins attentifs de mes amis créateurs de la nouvelle maison d'édition en ligne recoursaupoemeediteurs.com.

 

Paroles obliques rassemble des poèmes en prose 

que j'ai écrits entre 1988 et 1994, restés inédits jusqu'à ce jour.

 

En espérant que vous retrouverez votre chemin dans ces publications 2014 assez chronologiquementdésordonnées...

(Mais il est vrai que lapoésie, comme l'inconscient, n'a pas d'âge !

 

Je vous souhaite de bonnes lectures avec

 

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Voyage en poésie !

by Editions Caractères

Presque v'île

Laissez vous entraîner dans cet univers flou et cotonneux qui est celui du rêve et de l'imaginaire esquissé par Marlena Braester.

Poème extrait de son recueil Presque v'île.

 
Editions Caractères | octobre 23, 2014 à 11:08 | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Uj
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Un livre-cri de révolte aux couleurs de Pôle Emploi, porte-drapeaux de tous ceux que le chômage broie, En fin de droits d'Yvon le Men ; deux événements exceptionnels à la Maison de la poésie de Paris ; un déménagement et toutes les lectures et rencontres de ce mois d'octobre se trouvent dans cette 49ème lettre d'informations. Bon début d'automne à tous !
 

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici et ici.

 

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 Vient de paraître :
 

Jaurès à Toulouse  lieux de mémoires 

de Francis Pornon dessins d'Amina Ighra (Ed. Loubatières)

 voir couverture


 

Bulletin de commande

NOM :

Prénom :

Adresse :

Téléphone :

Adresse email :

Nombre d’exemplaires à 25 € (port compris) :                 

soit une somme totale de :

A commander par envoi de chèque joint à ce bulletin à :

Francis Pornon 23 rue d’Orbesson 31100 TOULOUSE

 

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NOUVEAUX DÉLITS

Revue de poésie vive et dérives

Numéro 49

Oct. Nov. Déc. 2014

 

 

En guise d’édito :

 

Le missionnaire européen était assis accroupi avec les Indiens Hurons en grand cercle autour d’un feu de camp. C’était une position à laquelle il n’était pas habitué, et il avait le sentiment qu’elle ne l’aiderait pas à convaincre les Indiens de partager son point de vue. Néanmoins il leur a exposé courageusement l’idée selon laquelle il n’était pas un mais deux. En l’entendant les guerriers ont éclaté de rire et ont commencé à jeter de gros bâtons et de la poussière dans le feu. Un étrange mélange de terreur et de ressentiment a alors envahi le cœur du missionnaire. Lorsque les rires ont cessé, il a poursuivi son exposé. Avec patience, il a expliqué aux sauvages que ce corps fait de chair et de sang qu’ils voyaient assis devant eux n’était qu’une coquille extérieure, et qu’en lui un corps invisible plus petit habitait, qui un jour s’envolerait pour vivre dans les cieux. Les Hurons ont gloussé de plus belle, en se faisant des signes de tête entendus tout en vidant les cendres de leurs pipes en pierre dans le feu crépitant. Le missionnaire avait le sentiment d’être profondément incompris, et était sur le point de se lever pour regagner sa tente, vexé, lorsqu’un vieil homme près de lui l’a arrêté en lui saisissant l’épaule. Il lui a expliqué que tous les guerriers et les chamans présents dans le cercle connaissaient l’existence de ces deux corps et qu’ils avaient également de petits êtres qui vivaient en eux, au cœur de leurs poitrines, et qui s’envolaient eux aussi au moment de la mort. Cette nouvelle a réjoui le missionnaire, et l’a convaincu que les Indiens étaient désormais sur le même chemin spirituel que lui. Avec un zèle renouvelé, il a demandé au vieil homme où, selon son peuple, ces petits êtres intérieurs s’en allaient. Les Hurons ont tous recommencé à rire, et le vieil homme a désigné du doigt la cime d’un énorme cèdre millénaire dont la silhouette se dressait dans la lueur du feu. Il a dit au missionnaire que ces « petits êtres » allaient au sommet de cet arbre puis descendaient dans son tronc et ses branches, où ils vivaient pour l’éternité, et que c’était pour cela qu’il ne pouvait pas l’abattre pour construire sa petite chapelle.


Sam Shepard
in Chroniques des jours enfuis
 

AU SOMMAIRE

 

 

Délit de poésie : Thomas Sohier, Patrick Devaux (Belgique) et Jean-Jacques Dorio


 

Délit pin pom et autres poèssessions : Paul Féval

 

Délit de réponse : Pascale de Trazegnies & Cathy Garcia,

Poème  pour  deux  voix  ou  deux  mains

 

Délit de suite dans les idées : Cyril C. Sarot, Ces traces laissées dans le sable

 

Résonances : Chroniques du Diable consolateur de Yann Bourven

 

 

Les Délits d’(in)citations sont aux petits coins.

Vous trouverez le bulletin de complicité. Bien-sûr que vous trouverez le bulletin de complicité !!

 

 

Illustrateur : Jean-Louis Millet

 

Les illustrations ont été réalisées par détournements d’œuvres de van Gogh, Rodin, Schiele, Drakkar, van Malderghem, anonymes préhistorique, celte, hopi, internet, cg & jlmi.

 

Et si vous alliez faire un tour au Musée Improbable ? http://jlmi94.hautetfort.com
 

Mon tragique à moi, c'est la vie quotidienne : la muflerie, la stupidité, le comportement de l'homme moyen, une sorte de méchanceté uniforme et institutionnelle.

 

Francis Blanche
 

Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes.

Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d’insouciance.

Nous avons chanté, dansé.

Quand je dis « nous », entendons un quart de l’humanité tandis que le reste était à la peine.

Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l’eau, nos fumées dans l’air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout du monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu’on s’est bien amusé.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l’atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.

Franchement on s’est marré. Franchement on a bien profité.  Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu’il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre. Certes.

Mais nous y sommes. A la Troisième Révolution.  Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu’on ne l’a pas choisie. « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.

Oui.

On n’a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.  C’est la mère Nature qui l’a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies. La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.  De pétrole, de gaz, d’uranium, d’air, d’eau.

Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l’exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d’ailleurs peu portées sur la danse).  Sauvez-moi, ou crevez avec moi.

Évidemment, dit comme ça, on comprend qu’on n’a pas le choix, on s’exécute illico et, même, si on a le temps, on s’excuse, affolés et honteux.

D’aucuns, un brin rêveurs, tentent d’obtenir un délai, de s’amuser encore avec la croissance. Peine perdue. Il y a du boulot, plus que l’humanité n’en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l’eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l’avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, - attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille - récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n’en a plus, on a tout pris dans les mines, on s’est quand même bien marrés).

S’efforcer. Réfléchir, même.  Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.  Avec le voisin, avec l’Europe, avec le monde.  Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.  Pas d’échappatoire, allons-y.

Encore qu’il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l’ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.  Qui n’empêche en rien de danser le soir venu, ce n’est pas incompatible.  A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie - une autre des grandes spécialités de l’homme, sa plus aboutie peut-être.  A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.  A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.

 

Fred Vargas, 2007


 


BULLETIN COMPLICE01.doc

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Jean-Pierre CRESPEL publie son dernier livre aux Editions TENSING. Il sera présent au Marché de la Poésie
Place Saint-Sulpice en Juin prochain au stand des Editions Tensing  voir doc

 

 

           EDITIONS TENSING      http://www.editions-tensing.fr/

 Pour votre commande    Veuillez préciser votre adresse

    en envoyant un mail à :     contact@editions-tensing.fr

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UNE ÉTOILE COMPTABILISÉE

AU COEUR DES SOUVENANCES ...de Monique Lise Cohen,

www.amazon.fr/livres/dp/2322030899  

Dialoguer en poésie Association sur Amazon.fr. Livraison gratuite ...  3,90

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Vient de paraître aux Editions des Deux-Siciles

Marie de Quatrebarbes

Transition pourrait être langue

6 peintures originales de Michel Braun

Suivi d’un texte de Caroline Sagot Duvauroux

Voir doc

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Vient de paraître, un livre magnifique sur l'Ariège,
cette terre occitane qui en a épousé l'Histoire
et parcourue par un poète

qui l'a longtemps habitée et lui est resté fidèle:

L’Ariège Vérités et émotions

Pa t r imo i n e & t e r r i t o i r e s

Texte de Michel Cosem et photographies de Fabien Boutet

Préface de Jean-Pierre Bel

Un Autre Reg’Art éditeur

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Le recueil de poésie de

Marie-Josée Desvignes

Requiem

sort de presse le 16 septembre
Le thème est un sujet sensible, en premier lieu pour les femmes ;
je vous laisse le découvrir sur la présentation jointe à ce message...

Le recueil est illustré par 12 encres originales de l'auteur

Rendez-vous sur www.cardere.fr pour en découvrir quelques pages...

Bruno Msika
  Cardère éditeur / l'Éphémère
42 rue du Pont de Nizon, 30126 Lirac (France)
Tél : 04 66 79 90 42
Fax : 09 72 13 11 11
mob. 06 03 17 85 65

SITE WEB : http://www.cardere.fr
Commande et réglement en ligne
Paiement sécurisé carte bleue ou Paypal

 

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Recueils de poésie à paraître mi-mai 2014
 
 
Les éditions cardère publient deux nouveaux ouvrages en poésie : 
   
" Petits poèmes diversement appréciables mais néanmoins écrits avec grande attention... "
de Olivier Bastide, publié avec l'aide du Centre national du Livre ;
un recueil de poésie à l'écoute de pièces au piano d'Erik Satie,
accompagné d'un CD audio (écouter un extrait sur http://www.cardere.fr )
 
" L'homme au pliant de toile " un conte poétique de Jean-Yves Lenoir
qui vous emmènera avec surréalisme dans la lointaine... vallée de l'Indre et la douceur de la Touraine !
(voir détails sur:  http://www.cardere.fr ) 
cliquez pour voir 
  une présentation de ces deux ouvrages qu'une offre de souscription

(il est possible également de souscrire en ligne sur : http://www.cardere.fr ).
 

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Voici la couverture du dernier recueil
 d' IMASANGO,
 
LE BAISER DES PAS DE NOS SILENCES
 Robert Lobet a réalisé ce livre d'artiste accompagnés de dessins originaux».
Parution aux éditions de la Margeride. Série limitée.

IMASANGO a présenté ce livre lors de l'émission du jeudi 24 octobre 2013; vous pouvez l'écouter en cliquant sur la rubrique :

 "Pour écouter les émissions"
 

Propos:
Je suis née en Nouvelle-Calédonie, terre coloniale au passé violent.
Mes mots sont une pirogue envoyée sur l'océan, une main tendue, une liane à saisir, un flux de vie métis pour aborder aux rivages de tolérance.
Je suis pour les frontières que l'on efface, les différences que l'on oublie, avec cette part d'humanité qu'il revient à chacun de faire grandir, en oubliant blessures et rancoeur.

Je suis pour l'éclosion de notre féminité dans ce qu'elle a de plus merveilleux: le don de la vie, les courbes adoucissant les angles, l'espoir que l'on enfante, offrant le lait des jours meilleurs pour allaiter nos soifs de paix.
 

IMASANGO
EXTRAITS DE
"Le baiser des pas de nos silences"
voir doc

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Extraits et photos du livre.pdf

Le nouveau roman de Michel COSEM

"Les oiseaux de la tramontane"

paraît aux éditions Lucien Souny.

 « Un écrivain se retrouve seul dans sa maison d'enfance au cœur des Corbières non loin de la Méditerranée et de l'Espagne. Il a l'intention d'écrire l'histoire d'un château cathare très proche. Mais c'est sans compter avec l'histoire du lieu. Il découvre une statue grecque qui le replonge dans l'histoire de l'Antiquité. Il rencontrera aussi la fille d'un républicain espagnol. Une histoire infiniment touchante qui fait la part belle aux sentiments, au cœur d'une région âpre et magnifique. »

La dépêche du Midi.  Voir doc.

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TOULOUSE

le livre est paru et disponible

 

TOULOUSE
BALADE AU COEUR
DE LA VIE TOULOUSAINE
Regard contemporain porté par l’oeil amusé
et passionné de Dominique VIET et la plume
aiguisée de Christian SAINT-PAUL.
Édition multilingue : Français, occitan, espagnol & anglais
Vous pouvez commander en ligne à:
 
EN VENTE DIRECTE EXCLUSIVEMENT
Ce livre est vendu au bénéfice de l’association CeRESA
qui oeuvre en faveur des enfants autistes
MERCI

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 Isabelle LEVESQUE

a obtenu le Prix des Trouvères décerné sur manuscrit

 (son titre Ravin des nuits que tout bouscule)

fin novembre par les éditions "Ecrits du nord/ Henry".

Cette maison d'éditions est animée par Jean Le Boël.

Le livre sortira bientôt et sera signalé lors d'une émission qui lui sera consacrée.

Voir:  http://www.editionshenry.com/index.php?id_article=362

 Voir aussi : http://poezibao.typepad.com/poezibao/2014/01/note-de-lecture-olivier-barbarant-%C3%A9l%C3%A9gies-%C3%A9trangl%C3%A9es-par-isabelle-l%C3%A9vesque.html  

http://pierresel.typepad.fr/la-pierre-et-le-sel/2014/01/recueil-b%C3%A9atrice-marchal-%C3%A9quilibre-du-pr%C3%A9sent.html

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Penny WALL parle à France Bleue du livre TOULOUSE
écouter en cliquant sur :

https://vimeo.com/84884361

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TOULOUSE

vient de paraître:

Élie Szapiro, Monique Lise Cohen et Pierre Léoutre
Histoire des communautés juives de Toulouse,
des origines jusqu'au III° millénaire

Voir doc

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Le nouveau livre de poèmes de Michel COSEM vient de paraître

 aux éditions L'Harmattan :

AINSI SE PARLENT LE CIEL ET LA TERRE

Poèmes
Michel Cosem
Préface de Jean Joubert
LITTÉRATUREPOÉSIE EUROPE


Le grand travailleur littéraire est aussi un grand voyageur, dont les découvertes de paysages nouveaux nourrissent sa création, tout particulièrement dans le domaine de la poésie. Michel Cosem a rassemblé ici ses carnets de voyage avec des textes brefs, que l'on peut considérer comme des poèmes en prose. Leur concision, le choix subtil des détails révélateurs d'un lieu, à la fois dans sa réalité et dans son esprit, en font de petits chefs-d'oeuvre de finesse et d'émotions discrètes.

ISBN : 978-2-343-02203-1 • décembre 2013 • 94 pages

Prix éditeur : 11,5 € 10,93 € / 72 FF

voir : http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=numero&no_revue=&no=42079

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Les éditions Cardère publient

Cathy GARCIA

et Marie-Françoise Di FRAJA avec des photographies de Cathy

Voir doc appel à souscription

 

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La poésie au coeur des arts

anthologie établie par Bruno Doucey et Christian Poslaniec

éditions Bruno Doucey

Livre dédié à Matiah ECKHARD

jeune pianiste et poète disparu à l'âge de 19 ans

Le piano ardent

poème de Ronny SOMECK

traduit de l'hébreu par Michel Eckhard-Elial

voir doc   pageslivre.pdf

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Un communiqué de Patrick DUBOST :
En novembre 2013 sortaient deux livres à la Rumeur Libre.
L’un est tout frais, écrit dans l’automne 2012, à destination du théâtre. Il est pensé pour au moins quatre voix de femmes et une voix d’homme : “mélancolie douce”.
L’autre est une sorte de bilan de 25 années de textes écrits pour être dits, des textes au départ pour ma propre bouche, souvent testés et travaillés en studio son et / ou en lectures / performances. Titre : “Œuvres Poétiques (tome 2)”. Ces textes ont aussi trouvé, au fil du temps, diverses formes d’existence dans les marges du théâtre ou de la musique.

La Rumeur Libre accomplit un travail remarquable.
Je suis heureux et chanceux d’un tel accompagnement.

Patrick Dubost
 

Œuvres Poétiques – Tome 2

Ce livre de 288 pages comprend 35 textes,
pour la plupart réédités, souvent retravaillés, mais certains aussi inédits.
Format 141 x 192
22 euros
Pour voir la liste des textes insérés dans ce tome 2 :
http://www.larumeurlibre.fr/catalogue/collections/la

bibliotheque/oeuvres_poetiques_tome_2_patrick_dubost

ISBN : 978-2-35577-042-5
mélancolie douce
 Prix Jean-Jacques Lerrant des Journées de Lyon des auteurs de théâtre 2013.
 

Je n’ai jamais bien su
       qui je suis.
Ni à quoi je ressemble.
Ni où je vais.
Je crois que je ne
      ressemble à rien et que
      je ne vais nulle part.
Je sais que la nuit
      me va bien.
Je suis là ce soir pour tenter
      quelque chose avec vous.

Format 141 x 192 80 pages
14 euros

ISBN : 978-2-35577-055-5
Pour commander :

http://www.larumeurlibre.fr/auteurs/patrick_dubost
http://patrick.dubost.free.fr/
 

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Monique Lise COHEN
vient de publier :

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VIENT DE PARAITRE

 

VIBRATIONS EN PARTAGE éditions

La Porte des Poètes (Paris)

Ce nouveau livre de Jean-Louis Clarac rassemble les textes qu’il a écrits pour présenter les poètes invités dans les « Moments poétiques d’Aurillac » entre janvier 2006 et mai 2013 au théâtre d’Aurillac. Les 61 poètes sont aussi présents par un poème inédit ou choisi dans leur œuvre publiée.

 

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GUERRES ET AUTRES GÂCHIS

poèmes de Cathy Garcia  illustrations de JL Millet

A paraître en juin aux Ed. Nouveaux Délits

 

32 pages, agrafé et imprimé sur beau papier calcaire 100gr

et 250 gr pour la couverture (papier recyclé)

 

10 €  plus port

"Il y aura bien comme de coutume des traîtres des lâches 

Des gens simplement comme vous et moi 

Il y aura comme toujours du sang de nombreux ossuaires 

Du sordide et une fleur peut-être nucléaire

 Pour que tout puisse recommencer les plus jamais ça ! 

Tout comme avant, au bon vieux temps. "

 Les pères sont toujours en train de faire une guerre,

et quand ils en reviennent, les enfants ont grandi

et les mères sont mortes.


René Barjavel

in Colomb de la lune

Pour commander voir : http://associationeditionsnouveauxdelits.hautetfort.com/
 

http://cathygarcia.hautetfort.com/ http://gribouglyphesdecathygarcia.wordpress.com/ http://imagesducausse.hautetfort.com http://delitdepoesie.hautetfort.com/ Si vous souhaitez vous abonner à la liste de diffusion de mes notes de lecture, vous pouvez le faire par simple demande à cette même adresse mail.


 

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Monique-Lise COHEN 

vient de publier chez BOD :

D'une parole d'amour à la naissance des archives - 

Google ...books.google.com/.../D_une_parole_d_amour_à_la_naissance_des.html?id..

En 1980, après le décès de mon père, Joseph Georges Cohen,

 qui fut pendant la guerre membre et secrétaire de l'Organisation Juive de Combat, je trouvai ...

  1. 16 mai 2014 - Accédez à toutes les infos sur le livre Roman d'une âme simple :

  2.  résumé, avis des internautes, actualité de l'auteur, ...

  3. Monique-Lise Cohen | MyBOOX

Ces livres feront l'objet d'une prochaine émission

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des nouvelles de  la 

maison de la Poésie  Languedoc-Roussillon 
et du Marché de la Poésie
Cliquez sur :

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Contre-allées nous communique:

Nous sommes heureux de vous annoncer la parution prochaine 

d’une troisième série d’opuscules dans la collection « Lampe de poche » :

 

Après d’Armand Dupuy ;

Ton visage me tient ensemble de Matthieu Gosztola ;

– Bains Deligny d’Armelle Leclercq ;

C’est pourquoi voler de Laurent Mourey.

 

 Vous pouvez vous procurer l’un ou la totalité des quatre opuscules

 en renvoyant le bulletin de souscription.

 Les couvertures des quatre opuscules ont été dessinées par Loïc Gaume.

 Vous pouvez en savoir davantage sur son travail d’illustrateur 

en vous rendant sur les sites suivants :

http://loicgaume.blogspot.be et http://lesdetails-editions.blogspot.be.

 

 Vous pourrez aussi nous rencontrer ces samedi 5 et dimanche 6 juillet

 au festival « Samedi poésies dimanche aussi »

 de Bazoches-du-Morvan dans la Nièvre. 

Plus de renseignements ici : http://poesie.baz.free.fr/

 Contre-allées

Revue et éditions
Amandine Marembert & Romain Fustier
16 rue Mizault
03100 Montluçon
http://contreallees.blogspot.com/

2014\souscription 2014.doc

 

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le livre de l'été de Louis DUBOST  Cde Tarabuste.pdf

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Paul DAUBIN alias Paul ARRIGHI fait paraître :
"Fulgurances des Êtres, des Lieux Et des Mots" 
Textes et Poésies.
-Voir la page de couverture du recueil
- la 4e de couverture avec les textes : - présentation du recueil et de l'auteur
 le livret est en vente sur Amazon et Priceminister. 
envoi depuis le domicile de l'auteur
 à contacter par courriel à l'adresse :
 paul20.arrighi@numericable.fr
 (prix : 10€ + 2,50 € de participation aux frais d'envoi) 
en précisant l'adresse d'envoi.

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Va paraître :

Francis PORNON

Jaurès à Toulouse

lieux et mémoire

dessins de IGHRA 

avec

Jean-Michel DUCOMTE

Georges MAILHOS

Rémy PECH

éditions Loubatières

25 €

voir les couvertures
 

A la brasserie Le Florida à Toulouse
le mercredi 24  septembre  à partir de 18 h, 
 aura lieu la présentation-signature du livre
 en présence des collaborateurs, 
accompagnée d’exposition de dessins et de tapas-sangria offerts.
 
www.francispornon.fr

 

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  EDITIONS  
 
Plus d'un million d'internautes ont visité notre site
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Témoins / Témoignages
Une collection consacrée aux hommes
et aux mouvements,
au vif de leur humanité
 

 
A paraître en septembre-octobre 2014
 
Marta Hillers. Un scandale, de Françoise Maffre Castellani  

 
Marta Hillers, une inconnue… Françoise Maffre Castellani a été séduite par son histoire, exceptionnelle de vérité et de courage, et par sa personnalité, bouleversante.
Dans cet essai, l’auteur décrit l’Allemagne en fin de guerre ; il y a là de nombreux personnages, terrés dans une cave sombre, attendant l’arrivée des « Ivan ». Berlin, la ville de Marta Hillers, en ses ruines et en son effondrement, se détache, inoubliable. Le lecteur ressentira l’impression d’épouvante que le récit cerne au plus près. Quelques grandes figures affleurent ; d’autres, odieuses, s’imposent néanmoins.
Françoise Maffre Castellani écrit avec précision et sensibilité. Son livre impressionne ; il est drôle parfois, comme l’était la Marta Hillers, à ce jour méconnue.

Françoise Maffre Castellani est née en 1932 à Paris. Agrégée de lettres modernes, elle a enseigné à l’Éducation nationale. Elle est également licenciée en théologie. Elle est restée marquée par la guerre, les camps d’extermination et la barbarie partout dans le monde. Son expérience et l’écriture lui ont donné la sensibilité indispensable à la rédaction d’essais sur des tragédies qu’elle n’a pas vécues personnellement. Elle
a publié aux Éditions Orizons, en 2011, Edith Stein, « Le livre aux sept sceaux », Daniel Cohen, l'Ecriture et la Vie, 2014.

ISBN : 978-2-296-08866-5                                       15 €
 

 
 
La Circoncision en question  
sous la direction de Monique Lise Cohen

 
Le 1er octobre 2013, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe adoptait la résolution 1952 et la recommandation 2023 classant la circoncision parmi les « violations médicalement non justifiées de l’intégrité physique des enfants ». Cette recommandation suscita de grandes protestations au sein des communautés juives et musulmanes qui jugeaient qu’elle représentait une atteinte à la liberté religieuse. L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe renonça, en mars 2014, à s’engager dans cette voie d’interdiction de la circoncision.
C’est dans l’inquiétude suscitée par la première recommandation d’octobre 2013 que l’AJLT et la LICRA ont décidé d’organiser sur ces questions un colloque, qui s’est tenu à Toulouse le 23 janvier 2014, associant dans cette réflexion et ce dialogue des juristes, des médecins, des membres des communautés juives, musulmanes et chrétiennes et un regard africain.
Les nombreuses communications de ce colloque ont évoqué toutes ces questions liées à l’histoire de la civilisation européenne, à notre humanité, à la rencontre de l’autre.

 
Monique Lise Cohen a publié aux Édition Orizons : Récit des jours et Veille du livre, coll. « La main d’Athéna / Philosophie », 2008 ; Le parchemin du désir, coll. « Littératures », 2009 ; Emmanuel Lévinas et Henri Meschonnic. Résonances prophétiques, coll. « La main d’Athéna / Philosophie » (2011) ; Etty Hillesum, une lecture juive, coll. « Profils d’un classique », 2012 ; Une âme juive, Méditations autour d’Eaux dérobées de Daniel Cohen, coll. « Miroir et contre miroirs / Contemporains », 2014.

ISBN : 978-2-336-29873-3                                                  
14 €
                                          
 

 
 
Ont été publiés en 2013-2014
 
Les fruits de la Hogra de Hassna Aalouach-Belkanichi

 
Ce récit relate l’un des événements fondateurs de la révolution tunisienne de 2010-2011 et, partant, des révolutions arabes. Mohamed a vingt six-ans. Sa vie est déjà un dur combat : chaque matin, il doit pousser sa lourde carossa chargée de fruits jusqu’au marché pour nourrir sa famille. Un matin, le 17 décembre 2010, le jeune Tunisien se révolte. Son défi lui coûtera cher : la police le réprimera violemment. Désespéré, il s’immolera par le feu. Cette scène épouvantable sera inaugurale : toute une jeunesse, touchée, s’insurgera. La Hogra : le mépris ; la Huria : la liberté ; tels sont les mots-clés de ce livre ; Hassna Aalouach-Belkanichi retrace les jours haletants de cette année-là. On la suit dans le grand mouvement d’une jeunesse qui s’est soulevée: celle de Sidi Bouzid, abîmée par le chômage, l’injustice, les interdits sociaux. Le lecteur s’attachera à Sana, Yassin, Touria, la mère de Mohamed. Premiers protagonistes d’une révolte dont les effets n’ont pas cessé d’irradier le peuple tunisien.

 
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ISBN : 978-2-336-29862-7                                      15 €
 
 

 
 
L'Enclave d'Ittmar Ben-Avi

 
Ittamar Ben-Avi était le fils d’Éliézer Ben-Yéhudah, l’initiateur de l’hébreu moderne, qui lui offrira cette qualification : « premier enfant hébreu » ; l’un des premiers à avoir été élevé dans cette langue.
Dans son recueil, Ben-Avi dit, en exorde : « Plus que jamais, la Palestine est à l’ordre du jour. »
Dès les années 20, il avait pensé qu’il fallait être particulièrement attentif au développement des grandes villes : cela dynamiserait la coexistence entre Juifs et Arabes, bien davantage qu’en milieu rural — les pionniers des kibboutzim et des villages collectifs se disputant par trop les terres respectives.
Voici presque un siècle, il préconisait un projet de fédération, ou plutôt de confédération judéo-arabe. L’État juif, selon ce précurseur, ne s’insérerait dans son environnement arabe qu’à cette condition.
 
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ISBN : 978-2-336-29844-3                                      15 €
 
 
 

 
 
Grande Boucle & petite reine de Laurent Bayart

 
Comment Alfredo Binda a-t-il fait pour remporter en pantoufles la prime du vainqueur du Giro 1930 ? Pourquoi Mario Cipollini roulait-il avec une photo de Pamela Anderson accrochée à son guidon ? Que faut-il penser de Lance Armstrong ou de Christopher Froome ? Et les cyclistines, savez-vous qui elles étaient ? Dans ces chroniques, menées sur les chapeaux de roue et débordantes d’humour, Laurent Bayart revisite les pages les plus étonnantes de l’histoire du vélo. Il vous raconte comme personne la Grande Boucle et la petite reine.
 
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ISBN : 978-2-336-29851-1                                      13 €
 
 
 
 
 

 
 
Le Tour de France dans tous ses états ! d'Olivier Larizza 

 
Voici l’un des livres les plus originaux jamais écrits sur le Tour de France. Anecdotes insolites et confidences d’anciens champions, scènes cocasses observées sur les étapes ou en coulisse, aperçus historiques et souvenirs personnels colorent chaque page. Olivier Larizza surprend, amuse, attendrit. Et restitue à merveille l’épopée de la Grande Boucle.
 
« Un regard frais et une petite musique enchantée qui raconte le Tour comme vous ne l’avez jamais lu. »
      La France Cycliste
« Olivier Larizza tricote joliment la légende du Maillot jaune. »
      Le Nouvel Observateur
« Universel et jubilatoire. Ce jeune Blondin à l’eau claire n’a pas froid aux yeux. »
      Le Progrès.
 
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ISBN : 978-2-296-08867-2                                      10 €
 
 
 

 
 
Françoise Hardy : pour un public majeur de Michel Arouimi

 
Ce livre est une tentative pour abolir le fossé qui sépare la culture populaire et celle qui est l’objet des études universitaires. Michel Arouimi a longtemps exploré les œuvres des grands poètes ; il sonde, avec le même savoir-faire, les abysses insoupçonnés du texte des chansons de Françoise Hardy : un exemple majeur de « pop littérature ». L’écriture de ces chansons se révèle être le moyen, surprenant par son intensité poétique, d’une détection des tensions de notre monde sur le fil du sentiment amoureux.
 
 
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ISBN : 978-2-296-08835-1                                      20 €
 
 
 
 
 

 
 
Les autre titres de la collection 2008-2012
 

 

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Vient de paraître aux éditions érès

 Des milliers d’arbres solitaires

de Abbas Kiarostami

Traduction de Tayebeh Hashemi et Jean-Restom Nasser, 

et de Niloufar Sadighi et Franck Merger

Collages de Mehdi Moutashar

 

En librairie En savoir plus

Avec ce presque millier de "réduits de parole",

 le lecteur découvrira la matière discrète dont se nourrit 

l'œuvre du cinéaste, photographe, peintre et poète 

Abbas Kiarostami.

Le présent ouvrage rassemble la totalité des poèmes publiés à ce jour 

en Iran par Abbas Kiarostami. 

Toute son œuvre est tendue vers le retrait et l’épure : 

soustraire pour mieux montrer, s’abstraire de la narration pour inventer 

des formes d’écriture en résonance plus grande avec la nature 

qu’il associe au sacré, en droite ligne des poètes et des peintres persans, 

mais aussi des expressions poétiques traditionnelles de la Chine et du Japon.

Retrouvez tous les titres parus dans la collection PO&PSY 

dirigée par Danièle Faugeras et Pascal Janot en cliquant ici.

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La poésie en image!

by Editions Caractères

 

 

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Pour commencer la semaine avec énergie nous vous proposons notre poème du jour d'Erwan Bargain qui est extrait de son recueil "La Folie des Glandeurs". 

Ce petit livre engagé ose de traiter sur de sujets très délicats, comme la politique, la religion ou la guerre. Le recueil contient aussi les protestations contre le monde qui nous entoure, la stupidité de la télé ou la passivité des gens. Par ailleurs, Erwan Bargain ne nous laisse pas indifférents et nous incite à nos propres réflexions.

 
Editions Caractères | juillet 22, 2014 à 10:24   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Qh
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Le poème du jour!

by Editions Caractères

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Aujourd'hui, nous voyageons en Afrique, pour commencer la semaine sur une note d'exotisme,  grâce au roman de Mahamadou Faty  Le jardin des hommes.
Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | juillet 21, 2014 à 9:23   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Qa
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Un petit trésor trouvé dans les archives!

by Editions Caractères

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Voici un article de la revue  Les Lundis Littéraires de René Bourdet, avec un préface d'Alain Bosquet.

 
Editions Caractères | juillet 17, 2014 à 1:09   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-PU
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Un bout de poésie pour commencer la journée!

by Editions Caractères

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Aujourd'hui, pour bien commencer la journée après un long weekend, nous vous proposons un extrait de roman "Après" de Karine Martel. Ce livre, très poétique et émouvant, ne nous laisse pas indifférents. Il nous transporte en Indonésie en touchant à l'essentiel – la profondeur de nos sentiments et émotions. 

En vous promenant sur notre site vous pouvez trouver également des recueils de poèmes de Karine Martel.
 
 

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | juillet 16, 2014 à 9:49   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-PL
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L’Irlande à l’honneur aujourd’hui!

by Editions Caractères

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Voici notre poème du jour qui est extrait de l'anthologie  Femmes d'Irlande en poésie 1973-2013,  établie par Clíona Ní Ríordáin.

Cette édition trilingue nous permet de découvrir les voix féminines les plus originales de la poésie contemporaine en Irlande. La richesse de sujets et de styles des écrivains, nous donnent une image très intéressante de quarante ans de la poésie irlandaise.

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | juillet 17, 2014 à 9:41   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-PQ
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  EDITIONS  
 
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Romancière altière, essayiste renommée, Michèle Ramond nous offre
deux textes somptueux à découvrir absolument
 
 
 
 
 
Les saisons du jardin
et
Les rêveries de Madame Halley

 
        
 
Absorbée dans ses herborisations, errante comme la comète dont elle porte le nom, captive d’un rêve africain et d’un fantôme d’amour, son roman rose, Madame Halley devient, peu à peu, l’héroïne d’un thriller dont elle garde la clef. Qui est vraiment Madame Halley ? La lointaine cousine de l’inquiétant Monsieur Halley, la dame mûre convaincue de célibat, celle qui, en Afrique, a brûlé sa beauté, la redoutable veuve Marnier guettée par un nébuleux complot, la jeune Aurora qui hante les mémoires, ses rouges cheveux en étendard, la petite Cora, herboriste elle aussi, retrouvée morte près de la forêt, la confidente de l’Inspecteur Cheshire, la suspecte la plus indiquée d’un crime jamais commis, la fiancée oubliée du mystérieux Henry ? Elle est bien plus encore: un temps désarticulé sans passé, ni présent, ni futur, saisit tout le paysage et les habitants comme dans une fable sur l’univers en expansion des âmes et des corps. Il n’y a plus la mort : il n’y a que du vivant instable et vagabond.   Qui n’est pas retourné en pensée dans le jardin de son enfance ? Pourtant la promenade de la narratrice dans le jardin d’autrefois qui est aussi un jardin des cendres est bordée de larmes. Ce premier jardin, peu à peu, perd sa grâce bucolique, il devient une âpre planète gardée par des sbires maléfiques ; il repousse toujours plus loin ses contours. Tout alors devient matière en dispersion dans une danse cosmique où s’effacent les frontières entre le vivant et le mort, entre les vivants, les disparus, les dieux et les anges. C’est l’aventure dans le jardin du passé à laquelle ce livre nous invite; ses visions surréalistes nous conduisent aux portes du dernier jardin, celui de la littérature.
ISBN : 978-2-336-29857-3
136 pages • 13.5 x 21.5 cm • 13 €
Les rêveries de Madame Halley
 
 
 ISBN : 978-2-336-29859-7
 
130 pages • 13.5 x 21.5 cm • 13 €
Les saisons du jardin
 
 
Michèle Ramond est hispaniste, Professeure émérite de l’Université Paris 8. Elle a écrit de très nombreux articles et plusieurs ouvrages sur la littérature espagnole, sur Federico García Lorca et sur les créations des femmes. Elle est aussi auteure de fictions : La moureuse, 1987 (Le Hameau) ; Vous, 1988, L’occupation, 1991, Feu le feu, 2004, Voyage d’été, 2006, Lise et lui, 2008 (Des femmes) ; Les nuits philosophiques du Doctor Pastore, 1997 (L’Harmattan), et d'autres encore.
 

 
 
Les ouvrages sont disponibles sur www.editionsorizons.fr
Vous pouvez aussi les commander à :
 
tél. 01 55 42 07 75
 
 
   

 

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Causse Comtal, Origine de l'Aligot, Chauves-Souris, Occitan...dans PATRIMÒNI, le magazine des patrimoines, présentation du nouveau numéro (51) - (2/2 - 07/2014).

 

Bonjour,

Comme tous les 2 mois, je viens vous présenter le nouveau numéro (51) de Patrimòni le magazine des patrimoines qui couvre les mois de Juillet et Août, le prochain sortira début Septembre.

En jetant un coup d’œil au sommaire de ce numéro, vous trouverez des articles qui vous intéresseront plus particulièrement et qui peut-être vous donnerons l'envie de vous abonner :

Côté "Nature" : "le Causse Comtal, site emblématique du département par ses paysages et sa richesse biologique" - "Les insectes des haies et prairies" - "Quelques révélations du monde mystérieux des chauves-souris".

Côté "Histoire" : "L'origine de l'aligot et la nourriture dans les burons (1ere partie)".

Côté "Occitan" : "Disparicions insolitas o una agaça amb un Q.I. pus naut que la mejana de l'agaçalha".

La présentation de livres, CD : "Les barrages des gorges de la Truyère et de la haute vallée du Lot" - "Guide du naturaliste en Causses Cévennes" - "Le Fel en Vallée d'Olt" - "Au bord du gouffre" - "Saint Léger de Peyre à travers les âges" - "Corrida la honte"...

L’Agenda du patrimoine et de la culture des mois de Juillet et Août, qui informe des conférences, expositions, animations...sur des thèmes patrimoniaux.

Patrimòni est disponible dans les kiosques Aveyronnais (5 €) ou par abonnement (30 € l’an et 6 numéros pour la france, bulletin en pièce jointe).

Le magazine a besoin de vous pour pouvoir continuer son action en faveur de nos patrimoines.

Vous pouvez aussi offrir un abonnement, une idée de cadeau originale ! (bulletin en pièce jointe).

Sur le site : www.patrimoni.fr, vous trouverez les sommaires des numéros parus et bien d’autres informations.

Je vous remercie pour votre attention et vous souhaite un très bon été,

Plan coralament,

Bernard VERDIÉ

 

Camin de Petitous
Ròca Talhada
12490 MONTJAUX

Tél. : 05 65 58 19 82, Courriel : patrimoni@wanadoo.fr, Site : www.patrimoni.fr

 

 

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Le poème du jour et en image!

by Editions Caractères

 

 

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Aujourd'hui nous vous proposons quelques poèmes de Michael Edwards, qui sont tirés de son anthologie "A la racine du feu". Cet écrivain franco-britannique et membre de l'Académie Française nous offre son regard sur le monde qui nous entoure et son ravissement de la nature. Les observations de poète sont en même temps riches en réflexions philosophiques et la contemplation de l’inconscient. 

Les poèmes de Michael Edwards sont présentés dans l'édition bilingue, traduits par Anne Mounic et accompagnés de fusains de Catherine Day.

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | juillet 4, 2014 à 10:53   | Catégories: Auteur | URL: http://wp.me/p3nKoS-Pe
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Brassage, métissage, échange de cultures et d'horizons... L'été commence avec cette invitation à écouter bruire les étonnantes voix du monde. En commençant par Sapho, la chanteuse qui est aussi poète ; et par la centaine de poètes invités au Festival Voix Vives de Sète (du 18 au 26 juillet). Suivez nos poètes dans les festivals de l'été sur www.editions-brunodoucey .com et dans cette 47ème Lettre d'informations. Bel été à tous !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici.

 

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le livre de l'été de Louis DUBOST

 
Extraits du livre :

 
Les épinards
c’est toute une affaire que de convaincre les petits-enfants de goûter ce délice des dieux. On a beau argumenter tous azimuts : leur famille porte un joli nom, les chénopodiacées ; ils sont d’origine persane comme les tapis volants ou les « Lettres » de Montesquieu ; la Chine fournit 85 % de la production mondiale et, comme on sait, les Chinois sont plus forts que les Américains, excepté Popeye bien sûr qui en avale des boîtes à tire-larigot... « Délice des vieux, ouais ! » rétorque Alix, un rien décontenancé, qui, après s’être tâté en catimini les biceps, en catapulte mollement une fourchettée vers la bouche. Merci Popeye !

 

 
Le liseron,
si on n’y prend garde, recouvre le jardin à l’infini de ses pavillons de phonographe blanc ou rose pâle. On a beau couper ou arracher (par petits bouts) les racines, il repousse sans se lasser. Et on remet ça, lui et moi chacun de son côté, tous les huit jours, il pousse je coupe. À jamais complémentaires et indissociables, comme Sisyphe et son rocher. Sauf que le jardinier est un sisyphe qui trouve l’éternité particulièrement chiante.

 
Le liseron encore, avec le poète Raymond Queneau : « C’est en lisant, qu’on devient liseron ». Peut-être que c’est ça qui rend Sisyphe heureux ? Et le jardinier complice. Malgré tout.

 

 
Les poireaux
  prélevés dans le semis sont parés au couteau : on coupe les feuilles et les racines pour obtenir des plants gros comme des stylos bille. Lilian, dégringolé du figuier et après avoir posé arc et flèches, s’exclame : « on dirait des punks ! Je peux t’aider, Papy ? » Pas de problème. Je lui refile le plantoir et il se met au repiquage en tirant la langue. Il aligne ses « punks rustiques » (dixit Lucien Suel) comme des alexandrins, douze plants par ligne, en poète appliqué.

 

 
La scarole ! 
le mot sonne comme le prénom d’une star de cinéma, elle sait en prendre la pose aguicheuse en tête de gondole du supermarché. Et toute fraîche jusqu’en son cœur idéalement jaune et blanc, elle drague sans vergogne le chaland émoustillé par tant de beauté fatale, et hop ! la voilà dans l’assiette. Pourtant j’ai beau couvrir pour les blanchir les scaroles du potager avec des pots de fleur retournés, des cageots renversés ou de la paille, elles font piètre figuration, maigrichonnes starlettes fripées et verdâtres. Par quel miracle la starlette se mue-t-elle en star ? Élémentaire mon cher jardinier, dirait le cher Lock Holmes, il suffit de vaporiser un petit coup... de désherbant ! C’est du moins ce que confesse un maraîcher professionnel, comme le rapporte la revue Principes de santé (n° 57). De suite, la fourchette, plus très sûre de son bon coup, marque un temps qui suspend son envol et reste scotchée dans l’assiette. Tandis qu’à la télé un hurluberlu déguisé en diététicien prescrit de consommer cinq fruits ou légumes par jour, de quoi bédame oui ! doper la bonne santé du marché de la cancérologie ! Quant à moi, je retourne à mes starlettes avec repentance et appétit.

Cde Tarabuste.pdf

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PARIS

 
  EDITIONS  
 
 Invitation
 
 
Michèle Ramond
 
vous invite au lancement de ses livres

 

 
Les saisons du jardin
et
Les rêveries de Madame Halley

 
      
 
 
  
 
Elle signera ces livres et aura le plaisir de vous présenter les auteurs de la collection « Créations au féminin » qu’elle dirige : Nadia Setti et Maria Graciete Besse (dir.) ; Annie Cohen ; Adélaïde de Chatellus y Milagros Ezquerro (dir.), François Barat ; ainsi qu’Abilio Estévez.
 

 
ISBN : 978-2-336-29857-3
136 pages • 13.5 x 21.5 cm • 13 €
Les rêveries de Madame Halley
 
 
 ISBN : 978-2-336-29859-7
 
130 pages • 13.5 x 21.5 cm • 13 €
Les saisons du jardin
 
 
Cocktail

 
Vendredi 27 juin 2014 à partir de 18h30
13, rue de l’École Polytechnique, 75005 Paris [r.d.ch.]
 
Métro : Maubert-Mutualité. sortie rue des Carmes
 
 
Les ouvrages seront bientôt disponibles sur www.editionsorizons.fr
Vous pouvez aussi les commander à :
 
tél. 01 55 42 07 75
 
 

 

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Le n° 7 de Concerto pour marées et silence, revue

est paru.

 

Au sommaire vous trouverez :

Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER (photo), Eliane BIEDERMANN, Patrice BLANC, Denise BORIAS, Marie-Josée CHRISTIEN, Gérard CLÉRY, Danièle CORRE, Jean-Pierre CRESPEL, Chantal DANJOU, Eliane DEMAZET, Pierre ESPERBÉ, Laurent FAUGERAS, Claude GAISNE (un dessin), Nicole HARDOUIN, Rodolphe HOULLÉ, JAPH’ELIOS, JEANNE-MARIE, Lionel JUNG-ALLÉGRET, André LAGRANGE, Brigitte MAILLARD, Jean-Claude MARTIN, Jean-Paul MESTAS, Ivan de MONBRISON, Evelyne MORIN, Gérard PARIS, Jean-Pierre PARRA, Michel PASSELERGUE, Jacqueline PERSINI-PANORIAS, Richard ROGNET, Stéphane SANGRAL, Calou SEMIN, Jacques SICARD, Arnaud TALHOUARN, Katty VERNY-DUGELAY..

Mais aussi des notes ou articles sur Louis BERTHOLOM, Paul de BRANCION, Francine CARON, Jean-Pierre LEMAIRE, Béatrice MARCHAL, Jean MÉTELLUS.

Ci-joint le bon de commande, si vous êtes tenté (prix inchangé depuis sa création en 2008).

 

Concerto pour marées et silence, revue revue annuelle – Poésie

 

2014 – n° 7

 

Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Eliane BIEDERMANN, Patrice BLANC, Denise BORIAS, Marie-Josée CHRISTIEN, Gérard CLÉRY, Danièle CORRE, Jean-Pierre CRESPEL, Chantal DANJOU, Eliane DEMAZET, Pierre ESPERBÉ, Laurent FAUGERAS, Claude GAISNE, Nicole HARDOUIN, Rodolphe HOULLÉ, JAPH’ELIOS, JEANNE-MARIE, Lionel JUNG-ALLÉGRET, André LAGRANGE, Brigitte MAILLARD, Jean-Claude MARTIN, Jean-Paul MESTAS, Ivan de MONBRISON, Evelyne MORIN, Gérard PARIS, Jean-Pierre PARRA, Michel PASSELERGUE, Jacqueline PERSINI-PANORIAS, Richard ROGNET, Stéphane SANGRAL, Calou SEMIN, Jacques SICARD, Arnaud TALHOUARN, Katty VERNY-DUGELAY..

 

Notes ou articles sur Louis BERTHOLOM, Paul de BRANCION, Francine CARON, Jean-Pierre LEMAIRE, Béatrice MARCHAL, Jean MÉTELLUS.

 

N° 3 : N. BARRIÈRE, J. BAUDE, L. BĖRIMONT, J.-L BERNARD, P. BLANC, C. BOHI, H. BORREL, G. CATHALO, G. CHATY, G. CLĖRY, J. CROCQ, C. DEUDON, J. DUBACQ, A. ELUDUT, P. ESPERBĖ, E.-C. FLAMAND, R. GONNET, B. GYR, B. HUE, B. KAD, A. LAGRANGE, G. LEMAIRE, M. LÉVY, P. MATHIEU, J. MERCKX, J.-P. MESTAS, P. MICLAU, B. MONTINI, M. MORILLON-CARREAU, G. MURAIL, P.-D. PARENT, G. PARIS, M.  PASSELERGUE, C. PETEY, RUFUS, J. SAINT-JEAN, J. SALESSE, J. SICARD, A. SPINDOLA, K. VERNY-DUGELAY, H. VIDAL, L. VIDAL, S. WELLENS.

 

N° 4 : G. ALTHEN, J.-L. BERNARD, H.-N. BIALIK, E. BIEDERMANN, P. BLANC, P. BLANCHIN,, C. BOHI, D. BORIAS, S. BOUVIER, F. CARON, F. CHENOT, G. CLERY, D. CORRE, B. COTTAZ, C. DANJOU, D. EMORINE, P. ESPERBÉ, FABRIZIO, B. FOURNIER, J.-P.GIRAUX, R. GONNET, B. GRASSET, R. GRUEL, JAPH’EIIOS, M. LABIDOIRE, A. LAGRANGE, C. LAÏFAOUI, G. LEMAIRE, C. LUEZIOR,  M. MERESSE, J-P. MESTAS, T. MISSONIER, A. MOUNIC, P. OSTER , G. PARIS, M. PASSELERGUE, PAULE, J. PERSINI-PANORIAS, M. PIETRA, G. ROSE, H. ROUGIER, J. SICARD  

 

N° 5 : D. ABEL, H.BAUMEL, C. BEHAR, G. BERGASA, Y. BERGERET, P. BLANC, C. BOHI, F. BURGHELLE REY, G. CLERY, D. CORRE, C. CRANSKENS, C. DANJOU, C. DENIS, D. EMORINE, C. ESNAULT, P. ESPERBÉ, B. FOURNIER, B. GRASSET, N. HARDOUIN, A. LAGRANGE, W. LAMBERSY, A. LE GALL, C. LUEZIOR, J.-P. MESTAS, W. MIHULEAC, C. NYS-MAZURE, G. PARIS, M. PASSELERGUE, PAULE, P. RAVEAU, J. SICARD. Notes ou articles sur J.-L. BERNARD, S. BRINDEAU, F. CARON, M. FARGIER-CARUSO, G. GRANDE, M. GREPON, H. HADDAD, RACHEL.

 

N° 6 : Claude ALBARÈDE, Alain BENOIT, Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Patrice BLANC, Philippe BRAHY, Guy CHATY, Gérard CLÉRY, Jean-Pierre CRESPEL, Maurice CURY, Guillaume DECOURT, Eliane DEMAZET, Pierre ESPERBÉ, Jean-Paul GIRAUX, Florence GIUST-DESPRAIRIES, JAPH’ELIOS, Michel JOIRET, Monique LABIDOIRE, L’OG, André LAGRANGE, Daniel LEDUC, Olivier LE LOHÉ, Claude LUEZIOR, Romain MALLET, Hervé MARTIN, Bojenna ORSZULAK, Pierre-Dominique PARENT, Gérard PARIS, Jean-Pierre PARRA, Michel PASSELERGUE, Jacques SICARD, Richard TAILLEFER, Arnaud TALHOUARN, Odile VIÉ-DAVID. Notes ou articles sur Danièle CORRE, Nicole HARDOUIN, José MILLAS-MARTIN, Armand OLIVENNES, Pierre OSTER, Michel PASSELERGUE.

 

 

BON DE COMMANDE (n° 1 à n° 7)

NOM, Prénom : _________________________________________

 

Adresse : ________________________________________________

 

________________________________________________________

 

commande ___ exemplaires(s) de Concerto pour marées et silence, revue, soit :

 

       ____ ex. du n° 1, ____ ex. du n° 2, _____ ex. du n° 3, ____ex. du n° 4, ____ ex. du n° 5, _____ ex. du n° 6,_____ ex. du n° 7.

 

Les chèques – frais d’envoi offerts – sont à adresser à :

 

Colette KLEIN – 164 rue des Pyrénées 75020 Paris

(contact : colette.klein14@orange.fr)

 

 

 

c 1 exemplaire :                   14 €                     c 5 exemplaires :          60 €

 

c 2 exemplaires :        26 €                     c 10 exemplaires :      110 €

 

c 3 exemplaires :        38 €

 

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Aujourd'hui

jeudi 12 juin

en librairie



Michel Arbatz fait paraître aujourd'hui son huitième livre Hourra l'oral! édité au Temps qu'il fait, en librairie (diffusion SODIS).

Dans ce vibrant plaidoyer pour la diffusion orale des poètes, à laquelle il se consacre depuis une vingtaine d'années, notamment à la tête de
la Bip
(brigade d'interventions poétiques)
, il s’adresse à un public de
non-initiés.
Il y défend la mémoire de la langue, s’insurge contre les poncifs de la messe scolaire et la « sclérose en plaquettes », et relate de façon vivante la longue et joyeuse expérience des diseurs.

Vous trouverez de plus amples détails en suivant ce lien.


Vous pouvez aussi commander directement ce livre en envoyant un chèque de
20€/ex, port compris, à mon l'ordre de Michel Abatz et à l’adresse: Zigzags 16 bis rue de l’Ecole de Droit.
Vous le recevrez par retour de courrier.


L' équipe Zigzags

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4 bougies à souffler, 6 ouvrages à fêter, 14 auteurs à saluer... et un lauréat. Nous sommes heureux et fiers de vous annoncer que Dominique Sampiero vient de recevoir le grand prix de poésie Robert Ganzo 2014 ! Découvrez dans cette 46ème Lettre d'informations tous les événements du mois de juin, entre anniversaire, Marché de la poésie et Festival de Saint-Malo.

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre, cliquez ici.


 

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On commence la semaine avec un roman !

by Editions Caractères

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Aujourd'hui, nous voyageons en Afrique grâce au roman de Mahamadou Faty Le jardin des hommes.

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | mai 19, 2014 à 10:52   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-KW
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Bonjour,

Comme tous les 2 mois, je viens vous présenter le nouveau numéro (50 déjà !) de Patrimòni le magazine des patrimoines qui couvre les mois de Mai et Juin, le prochain sortira début Juillet.

En jetant un coup d’œil au sommaire de ce numéro, vous trouverez des articles qui vous intéresseront plus particulièrement et qui peut-être vous donnerons l'envie de vous abonner :

Côté "Nature" : "les insectes des milieux humides", suite de la petite balade autour du patrimoine entomologique du Rouergue - Et pour la flore : "À propos des hybrides d'orchidées".

Côté "Histoire" : "Le peuplement montagnard médiéval des plateaux de l'Aubrac" - et "La Truyère", où la main de l'Homme a écrit l'Histoire...de la construction des barrages hydro-électriques.

Côté "Occitan" : "Istòria de l'espelida d'una bèstia totemica : la Baragònha" e "la Mostèla, pichona bèstia plan polida".

La présentation de livres, CD : "Dix par Jour...en 14/18" - "Nicolaï Greschny" - "L'Occitan par la méthode Assimil" - "Lo Capaironet roge" - "Lo conscrit del Lengadòc" - "L'encantada"...

L’Agenda du patrimoine et de la culture des mois de Mai et juin, qui informe des conférences, expositions, animations...sur des thèmes patrimoniaux.

Patrimòni est disponible dans les kiosques Aveyronnais (5 €) ou par abonnement (30 € l’an et 6 numéros pour la france, bulletin en pièce jointe).

Le magazine a besoin de vous pour pouvoir continuer son action en faveur de nos patrimoines.

Vous pouvez aussi offrir un abonnement, une idée de cadeau originale ! (bulletin en pièce jointe).

Sur le site : www.patrimoni.fr, vous trouverez les sommaires des numéros parus et bien d’autres informations.

Je vous remercie pour votre attention,

Plan coralament,

Bernard VERDIÉ

Camin de Petitous
Ròca Talhada
12490 MONTJAUX

Tél. : 05 65 58 19 82, Courriel : patrimoni@wanadoo.fr, Site : www.patrimoni.fr


parutions fichier\2014\Bulletin d'abonnement (2014).pdf                         parutions fichier\2014\PATRIMÒNI (offrez 1 abonnement) (2014).pdf

 

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2925

by Editions Caractères

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Nous avons le plaisir , pour le quatre vingt quatorzième anniversaire de Nadine Lefebure et le spectacle poétique de Christian Deudon " Partance ", de faire une nouvelle édition de ce livre, identique à celui imprimé par nos soins en 1953.
Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | mai 21, 2014 à 9:27   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Lb
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Alain HELISSEN  BEST HIER, livre unique

Place aux "animots", avec BEST HIER

variations libres d'Alain Helissen 

qui a entièrement réalisé ce livre unique à la main.

BEST HIER comprend 5 peintures originales (acrylique)

 d'Alain Helissen, collées sur papier bristol.

Texte écrit à la main au feutre permanent. 

A l'exception d'une page extraite de "On joue tout seul", les textes sont inédits.

Format : 14 x 21 cm ; 12 pages

Couverture recyclée, papier carton.

Non relié.

Prix : 30€ (port inclus, sauf pour l'étranger)

Commande à Alain Helissen, après réservation préalable:

alain.helissen@live.fr

Tél. 03 87 03 26 49

Voir extraits photos 

DOC1 DOC2 DOC3 DOC4

http://alainhelissen.over-blog.com

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UN NOUVEAU LIVRE DE JAIME SABINES

 

 

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Les Carnets de la momie – Shimada Masahiko

by Editions Caractères

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Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | mai 6, 2014 à 11:53   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-K6
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Denis Heudré nous communique :
 
Bonjour

Puisqu'internet est un outil d'échange et de partage, et puisque l'édition de poésie contemporaine est un parcours du combattant que je ne suis pas, j'ai pris l'habitude de vous diffuser gratuitement mes ouvrages de poésie. Le dernier que je vous propose de découvrir aujourd'hui s'intitule "une couverture noire". Je préfère ne rien dévoiler de ce noir pour vous laisser découvrir votre propre jugement.

Ce mail n'est pas un spam, il n'attend rien en retour (ceux qui souhaitent me donner leur avis et conseils seront les bienvenus malgré tout).  C'est juste l'occasion de faire circuler mes mots (n'hésitez pas à faire suivre à vos amis).

N'hésitez pas à venir télécharger les 16 autres livres que je partage sur mon site internet
http://denisheudre.free.fr (rubrique "à télécharger").

Bien amicalement
(denis heudré)
voir "une couverture noire"

 

 

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La poupée de Chiffon est à l’honneur aujourd’hui.

by Editions Caractères

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Aujourd'hui nous mettons à l'honneur l'écrivain Ludovic Bruckstein et son roman La poupée de Chiffon.

 

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | mai 5, 2014 à 10:09   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-JO
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Cette lettre d'information n°45 vous invite à découvrir le compagnonnage de deux amoureux de la terre grecque : Yannis Ritsos et Jacques Lacarrière. Un duo que nous faisons revivre en republiant le recueil de Ritsos Grécité, traduit au début des années 60 par Lacarrière. Un texte de résistance d'une urgence brûlante, publié en bilingue pour la première fois. Et comme toujours nos rendez-vous du mois. Bonne lecture !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici


 

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Mon ombre est une femme – Halina Poswiatowska

by Editions Caractères

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Le poème du jour est de Halina Poswiatowska extrait de son recueil Mon ombre est une femme.

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | avril 28, 2014 à 2:01   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-IO
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Le poème du jour en image.

by Editions Caractères

10255184_10202235300458894_704060653_nLe poème du jour est de Rocio Duran-Barba, extrait du recueil Hymne à l'éternel printemps.

Achetez-le ici!

 

 
Editions Caractères | avril 24, 2014 à 11:46   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Io
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Nouveautés Mars et Avril 2014 !

by Editions Caractères
Editions Caractères | avril 23, 2014 à 10:43   | Catégories: Auteur, Evénement | URL: http://wp.me/p3nKoS-I4
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L’éthique démontrée selon l’ordre poétique – Liliana Lukin

by Editions Caractères

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Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | avril 22, 2014 à 11:55   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-HU
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Annonce parution
L'écrivaine poétesse Rebecca BEHAR nous communique:
 

Bonjour,

Vous avez eu la gentillesse de diffuser des morceaux de mes CD sur Jamendo.

Voici donc le dernier en date, sur le thème des voyages et qui va avec mes carnets de route publiés sur le site « I-Voyage » :

En guise de passeport : http://www.jamendo.com/album/131986

Et également une nouvelle en français avec une adaptation libre en anglais  :

http://www.edilivre.com/la-vie-de-boheme-rebecca-behar.html
En vous remerciant pour votre attention et votre hommage à Charles Dobzynski.

Bien cordialement,

Rebecca Behar

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Le poème du jour est de Marlena Braester, il s’intitule Dans le miel noir du rêve

by Editions Caractères

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Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | avril 16, 2014 à 10:39   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-H5

 

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Fukushima Hiroshima de Béatrice Albertat, Hanako Ninomiya.

by Editions Caractères

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Editions Caractères | avril 18, 2014 à 10:57   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Hi

 

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Tessiture de Georges-Elia Sarfati

by Editions Caractères

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La prose du jour est de Georges-Elia Sarfati, qui a pour titre Enfance, extrait de son recueil Tessiture, une de nos nouveautés d'avril.

Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | avril 17, 2014 à 8:57   | Catégories: Nouveauté | URL: http://wp.me/p3nKoS-Ha
 

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La nouvelle du jour en image est extraite du livre Le Directeur d’Olivier Peraldi

by Editions Caractères

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Achetez-le ici!

 
Editions Caractères | avril 10, 2014 à 1:49   | URL: http://wp.me/p3nKoS-Gt

 

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Les Lieux Dits Editions

Collection 2Rives

 

Il vient de paraître

 

Quelque chose n’est suivi de cinq grands poèmes pour voir

Poèmes de Danièle Faugeras Dessins d’Alexandre Hollan

 

Ce livre inaugure une nouvelle collection 2Rives dont l’objectif  est de rapprocher les rives de la peinture, du dessin, du collage, de la langue et de la poésie. Ainsi naissent des lieux dits dans l’interstice des couleurs, dans le tracé des gestes, dans la force des mots. Cela part de la plastique et cela produit du texte, du sens. La collection 2Rives est dirigée par Claudine Bohi et Germain Rœsz

 

La  procédure est toujours la même. Un artiste plasticien propose à un poète 11 dessins, 11 peintures ou 11 collages qui forment un ensemble. Celui-ci ‘répond’ avec un texte poétique. Espaces de tensions fécondes et lieux d’échanges des formes.

 

Dans Quelque chose n’est suivi de cinq grands poèmes pour voir

Alexandre Hollan a proposé à Danièle Faugeras 11 fusains de nus – une dimension de sa pratique différente de ses ‘arbres’ et de ses ‘vies silencieuses’ que, ces dernières années, d’importantes expositions à Paris, Bologne, Budapest et Montpellier (entre autres), ont permis à un grand public d’approcher.

Danièle Faugeras a écrit ‘sur’ les dessins d’Alexandre Hollan un long poème qui cherche à décrire cette disposition à l’égard du réel que suppose une telle démarche de création. Elle y a associé cinq poèmes plus anciens mais inédits, autour de la même question mais cette fois-ci centrée sur l’émergence du poème.

Le livre est tiré à 111 exemplaires simples (au prix de 17 euros)

11 exemplaires, numérotés de 1 à 11, accompagnés d’un dessin d’Alexandre Hollan, en constituent l’édition de tête (les dessins qui sont à l’origine du livre sont ceux de l’édition originale). Prix sur demande.  

voir doc

 

Bon de commande

 

Nom   -  Prénom __________________________________________________________

Adresse postale   __________________________________________________________

__________________________________________________

Tél. ___________________________ Mail _____________________________________

 

Je vous remercie de me faire parvenir  ……..  exemplaire(s) de Quelque chose n’est

suivi de cinq grand poèmes pour voir (exemplaire simple) au prix unitaire de 17 euros

(+ 3 euros de frais de port par exemplaire).

 

Merci de Libeller vos chèques à Germain Roesz

 

Les Lieux Dits (Zone d’Art) 2, rue du Rhin Napoléon

67000 STRASBOURG – Tél. 06 77 10 80 39  Adresse électronique leslieuxdits.editions@gmail.com

 

A……………………………le ……………………..2014


 

 

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parutions PO&PSY 2014

 

 Parution aux éditions Éres des 3 titres de la collection de poésie PO&PSY :

 

* Bateau de papier, une sélection en édition bilingue de poèmes brefs du poète norvégien Olav H. Hauge, traduite par Anne-Marie Soulier et accompagnée d'une photographie de Sandrine Cnudde.

 

* J'ai jardiné les plus beaux volcans, un carnet de voyages en littérature et poésie de Michel Dunand, reproduit en facsimilé.

 

* Dépli, de Alfredo Costa Monteiro, poésie phonétique trilingue, accompagnée d'un enregistrement par l'auteur sur mini CD.

  

Association PO&PSY 

06 72 67 41 98    

poetpsy@orange.fr                

http//:www.poetpsy.wordpress.com

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Avril-Mai-Juin 2014

 

  bulletin de complicité

Éclosion presque tardive pour ce numéro de printemps,  pour cause de grand remue-ménage. C’est la vie comme on dit, avec ses accidents, ses dégringolades, mais on ne peut qu’aller de l’avant vu que la marche arrière n’existe pas… Et tant mieux, notre temps est trop court, même si « le temps des hommes est de l’éternité pliée » (Cocteau). Pas grand-chose à dire du coup, mais des mots vous en avez plein la revue déjà et l’Amour demeure, quoiqu’il arrive, tel le ciel derrière les nuages.    

 

CG  

  

Chacun contient en lui des galaxies de rêves et de fantasmes, des élans inassouvis de désirs et d'amours, des abîmes de malheur, des immensités d'indifférence glacée, des embrasements d'astre en feu, des déferlements de haine, des égarements débiles, des éclairs de lucidité, des orages déments....
Edgar Morin  

 in Les sept savoirs nécessaires à l'éducation du futur
 

AU SOMMAIRE

 

Délit de poésie : Élisa Parre, Cécile Coulon, Hamid Tibouchi, Rodrigue Lavallé

 

Délit de vagabondage : Sylvère Moulanier (Québec)

  

Délits d’(in)citations au renouvellement des pensées, c’est le printemps !

 

Bulletin de complicité toujours frais et dispo au fond en sortant.

 

Illustratrice : Cathy Garcia

 

 

 

Gribouglypheuse, elle s’adonne à l’art vénal = œuvres à vendre :

 

http://ledecompresseuratelierpictopoetiquedecathygarcia.hautetfort.com/

 

 

 

Le génie n'est que le chant du rouge-gorge

à l'aube d'un printemps indolent.


Khalil Gibran 

 

 

Douce musique, si douce, mais la berceuse ricoche, crible le cœur.

 

La folie est à quelques cellules à peine, trois fois rien.

Le refuge du placard est vain.

 

Traquée, détraquée. Ça me hurle.

 

Ma lèvre tremble, le ciel est tombé en cataracte de verre. En granit fracassé à la mer.

Tant de pêcheurs encombrent la rive et le soleil veut sa part de crème géologique.

 

Je glisse, toboggan, vers l’abime entraperçu sous la couture des océans.

 

(…)

 

Patience, mon âme. Tu veux fendre muselière, je te parle sagaie, flèche, rasoir.

Obscure arborescence dissimulée dans le filet.

 

Je flotte dans le corps, bascule les câbles. Étrange toupie, coque scindée.

 

Déroulée la houle, découpée la coupe, démolis les mots.

Nous cumulons les éternités comme un enfant empile ses cubes.

 

Mais dans le chiffon de l’univers, la mort serait-elle un trou de ver ?

 

 

 

 

 

Fugitive de Cathy Garcia, maintenant disponible chez Cardère éditeur

Illustrations originales de l’auteur, 64 pages, 12 €

http://www.cardere.fr 


 

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Anne Rothschild-L’enfance égarée

by Editions Caractères

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Mes bras entourent la mémoire où grandissent les morts
Je berce le cri l'invocation
D'un long tourbillon sonore
Redonnant à la voix sa partition perdue
Les cendres volées recomposent les contes d'une mère
Tant de beauté pour s'accorder aux choses
Sans plus rien attendre que le froissement d'une lèvre,
L'hésitation d'une feuille

Résumé

 
Editions Caractères | mars 26, 2014 à 10:16   | URL: http://wp.me/p3nKoS-Db


 

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Mars 2014         
 
Charles Dobzynski
Ma mère, etc., roman
   
 
 
 
«Journal d’une vie, éclats de vif-argent d’un temps retrouvé »
Michel Ménaché, Europe

 
«Dans Ma mère, etc., roman, Dobzynski remonte inlassablement le cours
de l’histoire et celui de sa propre mémoire
jusqu’à ce point culminant du temps où tout fait sens et signe,
où tout éclaire et s’éclaire.
C’est une lecture des plus précieuses qu’il nous offre là.»
Zéno Bianu, Poezibao
 
Cela pourrait se dire une autobiographie, ce qui s’entretissse ici, comme une tapisserie depuis la naissance, en Pologne, c’est toute la gamme des événements petits et grands, parfois dramatiques, les aventures, mésaventures, les amours et les amitiés, les étapes de la construction psychologique et professionnelle de celui qui deviendra le poète de Je est un juif, dont ce livre est un peu le prolongement.
  C’est la chronique d’une expérience jalonnée par les rencontres avec quelques grandes figures de ce temps, Cendrars, Éluard, Aragon, Char, Césaire, Asturias, Chagall. Itinéraire sinueux des rêves d’avenir, des utopies politiques, de l’enracinement dans la judéité.
  Chaque séquence de cette vie a pour rythme la musique du vers, et constitue par sa continuité, autour du thème central de la mère, un roman aux variantes et embranchements multiples.
ISBN : 978-2-336-29829-0 • 18 € • 192 p. • 13,5 x 21,5 cm
Les livres de Charles Dobzynski chez Orizons   
  Je est un juif, roman
 
   
 
 
« On ne naît pas femme, on le devient » disait Simone de Beauvoir. Peut-on prétendre : « On ne naît pas Juif, on le devient ». C’est ce que tente d’élucider Charles Dobzynski dans ce singulier roman en vers. La judéité est multiple. Elle se manifeste aussi dans un dialogue impertinent avec « Dieu sans confession » que galvanise l’irruption de l’humour. Le récit prend une ampleur épique en évoquant le destin de diverses communautés juives de la diaspora, aux États-Unis, en Russie, en France, en Pologne où s’effectue un poignant retour du poète sur son lieu de naissance. Dans l’ensemble de cette méditation axée sur la question : « être Juif, comment ? »
 
ISBN : 978-2-296-08771-2 • 13,5 € • 140 p. • 13,5 x 21,5 cm
 
  Un four à brûler le réel
 
   
 
 
Poète et critique, Charles Dobzynski nous invite à un singulier voyage au bout du siècle. Tout un siècle du territoire de la poésie qu’il parcourt, sous l’égide de Pierre Reverdy auquel il a emprunté son titre : Le poète est un four à brûler le réel. Ce panorama englobe 57 poètes, commence avec Guillaume Apollinaire et s’achève sur Franck Venaille. Il suit l’ordre alphabétique et celui des générations, avant et après 1940, avec un flash-back intermédiaire consacré à Rimbaud, Verlaine et Mallarmé. Tour d’horizon qui ne se prétend pas complet : il opère des choix, avoue ses prédilections. Elles sont fondées sur trois décennies de chroniques, à partir de l’observatoire que fut pour l’auteur la revue Europe. Il y a disposé régulièrement ses jalons, avec les classiques de la modernité : Aragon, Breton, Michaux, Ponge, Char, et ceux qui se sont révélés plus tard : Yves Bonnefoy, Du Bouchet, Bernard Noël...
 
ISBN : 978-2-296-08810-8 • 28 € • 352 p. • 16 x 24 cm
 
 
Le bal des baleines
& autres fictions
 
   
 
De quoi nous parle Le bal des baleines ? De notre temps que sa crise fait craquer ici et là. Craquements inopinés : dans le monde animal, où les papillons s’avèrent des ennemis publics, où les baleines danseuses donnent des leçons à ceux qui les traquent. Craquements d’un système de surconsommation, menacé d’auto-destruction : les appareils électroménagers d’un grand magasin se rebellent et deviennent incontrôlables. La résidence high-tech., de Jean-Christophe, où tout est régi par télécommande, tombe en panne. Craquements aussi dans les relations humaines et les passions...
 
ISBN : 978-2-296-08772-9 • 20 € • 254 p. • 13,5 x 21,5 cm
 
  Sonnets à Orphée
 
 
de Reiner Maria Rilke
traduction de Charles Dobzynski
   
 
 
Écrits en 1922 à Muzot, dans le Valais, en « quelques jours de saisissement immédiat » et conjointement aux dernières Élégies de Duino, auxquelles ils sont jumelés, les Sonnets à Orphée, sont une oeuvre magistrale et cristalline de Rilke. Après des décennies de traductions diverses, ils n’ont pas perdu un iota, ou un électron, de leur magnétisme, de leur puissance dionysiaque. Rilke affirme « le chant est existence » et son chant perpétue, en effet, une vibration lyrique de l’existence et de la pensée. Cette nouvelle version est le fruit d’une complète remise à jour.
 
ISBN : 978-2-296-08805-4 • 12 € • 140 p. • 16 x 24 cm
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Poètes du monde
 
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Les Corydon de Gide
d'Alain Goulet
 

 
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Éditions Orizons, 13 rue de l'École polytechnique, 75005 Paris
 
 

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Voici venu le mois de la fête de la poésie. Cette année, le Printemps des Poètes est consacré aux passerelles entre la poésie et les autres formes d'arts. Vous découvrirez l'anthologie que nous publions La poésie au coeur des arts en lisant cette 43ème lettre d'information. Et vous y retrouverez une trentaine de rendez-vous avec nos auteurs  dans toute la France. Bonne lecture !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici, ici et ici !

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Comme un rêve de plumes, pour attendre le printemps. C'est ce que vous propose cette 42ème lettre d'information avec les deux poètes étrangers que nous éditons en février : l'Israélienne Hadassa Tal et le Sud-coréen Mah Chong-gi. Venez les découvrir, ils sont publiés pour la première fois en France et retrouvez tous nos rendez-vous du mois. De quoi étirer le jour...

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici et ici

 

 

 

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Rebecca BEHAR nous a adressé ce courriel que nous diffusons :
 

Bonjour,

Pour votre radio, pourriez-vous diffuser des textes + musique, tirée de mes CD en indiquant que c’est téléchargeable gratuitement et réalisé par mail avec un musicien canadien, Claude Giroux ?

En tout cas voici le lien :

http://www.jamendo.com/fr/artist/REBECCA_BEHAR

Et je joins un texte que vous pouvez ajouter à votre site en indiquant le lien :

http://www.jamendo.com/fr/list/a91771/pluie-de-noms

Ce serait aussi une occasion de faire connaître les Canadiens et le site de Jamendo qui m’ont sauvé la vie !

Merci vivement par avance.

Rebecca Behar

http://www.rebecca-behar.com

 

 

AMOUR FANTASME.doc

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Habiter la Terre en poète n'est pas seulement un livre d'entretiens, avec une trentaine de personnalités de tous horizons et de toutes professions, mais aussi un Beau livre dans un grand format, un livre-objet, avec une reliure cartonnée, un graphisme étonnant, une typographie originale, un cahier de belles photographies.

 
Habiter la Terre en poète est un livre idéal pour celles et ceux qui ont le sens de la Terre, un goût pour l'art et la poésie, un attrait pour l'imaginaire et le sacré.

 
Vous trouverez, en pièces jointes, le bon de commande qui vous permettra de vous procurer cet ouvrage, et quelques extraits.

 
Ci-dessous, vous pourrez lire quelques commentaires, parus dans la presse.

 
« Un bel objet qui sent bon le papier et l'encre d'imprimerie, une belle typographie, de belles images, un superbe recueil de textes regroupant des auteurs comme Patrick Viveret, Serge Latouche, Mohammed Taleb, Jean-Marie Pelt, Michel Cazenave, Jérémy Narby ... pour n'en citer que quelques-uns (…) Et comme le dit la préface : Ce livre est une fête ! Si vous aimez faire des cadeaux, quelle que soit la saison, voilà un joli prétexte à vous faire plaisir ! »
Ecoattitude, site écologiste suisse

 
« Ce livre témoigne que l'écologie ne relève pas seulement du politique ou du médiatique, mais aussi, et même plus sûrement, de la philosophie, de l'art et du sacré. Accompagnés d'une riche iconographie, enserrés dans un graphisme original, les entretiens et les textes proposés nous font entrer dans une intelligence de la Nature faite d'images littéraires, d'expériences professionnelles, de méditations spirituelles. Ces documents proviennent du travail réalisé par l'association Les Cabanons, organisatrice de la Fête de la Terre, de Fontaine-Daniel. »
Le Monde des Religions, novembre-décembre 2013

 
« Un ouvrage magnifique et original qui correspond parfaitement au titre. Bravo !»
Bernard Ginisty, Chroniqueur à RCF

 
« Habiter la Terre en Poète est un beau livre, non seulement dans sa forme – il est un magnifique « livre-objet » - que dans les contenus qu'il propose aux lecteurs. Issu de la Fête de la Terre, organisée depuis dix ans, par l'association Les Cabanons, dans le village de Fontaine-Daniel (en Mayenne), cet ouvrage est notamment le recueil d'une trentaine d'entretiens avec des personnalités, des militants associatifs, des artistes, des artisans, des paysans ».
Association ARIANA/regards persans
11 rue Malcousinat
31000 Toulouse
05 62 17 68 91 / 06 70 22 32 71

 

 

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Les éditions Rhubarbe ont le grand plaisir de vous annoncer la naissance de

 

 

Né d’une résidence d’écriture à Edenkoben (Allemagne) en 2011, ce livre est tout à la fois un journal et un recueil de poésie. Mais aussi une méditation souriante sur les mots, leur naissance, leur vie sur la page et sur la langue, leur musique, leur pouvoir toujours neuf d’émerveillement.

On y croisera un petit garçon qui avait très envie, un chat, une géante endormie, une foule de quarks et de neutrinos, de mystérieux Elwetritsch et, lancé à leur poursuite, un poète.  

        

(Yves-Jacques Bouin est comédien, metteur en scène, lecteur, poète. Il s’occupe de programmations littéraires à Dijon depuis 2002 : temps de paroles, Salut Poètes ! et TèmPoésie.  Il propose aussi des lectures et des spectacles, tient des ateliers d’écriture et d’expression orale en bibliothèques, associations, établissements scolaires, universités, hôpitaux, maisons d’arrêt.  )

 

 

96 pages, 978-2-916597-71-3 ; 10,00 €

 

 

Alain Kewes

Éditions Rhubarbe

10 rue des cassoirs

89000 Auxerre

www.editions-rhubarbe.com

 

 

 

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Le n° 33|34 de la revue Contre-allées vient de paraître.

 

 

Il contient des textes inédits de Werner Lambersy, Laurent Albarracin, Stéphane Bouquet, Françoise Clédat, Christian Garaud, Gérard Titus-Carmel, Christiane Veschambre, Arnaud Beaujeu, Victor Dauzon, Marie de Quatrebarbes, Myriam Eck, Yves Ellien, Julien Ladegaillerie, Annie Monjanel, Lola Nicolle, Jean-François Perrin, Daphné Van Hansen et Laura Vazquez.

 

Cécile Glasman et Matthieu Gosztola s’entretiennent ensuite avec les poètes Ludovic Degroote, Marie Huot, Sophie G. Lucas, Philippe Païni, Pascal Commère, Armelle Leclercq et Camille Loivier.

 

Amandine Marembert, Romain Fustier et Cécile Glasman chroniquent enfin une trentaine des livres et revues.

 

L’illustration de couverture est de Valérie Linder : http://www.valerielinder.fr/

 

 

Ce numéro 33|34 est disponible, contre un chèque de la somme de 10 euros (franco de port) à l’ordre de « Association Contre-allées poétiques », à l’adresse suivante :

 

Revue & éditions Contre-allées

c/o Amandine Marembert et Romain Fustier

16 rue Mizault

03100 Montluçon

 

 

Vous pouvez aussi visiter le blog de la revue & des éditions Contre-allées : http://contreallees.blogspot.fr/

 

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En ce début d'année, suivons la lumière, empêchons les étoiles de tomber... Oui c'est ce que font les poètes, couver l'aurore avec nous, pour nous. Ceux que nous publions en janvier, l'astrophysicien Jean-Pierre Luminet et l'haïtienne Évelyne Trouillot tentent de recoudre les failles du ciel et de la terre avec leurs mots. Vous les découvrirez en lisant cette 41ème lettre d'information. Belle année à tous !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre cliquez ici et ici.

 

 

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revue  Concerto pour marées et silence

VIENT DE PARAITRE :

2013 – n° 6

Claude ALBARÈDE, Alain BENOIT, Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Patrice BLANC, Philippe BRAHY, Guy CHATY, Gérard CLÉRY, Jean-Pierre CRESPEL, Maurice CURY, Guillaume DECOURT, Eliane DEMAZET, Pierre ESPERBÉ, Jean-Paul GIRAUX, Florence GIUST-DESPRAIRIES, JAPH’ELIOS, Michel JOIRET, Monique LABIDOIRE, L’OG, André LAGRANGE, Daniel LEDUC, Olivier LE LOHÉ, Claude LUEZIOR, Romain MALLET, Hervé MARTIN, Bojenna ORSZULAK, Pierre-Dominique PARENT, Gérard PARIS, Jean-Pierre PARRA, Michel PASSELERGUE, Jacques SICARD, Richard TAILLEFER, Arnaud TALHOUARN, Odile VIÉ-DAVID.

Notes ou articles sur Jean-Louis BERNARD, Danièle CORRE, Nicole HARDOUIN, José MILLAS-MARTIN, Armand OLIVENNES, Pierre OSTER, Michel PASSELERGUE.

 Concerto pour marées et silence, revue - Colette Klein - accueil

colette.klein.monsite-orange.fr/concertopourmareesetsilencerevue/

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NOUVEAUX DELITS

BULLETIN COMPLICE.doc

Revue de poésie vive et dérivés
 

Numéro 47

 

« Dernier noël capitaliste » lançait le journal Hara Kiri en décembre 1972… Visionnaire, non ? Mais ils n’avaient pas prévu entre autre le retour des tablettes (depuis le bon vieux temps de l’argile) et des téléphones plus intelligents que leurs utilisateurs… Flonflons, cotillons, soyons mignons, la même rengaine encore et toujours, joyeux naufrage et bonne bourre 2014 !?

 

Oh bien-sûr, ça n’empêche pas les vrais sentiments, les vœux vraiment les plus sincères, ça n‘empêchera pas non plus les gens de mourir de froid dans la rue, noyés en Méditerranée, bombardés par ci, découpés par là, balayés par les statistiques, ça n’empêchera pas les trafics en tout genre, d’influences ou d’organes, mais on se plie bon gré, malgré, à la tradition, à l’habitude, au désir aussi, toujours un peu suspect, de capter un peu de joie précieuse entre deux factures.

Et puis on peut aussi lire ce numéro. Il est sans flonflons, sans trompettes, il est même un peu triste, un peu noir, un peu trash… Et pourquoi pas ? S’exprimer c’est aussi ne pas laisser dans l’ombre ce qui pourrait déranger, c’est affronter le malaise, ouvertement, ça peut même en devenir libérateur. Être libre de flonflons et de trompettes, prêt à accueillir chaque instant qui passe, avant ou après minuit, sans vouloir changer hier, sans craindre de ne pouvoir changer demain, mais simplement être ici et maintenant, heureux ou malheureux, amer ou amoureux, en pleine forme ou sur les genoux, pessimiste ou optimiste, lâche ou courageux, gagnant ou perdant, qu’importe ! Juste être là, laisser les sourires se poser sur nos lèvres s’ils le veulent et repartir quand ils auront envie d’aller fleurir d’autres bouches, laisser nos mains s’ouvrir et se fermer comme des battements d’ailes, en attendant le printemps qui revient toujours, même si tout se détraque, même si les coutures craquent et patatrac !

 

Se dire que plus on prend de claques, plus le sang circule…  et la vie va !

C.G.

 

 

 

Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes,

c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.

Nelson Mandela

(18 juillet 1918- 5 décembre 2013)
 

 

AU SOMMAIRE

 

 

Délit de poésie : Carl Sonnenfeld, Stéphane Bernard, Murièle Modély, Jérôme Pergolesi, Thierry Roquet.

 

Délit-foutoir : quelques streets imaginaires, un poète, un prisonnier et des signes de vieillesse, le tout passé au shaker d’Éric Dejaeger.

 

Suivi d’un Déli(t)re  au clavier de Léon Maunoury

 

Résonance : Le plancher  de Perrine le Querrec aux Ed. Les doigts dans la prose, 2013.

 

Délits d’(in)citations quelques touches supplémentaire de féminin dans ce numéro qui se moque un peu de la parité. On n’en pense pas moins.

 

Vous trouverez le bulletin de complicité au fond en sortant et vous l’offrirez à vos meilleurs ami(e)s comme à vos pires ennemi(e)s, le commerce ne prend jamais parti, seulement la monnaie.

 

 

Illustrateur : Jean-Louis Millet

 

"jlmi ? Grand spécialiste en rien mais curieux de tout : dessin, peinture, photo, écriture, édition virtuelle, chasse aux alternatives… le tout mis en actions concrètes dans l'animation virtuelle de blogs et de sites :

 

"Au hasard de connivences" un potlatch poético-artistique http://jlmi22.hautetfort.com/

"le Musée Improbable", chaque jour deux œuvres, deux artistes http://jlmi94.hautetfort.com/

"Évazine", une petit île d'asile poétique http://evazine.com/

"Zen-évasion", site grenier aux malles ego-mystérieuses http://www.zen-evasion.com/

Hors de la voie de la pensée unique, la croisée des "Voix dissonantes" http://jlmi.hautetfort.com/

ébauchée ici http://jlmi.eklablog.com/?logout

 

Allez y faire un tour …  ou plusieurs, c'est gratuit et sous copyleft
 

 

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/
 

À paraître chez Cardère éditeur en mars 2014

 

FUGITIVE

de Cathy Garcia

 

http://www.cardere.fr

 

Fugitive est un ouvrage en vers libres qui nécessite une lecture chronologique. Comme dans les deux premiers recueils de Cathy Garcia que nous avons publiés (Le poulpe et la pulpe en 2011, Les mots allumettes en 2012), on est dans un récit abstrait, avec un axe fort, de l’action, et ici une exhortation quasi externe : je marche, je dois marcher ! En miroir, le lecteur pourrait/devrait entendre : reconstruit ton propre récit, avance ! Ce texte court tire sa force de sa cohérence essentiellement. Le vocabulaire est riche, « brut », plutôt terrestre (pollen, étoiles, silex, transhumances, tourbe, loups, humus, rosée, glaise, vendanges, jachères, sources, rapace, moisson, rocaille, granit…) Les expressions sont souvent violentes, de l’ordre du tragique ou de la tragédie (Les bêtes désarticulées ; Visions éclatées de l’oracle ; Un corps de femme à lapider ; sinistres bouillies de chimères) ; on respire toutefois avec de rares mots tendres (la douce chair des roses ; la nacre d’un ange). On est parfois au bord de la provocation, de l’outrance sulfureuse (La meute aime le rut ; Je suis la sorcière parfumée d’épices. Voyez les déluges rougissant entre mes seins d’ambre ; Allongée. Au bord de la jouissance ; ouvrir mes cuisses libère mes odeurs de femme). On y trouve quelques constructions originales mais parlantes (liturgies volcaniques ; je panthère avec la mort). La situation de fuite, de traque, donne à ce recueil-récit une grande énergie où transpirent la colère, la frustration, la hargne, la révolte, mais aussi la soif de (sur)vie, l’animalité, une sorte d’optimisme quasi atteint. Nous avons avec l’écriture de Cathy Garcia, le côté féminin de celle de Serge Bec, en particulier dans Psaume dans le vent.


illustrations originales de l’auteur
64 pages, prix public 12 €
ISBN 978-2-914053-74-7


 


 

 

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AVEYRON les voeux de 

 Bonjour,

Je viens vous présenter tous mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année, bonheur, santé, joie...et patrimoines.

Et comme tous les 2 mois, je viens vous présenter le nouveau numéro (48) de Patrimòni, le magazine des patrimoines qui couvre les mois de Janvier et Février, le prochain sortira début Mars.

En jetant un coup d’œil au sommaire de ce numéro, vous trouverez des articles qui vous intéresseront plus particulièrement et qui peut-être vous donnerons l'envie de vous abonner :

Côté "Nature" : Le Loup, "réalité et imaginaire", ses origines, sa morphologie, sa vie de meute, ses relations avec les Humains... – "Dans les forêts et les bois", une ballade autour du patrimoine entomologique du Rouergue.

Côté "Histoire" : L’église de St Urcize en Aubrac, côté Auvergne, au temps de la réforme Grégorienne, son histoire, son architecture – Quand les chevaux étaient les moteurs animés des mineurs du Bassin – "Le hameau de Blanc" dans la vallée du Sanctus.

Côté "Occitan" : "Un conte de Nadal : la sanha reviscolada" - "Paure Lop" - "lo Lop sul causse Méjan".

La présentation de livres : "St Affrique et ses moulins", "Larzac", "La Partida Clandestina", "Histoire d’Arbres", "Le Loup réhabilité", "Les Cévennes"...

L’Agenda du patrimoine et de la culture des mois de Janvier et Février, qui informe des conférences, expositions, animations...sur des thèmes patrimoniaux.

Patrimòni est disponible dans les kiosques Aveyronnais (5 €) ou par abonnement (29.50 € l’an et 6 numéros pour la france, bulletin en pièce jointe).

Le magazine a besoin de vous pour pouvoir continuer son action en faveur de nos patrimoines.

Vous pouvez aussi offrir un abonnement, une idée de cadeau originale ! (bulletin en pièce jointe).

Sur le site : www.patrimoni.fr, vous trouverez les sommaires des numéros parus et bien d’autres informations.

Je vous remercie pour votre attention,

Plan coralament,

Bernard VERDIÉ

Camin de Petitous
Ròca Talhada
12490 MONTJAUX

Tél. : 05 65 58 19 82, Courriel : patrimoni@wanadoo.fr, Site : www.patrimoni.fr


PATRIMÒNI, Couverture du n°48 (Web).jpg

 
PATRIMÒNI, voeux 2014 (web).jpg

 

PATRIMONI, offrez un abonnement.pdf              PATRIMONI, offrez un abonnement.pdf

 

 

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Les éditions Caractères nous communiquent:

L’année 2013 se termine et avec elle bien des projets, des publications, des expositions. Ce fut une année riche en nouveautés, en poésie et en art.

Cette année se clôt sur des moments forts : la présentation du portfolio « Résonances » Tagore/Dhawan à l’Ambassade de l’Inde, l’exposition de Dhawan à la galerie des Éditions Caractères, la soirée de dédicace de Maurice Mourier à l’occasion de la sortie de son nouveau recueil « L’ivre de bords ».

C’est sur ces événements exceptionnels, que nous avons eu l’honneur d’organiser, que nous terminons cette année 2013.

Les Éditions Caractères ont aussi lancé en cette fin d’année une boutique en ligne. La plupart des ouvrages publiés par Caractères y sont disponibles. Il vous est désormais possible d’acheter n’importe quel livre par carte bancaire grâce à une plateforme sécurisée encadrée par PayPal, avec un compte PayPal ou par chèque. Vous pouvez nous contacter par mail ou par téléphone pour toutes questions relatives à un achat sur la boutique en ligne.


 

L’année 2014 s’ouvre notamment avec l’exposition « Figures » de Paolo de Felice du 3 au 29 janvier 2014, à la galerie des Éditions Caractères, dont le vernissage se déroulera le mercredi 15 janvier de 17h à 20h.Jean Portante lira des passages de son livre Richter illustré par Paolo de Felice. 

 

Les Éditions Caractères vous souhaitent de joyeuses fêtes de fin d’année et nous vous attendons pour de nombreux autres événements poétiques et artistiques pour l’année 2014.

 

Avec nos amicales salutations,


 

Les Editions Caractères

 
Éditions Caractères
7, rue de l'Arbalète 
75005 PARIS 
Tel : 0143379698
Fax : 0143372610
www.editions-caracteres.fr
e-mail : contact@editions-caracteres.fr

 

 

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Francis PORNON

"Le coffret"

nouvelles voir doc1  doc2

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Le livre d'où je viens
16 écrivains racontent
Préface de Guy ROUQUET
L'Atelier Imaginaire
Le Castor Astral
voir doc

 

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Guy ROUQUET de l'Atelier Imaginaire nous communique:

 

Je vous invite à découvrir les trois pages que je viens de mettre en ligne sur le site de l’Atelier Imaginaire, dont l’enrichissement se poursuit et va s’amplifier au cours du prochain semestre:
- Federico Garcia Lorca dit son amour du livre et la nécessité de le faire éprouver au plus grand nombre:
http://www.atelier-imaginaire.com/index.php?menu=94&page=6 

- Frédéric Jacques Temple relate sa rencontre à Alger, en 1942, avec Max-Pol Fouchet puis Edmond Charlot, l’inventeur des «Vraies Richesses», à l’aventure de laquelle Albert Camus participa, y publiant notamment L’Envers et l’Endroit et Noces:

http://www.atelier-imaginaire.com/index.php?menu=97&page=6
- Collection de l'Atelier Imaginaire: 
http://www.atelier-imaginaire.com/index.php?menu=156&page=1

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Mon Royaume pour un livre

16 écrivains racontent

Avant-propos de Guy Rouquet

Préface de Joël Schmidt

L'Atelier Imaginaire

Le Castor Astral

voir doc

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Vous rêvez d'offrir un remède à la morosité, un souffle d'espérance, un cadeau porteur d'avenir qui ne soit pas un produit high-tech dernier cri, aussi vite reçu, aussi vite oublié ? Pensez poésie ! Ce mois-ci, dans notre  40ème lettre d'informations, découvrez un compagnon de route de notre maison, un artiste aussi atypique que talentueux, avec lequel nous aimons faire vivre le passage des arts... Et retrouvez comme toujours, tous nos rendez-vous du mois. Bonne lecture !

Si vous ne parvenez pas à lire cette lettre d'information, cliquez ici et ici

 

 

 

 

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avis de parution "des lettres de la voie lactée"

d'Alain Helissen

 
Bonjour,
 
J'ai le plaisir de vous présenter ma dernière publication:
"Des lettres de la Voie Lactée".
Conçu comme une sorte d'abécédaire décliné librement
à partir des lettres contenues dans "Voie Lactée", cet
ouvrage mêle poésie visuelle et "définitions" plus ou moins
poétiques, en tout cas, ne sont pas dénuées d'humour ni de fantaisie.
Réalisé, pour l'essentiel, en impression typographique par
les bons soins de Jacques Renou dans son atelier de
Groutel (72), "Des Lettres de la Voie Lactée" constitue
une "pièce rare" dont le tirage a été limité à 66 exemplaires numérotés.
Voir en pièces jointes la fiche technique détaillée  les modalités de command une photo de couverture et quelques extraits. 
Bien cordialement,
 voir extraits  voir morceaux choisis voir bon de commande
 
Alain Helissen
http://alainhelissen.over-blog.com
Voir aussi: 
http://ahoui.over-blog.com/article-encre-fraiche-120937674-comments.html#anchorComment

 

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Vient de paraître :  
POÈMES FOLLETS & CHANSONS FOLLETTES POUR GRANDS PETITS & PETITS GRANDS,
 un recueil de poésie pour les zenfants !

 

 Un recueil qui s’adresse avant tout aux enfants

 de 9 mois avant la naissance  à 99 ans et demi après
 

POÈMES FOLLETS & CHANSONS FOLLETTES

POUR GRANDS PETITS & PETITS GRANDS

 

de Cathy Garcia

 

 

 

la ronde du chat.JPG

 

Illustrations originales en couleur  de 

 Joaquim Hock

http://joaquimhock.blogspot.com

 

 

 

 

Un recueil qui s’adresse avant tout aux enfants

 de 9 mois avant la naissance  à 99 ans et demi après

 

 

 

 

« Dès fois on est content

Dès fois on ne l’est pas

Dès fois on est gentil

Dès fois on ne l’est pas

 

C’est la vie

Et c’est comme ça

C’est comme ça la vie

 

(…)

La vie c’est bien

Et parfois ce n’est pas bien

Mais c’est toujours beau la vie

Mais parfois on l’oublie. »

 

alcove-1.JPG

 

 

 

Tirage sur papier recyclé limité et numéroté  

56 pages,  15 €

 

homme et son chat.JPG

 

  

À commander à l’Association Nouveaux Délits

 

« Dès fois on est content

Dès fois on ne l’est pas

Dès fois on est gentil

Dès fois on ne l’est pas

 

C’est la vie

Et c’est comme ça

C’est comme ça la vie

 

(…)

La vie c’est bien

Et parfois ce n’est pas bien

Mais c’est toujours beau la vie

Mais parfois on l’oublie. »

 
 

 

 

LA PREUVE

 

Une petite araignée court

Sur un peignoir de soie décoiffée

 

Un hippocampe s’étouffe

En avalant une étoile filante

 

Si les poissons

Embrassaient les fenêtres

Ce serait la preuve irréfutable

De la montée des eaux
 

37 poèmes de Cathy Garcia
  12 illustrations originales en couleur  de  Joaquim Hock
 

http://joaquimhock.blogspot.com
 

Tirage sur papier recyclé limité et numéroté  

56 pages,  15 €
 

Bon de commande

 


 


 

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Les éditions Cardère
 publient en septembre 2013 un recueil de poésie :

Requiem
de Marie-Josée Desvignes
Le thème est un sujet sensible, en premier lieu pour les femmes ;
je vous laisse le découvrir sur la présentation jointe à ce message...

Le recueil est illustré par 12 encres originales de l'auteur

Rendez-vous sur www.cardere.fr pour plus de détails...

Avec nos amitiés littéraires !
Bruno Msika

Cardère éditeur / l'Éphémère
42 rue du Pont de Nizon, 30126 Lirac (France)
Tél : 04 66 79 90 42
Fax : 09 72 13 11 11
mob. 06 03 17 85 65

SITE WEB : http://www.cardere.fr
Commande et réglement en ligne
Paiement sécurisé carte bleue ou Paypal

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en complément de la revue Nouveaux Délits :
 

Les Soliflores 


 

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/les-soliflores

 

Il s'agit de textes uniques d'auteurs, qui seront régulièrement publiés sur le blog de la revue. Ceci pour répondre à l'afflux toujours plus important de propositions, qui déborde largement de ce que peuvent contenir trois numéros papier par an. Inutile cependant d'envoyer des textes uniques à cet effet, il s'agit d'abord de donner de la visibilité à d'innombrables auteurs déjà en attente, et qui ne seront peut-être pas publiés ou republiés ultérieurement dans la revue papier. Les Soliflores sont donc des clins d’œil pour encourager la création poétique et ne pas l'émousser en la faisant attendre des mois, parfois des années, pour une publication papier.

Pour ouvrir donc le bal, un poème de Stéphanie Voisin, qui fait écho à Nuage rouge de Jean Azarel, publié dans le denier numéro : un hommage à la chanteuse trop tôt disparue, Lhasa de Sela. Suivie de Jean-Marc Gougeon, Didier Trumeau, Mireille Fridman, El' Mehdi Chaïbeddera et Andrea d'Urso. Pour l'instant, le rythme de croisière est d'un poème par jour.
Les illustrations pour les textes publiés sont les bienvenues pour celle et ceux qui auraient envie d'en proposer.
Quant à la revue, elle continue son petit chemin, prochain numéro en octobre. Un bel hommage lui a été rendue par Michel Host dans la revue Recours au poème, qu'on peut lire ici :

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2013/06/19/michel-host-parle-de-la-revue-nouveaux-delits.html 


et là
http://www.recoursaupoeme.fr/chroniques/le-scalp-en-feu-i...

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     Juillet 2013
 
 
André Gide a été le témoin capital de son temps.
Nous donnons un inédit : De me ipse ; un ouvrage fondateur : Poésies d'André Walter ;
et, sur lui, deux essais considérables.
 
 
 
978-2-296-08865-8
84 p. 16 x 24 • 11
rabats, papier de luxe
 
André Gide
 
De me ipse et autres textes préparatoires inédits
Présentés et annotés par Pierre Masson

 
Animé par une même exigence sur les plans éthique et esthétique, Gide ne cessa de considérer sa vie et son œuvre comme un acheminement vers une perfection commune. La vie devait servir à nourrir les œuvres, chacune de celle-ci était une étape préparant la suivante, et toutes, une fois réunies, devaient composer la figure idéale de l’Artiste. C’est ce que révèlent ces textes, pour la plupart inconnus. Ils émanent en particulier du De me ipse, ce dossier dont on savait que Gide l’avait tenu dès ses vingt ans, en vue d’écrire un jour ses Mémoires, mais qui était resté jusqu’ici inédit. Divers instantanés se proposent ainsi : découverte de la jouissance sexuelle, découverte de l’amitié fusionnelle, scènes de la vie quotidienne à Biskra, pathétique quête du plaisir sur la plage d’Étretat… autant de scènes révélatrices, que leur volontaire omission par Gide rend d’autant plus significatives.
L'ouvrage a bénéficié du concours de la Fondation Catherine Gide. 
Référence sur De me ipse, aller à E-Gide
 
978-2-296-08739-2
60 p. • 16x24  • 20
 
André Gide
Poésies d’André Walter
Voici les vingt poèmes qui complètent le premier livre d’André Gide, prix Nobel de littérature, écrit à vingt et un an pour persuader sa cousine Madeleine Rondeaux de l’épouser (ce qu’elle refusa d’abord) : Les Cahiers d’André Walter. Œuvre posthume. Plus tard, Gide se montrera critique : « Ce n’est pas très volontiers que je laisse réimprimer mon premier livre. Je ne le renie pourtant pas et veux bien croire ce que certains me disent : qu’ils m’y trouvent déjà presque entier. »

Illustrations de Christian Gardair
Essais
 
978-2-296-08828-3
506 p. • 16x24  • 39
 
Maja Vukusic Zorica
André Gide :
Les gestes d’amour et l’amour des gestes
 
Depuis les premiers essais d’écriture de L’Œuvre, sa somme, dont sont issus Les Cahiers d’André Walter, André Gide a été un diariste fervent. Son journal a été fondamentalement conditionné par la figure de l’Autre, à la fois absente et omniprésente, son épouse Madeleine, « Em. », qui a fait sien l’espace de Cuverville. Contraint de définir sa propre sincérité, il a inauguré une écriture sur l’homosexualité. Cette écriture met en scène une transformation graduelle de la troisième personne en première personne. Gide va oser dire « je », à l’encontre de Proust et de Wilde.
 
 
 
978-2-296-08827-6
328 p. • 16x24  • 30

 
 
Justine Legrand
André Gide : de la perversion au genre sexuel
 

 
L’exhortation d’André Gide à lire son œuvre en adoptant un point de vue esthétique résonne à certains égards comme un appel à se détourner des considérations morales. La découverte de ce qu’il nomme sa « normale » est l’occasion, selon lui, de rétablir un certain équilibre entre les différentes sexualités, avec pour objectif principal la légitimation de l’homosexualité. Dans son œuvre de fiction, Gide s’attache à présenter les défauts de tout ce qui est défini a priori comme étant la norme, ne reculant pas à mettre en lumière les travers du modèle familial bourgeois.
 
Pour vos commandes
 
Comptoir Orizons :
tél. 01 55 42 07 75
Du lundi au jeudi de 10h à 19h
 
 
ou Harmattan diffusion :
tél. 01 40 46 79 20
 
Plus d'infos
 
Éditions Orizons, 13 rue de l'École polytechnique, 75005 Paris

 

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Francis PORNON

publie: A la santé des pachas roman  éditions Aprés la lune  et Par delà le grand fleuve anthologie poétique

La passe du vent éditeur voir couverture voir article de Jean-Luc Bayard sur cette anthologie.

voir document ci-joint 

Voir : www.francispornon.fr

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Michel BAGLIN publie

aux éditions Le bruit des autres  La part du diable et autres nouvelles noires

208 pages 15 €

voir présentation et bon de commande.
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Michel BAGLIN à la suite de l'émission du jeudi 4 avril consacrée à Jacques ARLET pour son livre sur les poètes toulousains de la Belle Epoque, nous transmet l'article qu'il avait rédigé en 2005 pour La Dépêche du Midi.

Voir doc

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Vient de paraître: Le nouveau livre de Monique-Lise COHEN

"Etty Hillesum, une lecture juive"  (Ed. Orizons, 2013) voir doc et doc

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Isabelle Lévesque  

vient de faire paraître: 

-Un peu de ciel ou de matin, publié par les Deux-Siciles voir doc

-Va-tout, publié par les éditions des Vanneaux. voir doc
Elle sera présente au Marché de la Poésie, place Saint-Sulpice à Paris du 6 au 9 juin 2013:
- sur le stand 604 de la revue Diérèse (et les Deux-Siciles) tout le week-end, du jeudi au dimanche
- à 15 heures, le dimanche 9 juin, sur le stand 521 des Vanneaux
.

 

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Jean-Pierre CRESPEL L'Ordonnance du Crépuscule Editions LA FEUILLE DE THE Préface de CHRISTIAN SAINT PAUL

L’Ordonnance du Crépuscule suivi de Et si le Feu et le Gel

Editions LA FEUILLE DE THE

 « La souffrance profonde de tous les exilés ... est de vivre avec une mémoire qui ne sert à rien »

 Albert Camus

La Peste (1947)

PREFACE

 L’ordonnance du Crépuscule

 Shakespeare fait dire à Macbeth : « Mon étrange oubli de moi-même est une timidité novice qui veut être aguerrie par l’épreuve. » Jean-Pierre Crespel se livre par l’écriture à cette épreuve et apprend ainsi « comment (s’) évader/de (sa) propre présence. » Et lorsqu’il saura « (s’) isoler des visages/qui rôdent autour/en quête de sépultures » il parviendra à lire « dans la cité des bois/L’ordonnance du Crépuscule ».

 Le style à la fois dépouillé et flamboyant de cet amoureux invétéré de l’Orient affronte l’autre épreuve, celle du labyrinthe. Comme Thésée, il pénètre pour en triompher le « labyrinthe des couloirs de l’univers », il s’immerge dans le « royaume des énigmes/oublieuses de tout/pétries de mélancolie/ de déchirures ». Et la plus profonde des déchirures est celle de l’exil comme le rappelle la phrase de Camus mise en exergue : « La souffrance profonde de tous les exilés… est de vivre avec une mémoire qui ne sert à rien. » Le poids du monde, même lumineux comme le monde oriental, le précipite au « Naufrage au coeur de la beauté des lieux ». La référence au livre de Ruth, sa traversée du désert de Moav vers Ephrata (Bethlehem) et la Terre Promise est, ici, pour lui, avivée par les évènements actuels qui se déroulent au Proche et Moyen-Orient.Mais comme Thésée, il sort du labyrinthe, ayant jalonné son chemin de mots justes qui lui font lire « L’Ordonnance du Crépuscule », réalisant l’ « énigmatique promesse/faite à / (lui-même)/ amassée de fragments ».  

Ce chant à l’indéniable beauté exotique chère à Jean-Pierre Crespel, explore les méandres labyrinthiques des énigmes des lieux et de la vie, sans sombrer dans la déréliction, mais en  dépassant l’angoisse de celle-ci, par la révélation, aussitôt célébrée, de « L’Ordonnance du Crépuscule » qui préfigure l’agencement harmonieux des rouages du monde. Alors, loin de faire naufrage, ses songes accostent un rivage et se perdent « dans une ville inconnue ». L’homme songeur, pourra ainsi, et c’est sa victoire, habiter « poétiquement », comme disait Hölderlin, cette ville inconnue.

Et si le Feu et le Gel…

Le lyrisme flamboyant, baroque, du souffle poétique de Jean-Pierre Crespel est jugulé dans ce recueil « Et si le feu et le gel » sans que le lecteur soit privé de ces sensations fortes de la

démesure méditerranéenne qui habite ce poète. Les poèmes rendent hommage à la philosophe espagnole, Maria Zambrano qui considérait que la philosophie n’était que question et la poésie

n’était que réponse. « En sa naissance, la raison poétique est aurore avant même les formes poétiques de la parole » affirme-t-elle, phrase mise en exergue du recueil avec une autre qui

annonce clairement le développement poétique qui va suivre : « La raison assistée par le coeur –la personne toute entière- permet cette aube de la conscience ».

Jean-Pierre Crespel prend faits et causes pour cette posture métaphysique et avec sa passion toute orientale l’illustre par ce qu’il sait faire de mieux : le poème. Mais il s’agit aussi de

démontrer l’absolu bien-fondé de la philosophie poétique de Maria Zambrano. D’où la maîtrise du flux poétique, son resserrement. Et l’émotion s’avère plus forte de cette sobriété. L’exercice

est ambitieux, périlleux, mais réussi. Je dois admettre que Jean-Pierre Crespel m’a surpris. Ce grand lyrique amoureux de l’exubérance orientale délaisse le confort d’un imaginaire

somptueux pour témoigner, en sa qualité de sachant essentiel de poète, de la vérité d’une pensée philosophique. Précisément parce que cette conception philosophique le constitue, lui,

Jean-Pierre Crespel, comme poète légitime dans le monde.  « Je n’ai jamais su discerner un commencement d’une fin », avouait Georges Braque. Le feu et

le gel, de la même manière, sont les deux aspects opposés d’une même réalité. Crespel ne les oppose pas. Il revendique leur alliance pour donner un ordre au chaos originel :

« Et si le feu et le gel lentement/Magnifiaient la beauté des visages (…)/Alors le feu et le gel (…) S’allieraient aux passeurs de haute solitude. » Grâce au feu et au gel « Les paroles

consentiraient à l’embrassement des pierres/dans une langue chorégraphiée/Aux architectes des Ailleurs ». Alors « La Terre issue d’un voeu » serait « Fidèle à ses chemins de

dévoilements ». Le feu et le gel composent « une langue évidente en toute transparence ». Plus de ressacs dans la langue, s’enthousiasme le poète.

 La raison poétique préexiste aux formes poétiques. Elles n’en sont que le reflet. Mais l’alliance  du feu et du gel, réconciliés par la raison, n’établit pas un modèle accompli du monde qui

l’ancrerait dans un immobilisme propre à la mort. L’ordre du monde n’existe que par le chaos sans lequel il serait mort. Si le feu et le gel font alliance, c’est pour qu’aucun n’altère ses

qualités propres. S’allier pour frapper chacun avec son arme, mais sans se confondre, se  mêler. Leur confusion leur serait fatale, le feu liquéfierait le gel et le gel éteindrait le feu.

 Les mots sont de « désirables contre-feux » et le poème « Fonde l’offrande à venir ». Mais cette  langue issue du feu et du gel est provisoire, elle transcrit une parole inachevée à transmettre :

 « Un feu de mémoire enfouie où le gel s’insinue ». C’est la recherche de la parole perdue, cette parole originelle que nous ne connaissons plus, ces traditions enfouies où le gel s’est installé.

« Les sandales poursuivent les traces perdues » confie le poète persévérant et serein dans sa  recherche. Et l’Orient est toujours présent, prédominant dans le paysage crespelien : « Mezzovoce

 des mères /A l’Orient revenu du soleil ».  Marcel Proust recommandait de « suivre un auteur dan sa phrase », de se laisser séduire par  des formes de perception différentes. « Et si le feu et le gel » engage le lecteur dans d’autres

 possibilités d’être aperçues avec force par une philosophe espagnole. Jean-Pierre Crespel en  disciple convaincu met généreusement son travail de poète au service d’une pensée de nature à

 changer notre regard sur les mots, car en bon adepte, il met en pratique la volonté de Maria  Zambrano : « Sauver les mots de leur instantanéité, de leur être transitoire et les conduire par

notre réconciliation vers le perdurable, c’est la tâche de celui qui écrit *». Et c’est ainsi qu’il  trouve « l’étoile des confins / Avant la nuit. »   Hacia un saber sobre el alma

 Christian SAINT-PAUL

 

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CONCERTO POUR MARÉES ET SILENCE REVUE DE COLETTE KLEIN 6 NUMEROS ANNUELS

par Jean-Pierre Crespel (Articles), dimanche 16 juin 2013, 10:32
 

 

 

 

 

 

           

CONCERTO POUR MARÉES ET SILENCE n°5. 14 €. Rédaction : 164, rue des Pyrénées, 75020 Paris.

Concerto pour marées et silence est une revue annuelle axée sur la création poétique. Il n’y a pas de rubriques clairement identifiées au sein de Concerto pour marées et silence, mais trois mouvements : Moderato, Adagio et Allegro, au sein desquels cohabitent textes de création, articles et notes de lecture. Parmi les poètes, citons Patrice Blanc, Claudine Bohi, Jean-Pierre Crespel,Bernard Fournier, Annie Le Gall, Danièle Corre ou Nicole Hardouin : Demande ton chemin aux bourgeons - ils viennent de si loin.

Pour la partie critique : une belle évocation de Serge Brindeau par son épouse Paule, ainsi qu’entre autres, une note de lecture fouillée de Gérard Cléry sur Mireille Fargier-Caruso. Cette belle partition est orchestrée et dirigée, depuis 2008, par Colette Klein, infatigable animatrice de la scène poétique, mais aussi et surtout poète de talent : Les paysages déversés par le rêve ne connaissent jamais le nom du dormeur (in La neige, sur la mer…, La Bartavelle, 1997).

http://www.recoursaupoeme.fr/

: Concerto pour marées et silence, revue annuelle – Poésie créée en 2008 avec Colette KLEINqui sera accompagnée de poètes publiés dans la revue : Claudine BOHI, Francine CARON, Michel PASSELERGUE et Jeanine SALESSE.

J’ai adopté le titre d’un livre de Pierre ESPERBÉ pour célébrer la poésie. Une revue de plus ? Une revue de trop ? Mais la poésie n’est pas si assourdissante que cela en ce monde, puisqu’elle ne parvient pas encore à faire entendre les cris d’une humanité en péril ou à les transformer en chants d’allégresse. (…)Les portes et les fenêtres ne doivent pas restées fermées : puissé-je, par ce Concerto, vous inviter à écouter derrière « le silence du monde ».

http://lalucarnedesecrivains.wordpress.com/

Colette KLEIN

Poète, peintre, comédienne, membre du comité de rédaction de la revue Phréatique de 1979 à 2000, présidente de l'association « Arts et Jalons », Colette Klein (née en 1950, à Paris) dirige, depuis 2008, la revue Concerto pour marées et silence. À lire : Ailleurs l'étoile - St-Germain-des-Prés (1973). À défaut de visages - St-Germain-des-Prés (1975). Cécités - Millas-Martin (Prix jeune poésie François Villon 1978). Le Passe-nuit - Arcam (1980). Néante aux mains d'oiseaux - G.R.P. (1984). Les hautes volières du silence - Gravos Press (1994). La neige sur la mer ne dure pas plus que la mort - La Bartavelle (1997). Les Jardins de l’invisible - Alain Benoit (2002). Les Insomnies du voyage - G.R.P. (2002). Le Silence du monde - Alain Benoit (2003). La Pierre du dedans - Alain Benoit (2005). Les Tentations de L. - Alain Benoit (2009). Derrière la lumière - Alain Benoit (2010).

http://leshommessansepaules.com/

Passage en revues par Georges Cathalo

Concerto pour marées et silence

Depuis quatre ans, l’élégante revue « Concerto pour marées et silence » fait entendre en fin d’année son agréable petite musique.

Colette Klein est le « chef d’orchestre » de cette revue annuelle entièrement dévouée à la poésie. Elle est divisée en trois mouvements qui font référence au poète Pierre Esperbé, disparu en 2008, et auteur d’un recueil portant ce titre éponyme. En 160 pages, « Concerto pour marées et silence » propose d’excellents choix de poèmes inédits d’une trentaine de participants, textes entre lesquels s’intercalent des notes de lecture de quelques fidèles critiques.

Laissons-nous emporter par les mots des poètes et par leur musique « susceptible d’empêcher l’asphyxie ».

Aux sommaires des numéros déjà parus, on peut citer quelques noms garants d’une poésie lyrique de qualité : Jeanine Salesse, Alain Freixe, Richard Rognet, Pierre Oster, Max Alhau, Yves Namur, Jacqueline Saint-Jean, Michel Meresse,… Au-delà de ces lectures, Colette Klein invite chacun d’entre nous à « écouter derrière le silence du monde ». L’ensemble de la revue est très agréable à lire et à relire. On y circule avec bonheur et ceci d’autant plus qu’on y trouve de belles reproductions de tableaux en couleurs. Enfin, chaque livraison se termine par un opus qui présente les dernières œuvres des participants.

 Concerto pour marées et silence, revue

sera présente au 23e salon de la revue

à l'espace des Blanc Manteaux

du 11 au 13 octobre 2013

Le titre a été donné avec l’autorisation de Pierre Esperbé qui avait publié Concerto pour marées et silence,

à la Librairie Chambelland, en 1974

revue annuellede 150 pages environ

J’ai adopté le titre d’un livre de Pierre ESPERBÉ pour célébrer la poésie. Une revue de plus ? Une revue de trop ? Mais la poésie n’est pas si assourdissante que cela en ce monde, puisqu’elle ne parvient pas encore à faire entendre les cris d’une humanité en péril ou à les transformer en chants d’allégresse. (…)

Le poème, et les autres arts, servent tout autant l’apprentissage du savoir que les sciences : même approche hésitante, fervente ou effrayée, même tension de l’esprit vers le passé, vers l’avenir, vers les cellules, vers le cosmos.

Les portes et les fenêtres ne doivent pas restées fermées : puissé-je, par ce Concerto, vous inviter à écouter derrière « le silence du monde ».

Extrait de la préface du N° 1 (2008)

 

Mais Pierre ESPERBÉ est mort l’année suivante.

Un livre fermé est un livre muet. C’est la raison pour laquelle, j’aime inviter les morts à la table des vivants, vous l’avez compris (…).

Leur parole puisse nous accompagner dans notre voyage, à la manière du vent sur les braises.

A la manière du vin qui restitue, sous la langue, les mots secrets qui fomentent le poème et … le concerto.

Extrait de la préface du N° 2 (2009)

 

SOMMAIRES

 

N° 1 - 2008 : Claude ALBAREDE, Marc ALYN, Madeleine ASSOUS (gravure), Raymond BEYELER, Eliane BIEDERMANN, Claudine BOHI, Denise BORIAS, Gérard CLERY, Danièle CORRE, Maurice COUQUIAUD, André DOMS, Jean DUBACQ, Pierre ESPERBÉ, Mireille FARGIER-CARUSO, Vera FEYDER, Alain FREIXE, Eva GALLIZZI (gravure), Roger GONNET, Françoise HÀN, André LAGRANGE, Bertrand LAMPIN, François LAROQUE, Jean-Claude MARTIN, Jean-Paul MESTAS, Bernard MONTINI, Gérard MURAIL, NIMROD, Michel PASSELERGUE, Claude PETEY, Isabelle PONCET-RIMAUD, Jacques RANCOURT, Richard ROGNET, Georges ROSE, Nohad SALAMEH, Katty VERNY-DUGELAY, Jean-Luc WAUTHIER et Serge WELLENS.

 

N° 2 - 2009 : Daniel ABEL, Claude ALBARÈDE, Laurent ALBARRACIN, Max ALHAU, Claude BER, Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Serge BRINDEAU, Francine CARON, Gérard CLERY, Christophe DAUPHIN, Christine DELCOURT, Aurélien DEUDON, Bruno DOUCEY, Jean DUBACQ, Pierre ESPERBĖ, Mireille FARGIER-CARUSO, Jean JOUBERT, Monique LABIDOIRE Monique, Hélène LAFFLY, André LAGRANGE, Nadine LEFÉBURE, Béatrice LIBERT, André MALARTRE, Daniel MARTINEZ, Chris MESTAS, José MILLAS-MARTIN, Yves NAMUR, Robert NÉDELEC, Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, Lionel RAY, Philippe ROSSET, Jeanine SALESSE, Jacques SIMONOMIS, Katty VERNY-DUGELAY, Odile VIÉ-DAVID.

 

N° 3 - 2010 : Nicole BARRIÈRE, Jeanine BAUDE, Luc BĖRIMONT, Jean-Louis BERNARD, Patrice BLANC, Claudine BOHI, Hervé BORREL, peintre, Georges CATHALO, Guy CHATY, Gérard CLĖRY, Jean CROCQ, Christian DEUDON, Jean DUBACQ, Alain ELUDUT, Pierre ESPERBĖ, Elie-Charles FLAMAND, Roger GONNET, Brigitte GYR, Bernard HUE, Béatrice KAD, André LAGRANGE, Gérard LEMAIRE, Michèle LÉVY, Paul MATHIEU, Jacques MERCKX, Jean-Paul MESTAS, Paul MICLAU, Bernard MONTINI, Martine MORILLON-CARREAU, Gérard MURAIL, Pierre-Dominique PARENT, Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, Claude PETEY, RUFUS, Jacqueline SAINT-JEAN, Jeanine SALESSE, Jacques SICARD, Alice SPINDOLA, Katty VERNY-DUGELAY, Hélène VIDAL, Luc VIDAL, Serge WELLENS.

 

N° 4 - 2011 : Gabrielle ALTHEN, Jean-Louis BERNARD, Haïm-Nahman BIALIK, Eliane BIEDERMANN, Patrice BLANC, Patrick BLANCHIN,, Claudine BOHI, Denise BORIAS, Serge BOUVIER, Francine CARON, Francis CHENOT, Gérard CLERY, Danièle CORRE, Brigitte COTTAZ, Chantal DANJOU, Denis EMORINE, Pierre ESPERBÉ, FABRIZIO, Bernard FOURNIER, Jean-Paul GIRAUX, Roger GONNET, Bernard GRASSET, Rebecca GRUEL, JAPH’EIIOS, Monique LABIDOIRE, André LAGRANGE, Christiane LAÏFAOUI, Gérard LEMAIRE, Claude LUEZIOR, Michel MERESSE, J-Paul MESTAS, Thierry MISSONIER, Anne MOUNIC, Pierre OSTER , Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, PAULE, Jacqueline PERSINI-PANORIAS, Marie PIETRA, Georges ROSE, Henry ROUGIER, Jacques SICARD

N° 5 - 2012 : Daniel ABEL, Hélène BAUMEL, Carine BEHAR, Grégoire BERGASA, Yves BERGERET, Patrice BLANC, Claudine BOHI, France BURGHELLE REY, Gérard CLERY, Danièle CORRE, Caroline CRANSKENS, Chantal DANJOU, Chantal DENIS, Denis EMORINE, Christophe ESNAULT, Pierre ESPERBÉ, Bernard FOURNIER, Bernard GRASSET, Nicole HARDOUIN, André LAGRANGE, Werner LAMBERSY, Annie LE GALL, Claude LUEZIOR, Jean-Paul MESTAS, Wanda MIHULEAC, Colette NYS-MAZURE, Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, PAULE, Patrick RAVEAU, Jacques SICARD.

VIENT DE PARAITRE :

2013 – n° 6

Claude ALBARÈDE, Alain BENOIT, Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Patrice BLANC, Philippe BRAHY, Guy CHATY, Gérard CLÉRY, Jean-Pierre CRESPEL, Maurice CURY, Guillaume DECOURT, Eliane DEMAZET, Pierre ESPERBÉ, Jean-Paul GIRAUX, Florence GIUST-DESPRAIRIES, JAPH’ELIOS, Michel JOIRET, Monique LABIDOIRE, L’OG, André LAGRANGE, Daniel LEDUC, Olivier LE LOHÉ, Claude LUEZIOR, Romain MALLET, Hervé MARTIN, Bojenna ORSZULAK, Pierre-Dominique PARENT, Gérard PARIS, Jean-Pierre PARRA, Michel PASSELERGUE, Jacques SICARD, Richard TAILLEFER, Arnaud TALHOUARN, Odile VIÉ-DAVID.

 

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Jean-Pierre Crespel

 

 

Concerto pour marées et silence, revue

VIENT DE PARAITRE :

2013 – n° 6

...

Claude ALBARÈDE, Alain BENOIT, Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Patrice BLANC, Philippe BRAHY, Guy CHATY, Gérard CLÉRY, Jean-Pierre CRESPEL, Maurice CURY, Guillaume DECOURT, Eliane DEMAZET, Pierre ESPERBÉ, Jean-Paul GIRAUX, Florence GIUST-DESPRAIRIES, JAPH’ELIOS, Michel JOIRET, Monique LABIDOIRE, L’OG, André LAGRANGE, Daniel LEDUC, Olivier LE LOHÉ, Claude LUEZIOR, Romain MALLET, Hervé MARTIN, Bojenna ORSZULAK, Pierre-Dominique PARENT, Gérard PARIS, Jean-Pierre PARRA, Michel PASSELERGUE, Jacques SICARD, Richard TAILLEFER, Arnaud TALHOUARN, Odile VIÉ-DAVID.

Notes ou articles sur Jean-Louis BERNARD, Danièle CORRE, Nicole HARDOUIN, José MILLAS-MARTIN, Armand OLIVENNES, Pierre OSTER, Michel PASSELERGUE.





La revue sera présente au 23e salon de la revue

à l'espace des Blanc Manteaux

du 11 au 13 octobre 2013



Le titre a été donné avec l’autorisation de Pierre Esperbé qui avait publié Concerto pour marées et silence,

à la Librairie Chambelland, en 1974



revue annuelle
de 150 pages environ



J’ai adopté le titre d’un livre de Pierre ESPERBÉ pour célébrer la poésie. Une revue de plus ? Une revue de trop ? Mais la poésie n’est pas si assourdissante que cela en ce monde, puisqu’elle ne parvient pas encore à faire entendre les cris d’une humanité en péril ou à les transformer en chants d’allégresse. (…)

Le poème, et les autres arts, servent tout autant l’apprentissage du savoir que les sciences : même approche hésitante, fervente ou effrayée, même tension de l’esprit vers le passé, vers l’avenir, vers les cellules, vers le cosmos.

Les portes et les fenêtres ne doivent pas restées fermées : puissé-je, par ce Concerto, vous inviter à écouter derrière « le silence du monde ».

Extrait de la préface du N° 1 (2008)

Mais Pierre ESPERBÉ est mort l’année suivante.

Un livre fermé est un livre muet. C’est la raison pour laquelle, j’aime inviter les morts à la table des vivants, vous l’avez compris (…).

Leur parole puisse nous accompagner dans notre voyage, à la manière du vent sur les braises.

A la manière du vin qui restitue, sous la langue, les mots secrets qui fomentent le poème et … le concerto.

Extrait de la préface du N° 2 (2009)



SOMMAIRES



N° 1 - 2008 : Claude ALBAREDE, Marc ALYN, Madeleine ASSOUS (gravure), Raymond BEYELER, Eliane BIEDERMANN, Claudine BOHI, Denise BORIAS, Gérard CLERY, Danièle CORRE, Maurice COUQUIAUD, André DOMS, Jean DUBACQ, Pierre ESPERBÉ, Mireille FARGIER-CARUSO, Vera FEYDER, Alain FREIXE, Eva GALLIZZI (gravure), Roger GONNET, Françoise HÀN, André LAGRANGE, Bertrand LAMPIN, François LAROQUE, Jean-Claude MARTIN, Jean-Paul MESTAS, Bernard MONTINI, Gérard MURAIL, NIMROD, Michel PASSELERGUE, Claude PETEY, Isabelle PONCET-RIMAUD, Jacques RANCOURT, Richard ROGNET, Georges ROSE, Nohad SALAMEH, Katty VERNY-DUGELAY, Jean-Luc WAUTHIER et Serge WELLENS.



N° 2 - 2009 : Daniel ABEL, Claude ALBARÈDE, Laurent ALBARRACIN, Max ALHAU, Claude BER, Jean-Louis BERNARD, Raymond BEYELER, Serge BRINDEAU, Francine CARON, Gérard CLERY, Christophe DAUPHIN, Christine DELCOURT, Aurélien DEUDON, Bruno DOUCEY, Jean DUBACQ, Pierre ESPERBĖ, Mireille FARGIER-CARUSO, Jean JOUBERT, Monique LABIDOIRE Monique, Hélène LAFFLY, André LAGRANGE, Nadine LEFÉBURE, Béatrice LIBERT, André MALARTRE, Daniel MARTINEZ, Chris MESTAS, José MILLAS-MARTIN, Yves NAMUR, Robert NÉDELEC, Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, Lionel RAY, Philippe ROSSET, Jeanine SALESSE, Jacques SIMONOMIS, Katty VERNY-DUGELAY, Odile VIÉ-DAVID.

N° 3 - 2010 : Nicole BARRIÈRE, Jeanine BAUDE, Luc BĖRIMONT, Jean-Louis BERNARD, Patrice BLANC, Claudine BOHI, Hervé BORREL, peintre, Georges CATHALO, Guy CHATY, Gérard CLĖRY, Jean CROCQ, Christian DEUDON, Jean DUBACQ, Alain ELUDUT, Pierre ESPERBĖ, Elie-Charles FLAMAND, Roger GONNET, Brigitte GYR, Bernard HUE, Béatrice KAD, André LAGRANGE, Gérard LEMAIRE, Michèle LÉVY, Paul MATHIEU, Jacques MERCKX, Jean-Paul MESTAS, Paul MICLAU, Bernard MONTINI, Martine MORILLON-CARREAU, Gérard MURAIL, Pierre-Dominique PARENT, Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, Claude PETEY, RUFUS, Jacqueline SAINT-JEAN, Jeanine SALESSE, Jacques SICARD, Alice SPINDOLA, Katty VERNY-DUGELAY, Hélène VIDAL, Luc VIDAL, Serge WELLENS.

N° 4 - 2011 : Gabrielle ALTHEN, Jean-Louis BERNARD, Haïm-Nahman BIALIK, Eliane BIEDERMANN, Patrice BLANC, Patrick BLANCHIN,, Claudine BOHI, Denise BORIAS, Serge BOUVIER, Francine CARON, Francis CHENOT, Gérard CLERY, Danièle CORRE, Brigitte COTTAZ, Chantal DANJOU, Denis EMORINE, Pierre ESPERBÉ, FABRIZIO, Bernard FOURNIER, Jean-Paul GIRAUX, Roger GONNET, Bernard GRASSET, Rebecca GRUEL, JAPH’EIIOS, Monique LABIDOIRE, André LAGRANGE, Christiane LAÏFAOUI, Gérard LEMAIRE, Claude LUEZIOR, Michel MERESSE, J-Paul MESTAS, Thierry MISSONIER, Anne MOUNIC, Pierre OSTER , Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, PAULE, Jacqueline PERSINI-PANORIAS, Marie PIETRA, Georges ROSE, Henry ROUGIER, Jacques SICARD



N° 5 - 2012 : Daniel ABEL, Hélène BAUMEL, Carine BEHAR, Grégoire BERGASA, Yves BERGERET, Patrice BLANC, Claudine BOHI, France BURGHELLE REY, Gérard CLERY, Danièle CORRE, Caroline CRANSKENS, Chantal DANJOU, Chantal DENIS, Denis EMORINE, Christophe ESNAULT, Pierre ESPERBÉ, Bernard FOURNIER, Bernard GRASSET, Nicole HARDOUIN, André LAGRANGE, Werner LAMBERSY, Annie LE GALL, Claude LUEZIOR, Jean-Paul MESTAS, Wanda MIHULEAC, Colette NYS-MAZURE, Gérard PARIS, Michel PASSELERGUE, PAULE, Patrick RAVEAU, Jacques SICARD.

Notes ou articles sur Jean-Louis BERNARD, Serge BRINDEAU, Francine CARON, Mireille FARGIER-CARUSO, Guadalupe GRANDE, Marguerite GREPON, Hubert HADDAD, RACHEL.

 

 

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Vient de paraître :
Daniel MARTINEZ
La croisée des saisons
éditions du Contentieux
16 p, 5 €
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Daniel MARTINEZ
Kakusha
éditions du Contentieux
16 p, 5 €
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Jacques BASSE
« Vague de Poètes en Méditerranée ».
VOIR BULLETIN DE SOUSCRIPTION

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La femme en vol, Ile Eniger – Collection main de femme, éditions Parole 2012. 250 pages, 12 €

 

 

La femme en vol, c’est l’histoire d’une femme et son intimité amoureuse, familiale, racontée à la troisième personne du singulier. Une histoire qui se révèle par petites touches, comme une peinture. Et justement, cette femme, c’est Fane et Fane aime Jean, Jean qui aime Fane. Mais voilà, Jean aime aussi la solitude et la peinture, et Fane va peu à peu apprendre le prix de cet amour qui est à la hauteur de ses exigences. Aimer Jean, c’est l’accepter tout entier, parce-que la solitude et la peinture l’emporteront sur son amour de femme, exigeant, exclusif, immense. Ce que Jean et Fane partagent et ne cesseront de partager, le ciment ou plutôt les ailes de leur amour, c’est une soif éperdue d’authenticité et de liberté.

 

« Bien sûr qu’elle avait eu envie de baisser les bras, de rentrer dans ces rangs bien droits, bien rassurants, bien sagement préparés pour toi dès que tu montre ta tête. Bien sûr que la facilité avait été tentante, la banalité attestée est tellement plus confortable que le contre-courant ! On t’aime quand tu commences à ressembler à tout le monde ! Tu oublies qui tu es, pour quoi tu es, et ceux qui pensent à ta place se font un plaisir d’organiser tes limites. On te coule dans le moule sans qu’un poil ne dépasse, tu es reconnu ! »

 

Fane, sa liberté, elle la trouvera dans l’écriture, mais elle est femme et donc capable d’aimer plusieurs choses en même temps, se donner à toutes avec la même force, le même bonheur. Les hommes ne savent pas aimer comme les femmes. Ils aiment autrement, certains ne savent pas du tout aimer, mais Jean lui, il aime Fane et de cet amour est née une Belle Cerise, qui grandira en même temps que ses parents dans un mas retapé de l’arrière-pays niçois. Ce nid d’amour que Fane quittera un jour parce qu’elle doit le faire, parce qu’elle est une femme en vol.

 

Ce livre est bon comme un pain qui sort du four, beau comme un jardin sauvage, doux comme la fourrure d’un chat et puissant comme le mistral. C’est un roman d’amour qui va au-delà de l’amour, dans ce qui le sublime et le transcende. Ainsi l’amour ne peut mourir, seuls les masques et les oripeaux brûlent, mais quelque chose demeure, le noyau même de l’amour, qui est fait de poésie pure, mystique parfois, une quête éperdue de beauté, d’intensité. Fane n’est pas une femme de compromis, elle s’affirme dans ce qu’elle est, ce qu’elle pense, envers et contre toute attente sociale, elle est libre et seul un amour comme celui de Jean peut la rendre plus libre encore.

 

« – Tu comprends, à choisir un code je n’en vois qu’un : l’amour. Je me fiche que cela paraisse désuet, ou décrété impossible par une tonne de crétins. Il y a une perfection quelque part, je la cherche. Je ne vis pas à contre-courant j’essaie d’aller dans mon courant. »

 

Ce qui peut sembler aux yeux d’autrui comme une dépendance, l’impossibilité de tourner une page, est en fait une plongée dans la source même de l’amour. Un amour inconditionnel où le don devient une immense richesse, et que peut-on donner de plus grand que l’acceptation de la liberté de l’autre. C’est véritablement l’envol au–dessus des contingences, celle qui nous sont imposées par les règles sociales, mais aussi par nous-mêmes. La femme en vol est un bonbon qui fond sous la langue, un bonbon à la menthe poivrée, rafraichissant, vivifiant. On se régale à le lire, il contient tout un tas de trésors. La simplicité y devient un art de vivre et on touche à l’absolu, quelque chose qui ne se dit pas, mais qui s’éprouve, qui met tous les sens en éveil. C’est de la haute-voltige et heureux soient celles et ceux qui en saisiront toute la profondeur.

 

Cathy Garcia

  

  Ile Eniger est née en 1947. Poète et romancière, elle vit dans un petit village de l’arrière-pays niçois. Son œuvre, importante, répond à l’urgence d’écrire, impérative et vitale comme celle de la respiration. Une ile à aborder : http://insula.over-blog.net


Bibliographie :

 

Regards vers ailleurs (épuisé) Éditions Alternatives et Culture

 

Empreintes (épuisé) Éditions Corporandy

 

Éditions Cosmophonies

La parole gelée

Les terres rouges

Une pile de livres sous un réverbère

Du feu dans les herbes

Celle qui passe

 

Éditions Chemins de Plume

Du côté de l’envers (Illustrations Émile Bellet)
Il n’y aura pas d’hiver sans tango, mon amour

Le bleu des ronces

Bleu miel

Terres de vendanges

Et ce fut le jardin - (Photos Dominique Cuneo)

Poivre bleu

Un violon sur la mer

Boomerang

Le raisin des ours (à paraître juin 2013 aux Éditions Chemins de Plume)

 

Éditions Collodion

L’Inconfiance – (Dessin Claire Cuenot)

Un coquelicot dans le poulailler

 

Éditions Le Libre Feuille

Le désir ou l’italique du jour – (Encres Michel Boucaut)

Une ortie blanche - (Gravures Michel Boucaut) – Prix du Livre d'Artiste Salon d'Automne Paris 2012

 

D'une île, l'autre – (Correspondances avec le chanteur auteur-compositeur Dominique Ottavi) Éditions Amapola

 

En préparation : Recueil de textes poétiques à 2 voix avec l'écrivain québécois Jean-Marc La Frenière – Parution au Canada en 2014

 

 

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Le n° 58 de la revue Diérèse:

 

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Nouveaux articles en ligne cette semaine

Sommaire 44 / Issue 44 /Sumario 44

Pour toute proposition ou demande : recoursaupoeme@gmail.com

Rencontre :

Transcender les frontières. Une discussion sur la poésie israélienne contemporaine et sa traduction, par Sabine Huynh

Focus :

Rose Ausländer

Poèmes

Yi Sha

Jean-Louis Giovannoni

Nina Zivancevic

Yehuda Hyman

Sabine Huynh

Chroniques

Les questions de Franck Venaille, par Alain Marc

Notes pour une poésie des profondeurs [8]. Jean Rousselot en présence de la poésie, par Paul Vermeulen

Essai

Traduire les Novénaires, par ChristopheCarraud

Bernard Hreglich (1943-1996), un poète singulier et flamboyant, par Max Alhau

Revue des revues :

Autour de Diérèse, Ecrit (s) du Nord et Phoenix, par Sophie d’Alençon

Critiques

Le jardin de l’orme de Paul Morin par Marie-Hélène Prouteau
Œuvres de Max Jacob, par Eze Baoulé

A propos du secret secret de Laurent Albarracin, par Marie Huot

Carnet de somme de Nathanaël, par Matthieu Baumier
Breve antología poética
de Luis Bénitez, par Daniel Dragomirescu

Directeur de la publication : Gwen Garnier-Duguy

Rédacteur en chef : Matthieu Baumier

Rédaction : Mathieu Hilfiger
Michel Host
Antoine de Molesmes
Paul Vermeulen
Pascale Trück
Christophe Morlay

Collaborateurs réguliers

Jean-Luc Maxence, Alain-Jacques Lacot, Alain Gopnic, Pascal Boulanger, Salima Aït-Mohamed, Fabien Desur, Jean Maison, Matthieu Gosztola, Luis Bénitez, Marie Stoltz, Bernard Mazo (), Gérard Bocholier, Malika Hadji, Andrjez Taczyński, Pierre Maubé, Max Alhau, Marija Knezevic, Giriraj Kiradoo Sophie d’Alençon, Dubravka Djuric, Phil McBeath, Denis Emorine, Eze Baoulé, Lucia Acquistapace, Zvonko Karanovic, Jean-Pierre Védrines, Dimitra Kotoula, Didier Bazy, Željko Mitić, Shasheen Sauneree, Maximilien Kronberger, Christos Chrissopoulos, Nathanaël, Arundhathi Subramaniam, Katerina Iliopoulou, Christophe Dauphin, Nina Zivancevic, Yves Roullière, Elizabeth Brunazzi, Andrew Taylor, Brigitte Gyr, Maja Herman Sékulic, Marissa Bell Toffoli, Ian Gibbins, Jelena Radovanović, Laura Vazquez, Michel Baglin, Damir Sodan, Jean-Luc Wauthier, Eva-Maria Berg, Dominique Sorrente, Márcia Marques-Rambourg, Béatrice Machet, Rouhollah Hosseini, Robert Furlong, André Ughetto, Lucien Wasselin, Charlène Clonts, Danièle Faugeras, Sabine Huynh, Marilyne Bertoncini, Nasser-Edine Boucheqif, Anne-Marie Soulier

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Vient de paraître de

Claude CAILLEAU

COCKTAIL DE VIE

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Vient de paraître de Patrick CAUJOLLE:

Les Mystères du Gers

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  Rencontre
Cécile Guivarc’h, par Matthieu Gosztola
Focus   

Rose Ausländer

Poèmes

  Samantha Barendson
Luis Bénitez
Pierre Maubé
Joanna Chen
Cécile Ouhmani

Chroniques    

Le verbe différent, par Salima Aï-Mohamed
Chronique du veilleur sur Alain Suied (6), par Gérard Bocholier
Essai
 
La poésie de Elie Charles Flamand, par Marc Kober
Pierre Chabert : le poète émotiviste de l’humour de sang, par Christophe Dauphin

Revue des revues 

La revue Fario, par Matthieu Baumier

Critiques

Du chaud et du froid de Eric Sénécal, par Lucien Wasselin

L’inexploré pays de Margo Ohayon, par Michel Host

Courts métrages de Jean-Jacques Nuel, par Jean-Paul Gavart Perret
« méfie-toi du pathétique », Monologue de L. Degroote, par Angèle Paoli

Jean-Pierre Boulic, Paroles à tous les vents, par Gwen Garnier-Duguy

 

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 Revue Nouveaux Délits, le numéro 45 : éclosion imminente
Voir bulletin complice

 


Avril Mai Juin 2013

Vous avez remarqué, mis à part votre serviteuse et la merveilleuse illustratrice, nulle femme publiée dans ce numéro : QUE des hommes ! De quoi faire frémir le printemps féministe, un coup fatal aux normes de parité…  Alors ? Je ne sais pas, cela doit être le printemps justement, la montée de la sève, l’érection des petites pousses et des bourgeons, quelque chose de l’ordre de l’élan premier, la fougue du yang, le redressement des lingams… Des hommes donc, mais ces hommes cependant écrivent de la poésie, et si ça, ce n’est pas faire preuve d’une certaine sensibilité - sensiblerie diraient les jaloux ; si ça, ce n’est pas mettre à nu une certaine féminité ! Voilà donc des hommes dévoilés, qui se répandent en mots pleins de force, de chagrin parfois, de beauté, de compassion aussi, d’attention à l’autre. Ils sont magnifiques, les hommes, quand ils posent leurs joujoux de guerre, leurs pelleteuses et leurs calculettes, leur arrogance de garçonnets cravatés trop serrés, quand ils transforment des pulsions en poésie, des colères en coléoptères, des bottes de plomb en papillons de duvet. C’est beau un homme quand il tient debout tout seul, nu face au soleil, quand il respire amplement, les pieds ancrés à la terre mère. C’est beau un homme qui chante et qui pleure, qui tend la main vers d’autres hommes, vers des femmes, des enfants, un chat, une chouette, une fleur. C’est beau un homme qui ouvre ses bras, qui s’invente des ailes, pas pour aller plus vite ou plus haut non, mais pour accomplir des rêves qui donneront des fruits à offrir et partager. Oui, c’est beau un homme, et tout particulièrement quand il est une femme aussi, et un enfant encore. Pas pour faire des caprices ou ne jamais rien assumer, non, mais pour conserver intacte sa capacité à s’émerveiller et pouvoir offrir et partager ce qu’il a vu, entendu, senti, créé. C’est beau un homme, quand il vise haut et juste, avec sa conscience propre, quand il a le cœur au courage et le désir du vivant. Alors surtout, continuez, les hommes, soyez beaux, surtout du dedans !

 

CG

homme rivière aux étreintes

mille fois renouvelées

homme si vaste

aux bras de sable

homme profond

de sagesse infinie

Cathy Garcia

in Salines


 

AU SOMMAIRE
Délit de poésie
:
Samuel Dudouit, Patrick Tillard (Québec), Frédéric Ohlen (Nelle Calédonie)
Jean Azarel, Nuage rouge, un hommage à la chanteuse Lhasa de Sela et un extrait De lauze et d’air, un poème fleuve qui prend sa source en Lozère.
Nicolas Kurtovitch (Nelle Calédonie), L’attente des hommes alentours
Résonances : L’éponge des mots de Saïd Mohamed
Le bulletin de complicité bloque la sortie avec des appels de sève.

Illustratrice :


 

Corinne Pluchart

pluchart.corinne@orange.fr

 

« Toujours près du Mont, mon Lieu. La mer... j'écris, je marche, je m'arrête, je cherche. Poète surtout, avec la mer, le vent, le temps, la vie et la lumière. »

CHAISE CONTRE BALAI

 

LA chaise, sur laquelle se pose et se repose notre partie la plus charnue, LA chaise, une sorte de cul de remplacement en somme. Objet commun d’entre tous, objet d’une telle évidence et qui s’offre si généreusement « Prenez-donc une chaise. ». Quatre pieds bien ancrés, entre terre et ciel, nous offre une position qui n’a pas toujours été la nôtre, et qui d’ailleurs ne l’est toujours pas dans bien des endroits de notre planète. Quatre pieds bien arrimés, qui n’empêchent pas pour autant les enfants de s’en balancer, au risque de valdinguer, chaise et enfant confondus, six pieds en l’air. Serait-ce à dire que les enfants ont moins de respect pour ce si noble objet que nous, adultes, grands et responsables ? Les enfants préfèrent, à l’image de nos ancêtres et de nombreux peuples encore aujourd’hui, s’asseoir par TERRE. La chaise finalement ne serait-elle pas plus convenable que confortable ? Ce n’est pas Pharaon qui me contredirait qui fut sans doute le tout premier à vouloir affirmer sa puissance, en dominant un peuple accroupi aux dépends de son propre confort. En effet, les premiers sièges nous les devons aux Égyptiens, avant la klismos de la Grèce Antique, qui innove avec le siège ergonomique.

 

À l'origine donc, la chaise était un privilège réservé aux élites. Les gens du peuple, chez nous par exemple, utilisaient le coffre, le banc ou le tabouret. Autant dire que de la chaise au pouvoir, il suffit de prendre place, et le must ce sont les chaises portées par d’autres, la sedia du Pape (habemus !) et autre chaises à porteur qui sont souvent vite devenus le symbole de l’oppression dans les pays colonisés. Et nous pouvons pousser la réflexion jusqu’à l’inversion du symbole, quand la chaise fait déchoir l’être au plus bas, elle devient alors celle du condamné, la chaise punitive par excellence, la chaise électrique.

 

Mais revenons à nos chaises à nous, nos chaises toutes simples, si familières dans les foyers même les plus modestes. Si pratiques certes, mais sont-elles vraiment à ce point, indispensables ? Si nous n’avons pas la grosse tête en y posant nos fesses, ne seraient-elles pas pourtant comme un obstacle immiscé entre notre rondeur postérieure et la rondeur de la Terre ? Nos fesses ne se plairaient-elles pas mieux au sol finalement et n’y aurait-t-il pas quelque chose à apprendre à s’asseoir de cette façon ? Quelque chose qui aurait à voir avec un peu d’humilité. Agenouillés, en tailleur, voire en lotus, est-il impensable d’imaginer que cela puisse nous libérer l’esprit ? Nous ramener à une plus juste mesure ? A une gymnastique à la fois morale et physique qui nous serait bénéfique ? Les Asiatiques semblent en savoir plus que nous en ce domaine et pour avoir pratiqué, je pourrais même dire que la posture assise au sol, lotus ou zazen, peut nous être extrêmement bénéfique, de même que tout simplement s’asseoir plus souvent dans l’herbe.

 

J’écris tout ceci en buvant mon café, assise bien évidemment sur une chaise, une chaise en bois tout ce qu’il y a de plus classique. Alors plutôt que de bavarder plus longtemps, passons à la pratique justement. Me voilà assise sur le ciment de la terrasse. Première observation : il est frais et c’est agréable. Deuxième observation : le sol est sale. J’en arrive donc à cette conclusion, je vous l’accorde un peu hâtive, mais c’est un fait : si nous n’avions pas de chaises, nous passerions plus souvent le balai !
 

 

Cathy Garcia, juillet 2010
 

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/ http://associationeditionsnouveauxdelits.hautetfort.com/ http://cathygarcia.hautetfort.com/

 

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Lorsqu’un poète rencontre un autre poète au cours d’un festival de poésie au bord de la Méditerranée durant l’été 2012, sur quoi peuvent-ils bien échanger ?

            La parole que les deux poètes tiennent ici s’apparente autant à un dialogue socratique qu’à une incantation montant des intervalles de silence entre deux vagues de méditation sur l’engagement du poète de la scène de ses mots à la scène de l’histoire.

 

PAROLES DE POÈTES

POÈTES SUR PAROLE

de Jean-Luc POULIQUEN

 et Philippe TANCELIN

 Pour 13,50 €, vous pouvez lire ces témoignages poétiques. 

Adressez votre commande et votre chèque à : Jean-Luc Pouliquen – 2, Montée de Noailles – 83400 –HYÈRES.

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Gaston PUEL

42 Sirventés pour Jean-Paul

Poèmes parus aux éditions de Rivières,

édition établie par René Piniès

Bulletin de commande

 

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  Diérèse n° 58

PARUTION LE 20 FEVRIER 2013.
voir couverture1 et 2

      Au sommaire Gérard Titus-Carmel, Yves Charnet, Emmanuel Moses, Pierre Chappuis, Isabelle Lévesque, Françoise Ascal, Jacques Kober, Marie de Quatrebarbes, Fabio Scotto, Joël Vernet, Daniel Martinez... Poésies du monde : Du Fu, Durs Grünbein... Figures libres & notes critiques. Le numéro : 18 € (port compris).
                                Disponible à l'adresse de la revue :
                                              Daniel Martinez
                                              Revue "Diérèse"
                                             8 avenue Hoche
                                         77330 Ozoir la Ferrière.
Ainsi qu'à la librairie Compagnie (Paris Ve), et à la librairie La Lucarne (Paris XIXe).
 

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Jean-Pierre CRESPEL 

publie à "La Feuille de thé" éditeur

L'ordonnance du  Crépuscule

préface de Christian Saint-Paul

voir présentation et bon de commande

et L'Oeil du Temps

voir  couverture et bon de commande 

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Félix CASTAN
Les publications et DVD édités par la Maison de la Culture de Larrazet
sur l'oeuvre et la pensée de
Félix CASTAN
sont toujours disponibles.
Vous trouverez en cliquant ici  les indications pour vous les procurer.
Par ailleurs , vous pouvez consulter le site des EDITIONS COCAGNE
où vous trouverez toutes les
informations sur les 4 dernières publications de Félix CASTAN :
EPOS ETHOS,
OCCITANISME PEDAGOGIQUE,
HETERODOXIES ( Histoire de la littérature occitane)-
AU TEMPS DE LA FRANCE PLURIELLE.
Nous vous invitons également à deux journées informelles les
6 et 7 juillet 2013 à Montauban pour
réfléchir à un manifeste qui s'appuie et actualise la vision de la culture et de l'occitanie de Félix CASTAN.

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L'activité des éditions Bruno DOUCEY qui propagent la poésie d'aujourd'hui:


 
Un printemps rebelle s'annonce ! Découvrez dans cette  32ème lettre d'information, nos deux nouveaux auteurs, le roumain Matéi Visniec avec À table avec Marx, et la catalane Maria-Mercè Marçal avec Trois fois rebelle. Ainsi que nos (nombreux !) rendez-vous de mars et la venue de la coréenne Moon Chung-hee. Bonne lecture et bon printemps des poètes !

(Et pour la liste exhaustive de nos événements, rendez-vous sur notre site www.editions-brunodoucey.com à la rubrique agenda)

Si vous ne parvenez pas à lire cette Lettre cliquez ici et pour le programme ici et ici

 

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Nouveaux articles en ligne cette semaine

Sommaire 39 / Issue 39 /Sumario 39

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  Rencontre :

Sourdillon 2

 

Focus :    

Malcolm de Chazal

 

Poèmes

Jean-Claude Tardif

Chantal Dupuy-Dunier

Arnaud Talhouarn

Zack Rogow

Jean-philippe Gonot

 

Chroniques 

Roberto Mangú : Le sens de l'épopée, par Gwen Garnier-Duguy

Chroniques du bel aujourd’hui (3), par Pascal Boulanger

Essai

Serge Wellens, texte de Jean-François Mathé suivi de poèmes de Wellens

Hommage poétique à Jean Grosjean, par Jean Maison

Revue des revues :
La revue des revues de Christophe Dauphin, autour de : Lettres Roumaines, Empreintes, Diérèse, Chiendents, Coup de Soleil, 7 à dire, Friches, Spered Gouez, La main millénaire, Concerto pour marées et silence, Intranqu’illités

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Critiques
Traces d’instant et de toujours de Andoche Praudel, par Jean-Paul Gavart-Perret
Paris Aubaine de Michael Edwards, par Malika Hadji
Jean-Paul Michel, autour d'eux la vie sacrée, dans sa fraîcheur émouvante..., par David Schnee
14975 jours entre, de Marc Delouze, par Gwen Garnier-Duguy
Elena Jurissevich, ce qui reste du ciel, Par Marie Stoltz

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Matthieu Baumier

Rédaction :

Mathieu Hilfiger
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Nouveaux articles en ligne cette semaine

Sommaire 38 / Issue 38 /Sumario 38

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Rencontre :

Jean-Marc Sourdillon 2ème partie

Focus :

Malcolm de Chazal

Poèmes
Jean-Jacques Marimbert
Patrick Chavardès

Bernard Grasset

Sarah Crewe

Jacques Rancourt

Chroniques
Une voix s’élève (Sefi Atta), par Pascale Trück
« Avec une autre poésie italienne » : Emilio Sciarrino et CIRCE (Sorbonne Nouvelle - Paris 3) poursuivent leur collaboration régulière par cette découverte de Patrizia Vicinelli.

Essai
L’ironie christique, un art poétique (sur Jean Grosjean), Par Réginald Gaillard
Les paradoxes de Iossif Ventura, poète crétois, par Jacqueline Assaël

Revue des revues :
La revue des revues de Christophe Dauphin, autour de : 

Lettres Roumaines, Empreintes, Diérèse, Chiendents, Coup de Soleil, 7 à dire, Friches, Spered Gouez, La main millénaire, Concerto pour marées et silence, Intranqu’illités

Critiques

Allen Ginsberg, Poèmes, par Eze Baoulé

Tri, ce long tri, de Philippe Blondeau, par L. Wasselin

Aperçus-Lieux-Traces, de Max Alhau par Cécile Oumhani

Nœud noué par personne, de S. Nunez Tolin, par M. Baumier

Les poèmes choisis de Paul Pugnaud, par Gwen Garnier-Duguy

Directeur de la publication :

Gwen Garnier-Duguy

Rédacteur en chef :

Matthieu Baumier

Rédaction :

Mathieu Hilfiger
Michel Host
Antoine de Molesmes
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Collaborateurs réguliers

Jean-Luc Maxence, Alain-Jacques Lacot, Alain Gopnic, Pascal Boulanger, Salima Aït-Mohamed, Fabien Desur, Jean Maison, Matthieu Gosztola, Luis Bénitez, Marie Stoltz, Bernard Mazo (┼), Gérard Bocholier, Malika Hadji, Andrjez Taczyński, Pierre Maubé, Max Alhau, Marija Knezevic, Giriraj Kiradoo Sophie d’Alençon, Dubravka Djuric, Phil McBeath, Denis Emorine, Eze Baoulé, Lucia Acquistapace, Zvonko Karanovic, Jean-Pierre Védrines, Dimitra Kotoula, Didier Bazy, Željko Mitić, Shasheen Sauneree, Maximilien Kronberger, Christos Chrissopoulos, Nathanaël, Arundhathi Subramaniam, Katerina Iliopoulou, Christophe Dauphin, Nina Zivancevic, Yves Roullière, Elizabeth Brunazzi, Andrew Taylor, Brigitte Gyr, Maja Herman Sékulic, Marissa Bell Toffoli, Ian Gibbins, Jelena Radovanović, Laura Vazquez, Michel Baglin, Damir Sodan, Jean-Luc Wauthier, Eva-Maria Berg, Dominique Sorrente, Márcia Marques-Rambourg, Béatrice Machet, Rouhollah Hosseini, Robert Furlong, André Ughetto, Lucien Wasselin, Charlène Clonts, Danièle Faugeras, Sabine Huynh, Marilyne Bertoncini, Nasser-Edine Boucheqif

 

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Francis PORNON

publie: A la santé des pachas

roman  éditions Aprés la lune

et

Par delà le grand fleuve

anthologie poétique

La passe du vent éditeur

voir couverture

voir article de Jean-Luc Bayard sur cette anthologie.

Francis PORNON sera notre invité pour une émission au mois de mars.

Voir : www.francispornon.fr

 

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Vient de paraitre : un récit de Serge Bec
 
 
"Quand la vieille voisine regarde méchamment le gosse dans la cour..."
 
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« Un grand roman sur le monde médiéval en plein bouleversement grâce à la seule parole des troubadours »

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 LES VIES MULTIPLES DU TROUBADOUR

 

PEIRE VIDAL

 

Michel COSEM

 

Ce roman reconstitue les vies multiples d’un des plus importants troubadour

du XIIIe, né à Toulouse et fils d’un artisan de la ville. Il apprit musiques et

poésies au château des comtes de Toulouse, avant de prendre son essor à la

cour du roi d’Aragon. Au hasard des pérégrinations sur les chemins du sud,

il chantera et rencontrera les plus belles dames de l’époque.

Ses aventures en Provence sont célèbres, mais Peire Vidal ne s’en contenta

pas. Il embarqua pour Chypre, où il se maria avec la nièce de l’empereur de

Byzance, se prenant parfois pour l’empereur lui-même. Il participa, avec

Richard Coeur de Lion et Philippe Auguste, à la croisade vers Jérusalem. De

retour en Occitanie, le roi d’Aragon en fit le précepteur de ses enfants qui

devaient, par la suite, jouer un grand rôle dans l’histoire (Pierre II d’Aragon).

Mais, toujours en errance, Peire Vidal partit pour la Hongrie, revint en

Provence, retomba amoureux, mena des aventures extravagantes, singulières,

tout en composant des poèmes. Il rencontrera aussi, durant ses errances,

les autres grands troubadours de son temps.

Ce roman explore cette époque qui fut l’une des plus belles de l’histoire de

l’Occitanie avant que ne fonde sur elle la croisade dite «des Albigeois».

Grande et petite histoire se côtoient ici, d’où émerge la figure d’un homme

profondément humain, fasciné par la Méditerranée, poète avant tout, joyeux

luron tout au long de sa vie…

  

Par l’auteur de La Nuit des Naufrageurs

 

EDITIONS DU PIERREGORD

24370 CALVIAC-EN-PÉRIGORD

www.editionspierregord.com

contact@editionspierregord.com

Tél.: 05 53 29 19 07 - Fax : 05 53 29 52 57

320 pages  20€ +(frais de port 2 €)

signature Oui/Non

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Nous avons reçu de Michel DOUILLY
 "Confidences d'automne" 
textes interprétés par Pascale et Agie
arrangements musicaux AGIE
agie-chansons.ch 
Voir le site: 
www.micheldouilly.com

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Vient de paraître :
 Le chef-d’œuvre sur la tempe de Guillaume Decourt,
illustrations de Cathy Garcia
 
115 pages
16 euros


Dans Le chef-d’œuvre sur la tempe , son deuxième recueil, Guillaume Decourt trace à l’attention du lecteur un chemin dont le point de départ est le « non » de Cavafis, et le point d’arrivée, doucement lumineux et inquiet, un « Je t’aime » prononcé en sourdine. Entre ces deux points, un apprentissage douloureux des limites, dont le cours sinue entre les pôles de la révolte et du consentement. ... L’existence est la « corde ombilicale » qui relie le poète au monde, en même temps qu’elle est le « nœud coulissant » qui entrave sa liberté. Et elle est aussi l’unique réalité, qu’il importe d’aimer puisqu’il n’y a, au fond, rien d’autre à connaître qu’elle. ...
 « Asservi comme un homme » est celui qui vient au monde, dès le moment de sa naissance. Et pourtant, le seul fait qu’il naisse, n’exprime-t-il pas déjà une approbation ? Ainsi le poète est comparable à l’enfant, à l’instant même où celui-ci serait conçu : son premier, peut-être son unique travail est de comprendre que l’approbation est derrière lui, c’est-à-dire qu’il a déjà donné son consentement à l’étreinte du monde, se préparant à l’étreindre à son tour. Pas la peine de chercher dans ces poèmes l’aspiration à un idéal déchirant, car ils chantent le monde réel. Pas la peine d’y décrypter un accès à l’au-delà des apparences, car ils décrivent leur au-dedans. Pas la peine de les interpréter, car ils portent en eux toute leur signification. Il faut donc les lire.

 
Extrait de la préface d’Arnaud Talhouarn



Dédicace à la Foire du Livre de Bruxelles le 9 mars : http://www.flb.be/Le-chef-d-oeuvre-sur-la-tempe
Puis au Salon de Paris.
 
 

 

 

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Michel BAGLIN publie

aux éditions Le bruit des autres

La part du diable et autres nouvelles noires

208 pages 15 €

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